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covid - Page 10

  • Au Portugal les décès dus au Covid passent de 17 000 à 152 !

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2021

    synthesenationale

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    On n’a pas l’habitude de lire les informations dans les journaux portugais, parce qu’on n’en maitrise pas la langue, et puis, si l’on n’a pas de connaissances ou de famille au Portugal, il faut bien reconnaître que l’intérêt est somme toute réduit.

    C’est pour cela qu’une décision de justice est passée inaperçue, et bien entendu parfaitement occultée par nos médias nationaux subventionnés. Pourtant, elle pourrait ouvrir la voie à une même étude en France, je suis sûr que cela nous réserverait bien des surprises.

    À la suite d’une pétition citoyenne (que refusent tous nos gouvernements, et l’on comprend pourquoi…), un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité due à la Covid 19.

    Les ministères avançaient le nombre de 17 000 décès, mais selon la décision du tribunal, le nombre de décès vérifiés entre janvier 2020 et avril 2021 n’est en fait que de… 152 ! Soit 0,9% de la « réalité gouvernementale ». Tous les autres sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR fût positif.

    La presse de connivence s’était engouffrée dans le mensonge d’État, mais on ne l’entend pas pour s’excuser, comme Paris Match du 8/02/2021.

    Nous voyons bien que :

    1) Il est quand même pour le moins indécent qu’une information aussi banale doive être rendue publique à la suite d’une procédure de Justice.

    2) Le Pouvoir politique participe activement à une manipulation de grande envergure.

    Et en France ?

    Les données proviennent du Sistema de Informaçào dos Certificados de Obito (Système d’information sur les certificats de décès) le seul système de ce type au Portugal.

    Publié par le site Nice Provence Info

    Source portugaise  ICI

  • Portugal et Covid : la justice confirme que seuls 152 décès sont dus au Covid et non 17 000

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    Une récente décision de justice portugaise est passée inaperçue, si ce n’est occultée par les mass médias. Pourtant elle bouleverse la narration officielle sur la mortalité covidienne.

    Selon une décision du tribunal de Lisbonne, seulement 0,9% des « cas vérifiés » sont morts de covid, soit 152, et non 17 000 comme le prétend le gouvernement. « La décision a prouvé que le gouvernement a falsifié les statistiques sur les décès dus au covid-19 » écrit GreatGameIndia, le média qui révèle l’affaire et publie le jugement.

    « À la suite d’une pétition citoyenne, explique l’article, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité covid-19.

    Selon la décision (lire l’intégralité du jugement ici), le nombre de décès vérifiés dus au covid-19 de janvier 2020 à avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères. 

    Tous les « autres » sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR soit positif.

    Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO ), le seul système de ce type au Portugal.

    La référence à 152 certificats de décès délivrés « sous la supervision du ministère de la Justice » est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la Justice, étant la seule institution qui les délivre. »

    Ce n’est pas la première fois que la justice portugaise condamne la gestion et les mesures prises par le gouvernement du pays :

    « L’année dernière, rappelle GreatGameIndia, une cour d’appel portugaise a statué que les tests PCR ne sont pas fiables et qu’il est illégal de mettre en quarantaine des personnes uniquement sur la base d’un test PCR. Le tribunal a déclaré que la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés et de la charge virale présente. Citant Rita Jaafar et l’Oxford Academy, le tribunal concluait que ‘’si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit infectée est inférieure à 3%, et la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%‘’ ».

    Francesca de Villasmundo   

     

    Source : medias-presse.info

  • Prenez du recul : le Covid ce n’est pas la Grande peste

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2021

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    Au début de la médiatisation de l’épidémie de Covid-19, des experts se relayaient dans les medias agitant des prévisions de mortalité toutes plus effrayantes les unes que les autres. 2,2 millions de morts aux États-Unis si on ne faisait rien et 1,1 million de morts si on faisait quelque chose. Où en sommes-nous en juin 2021 ? 611 000 décès au 1° juin aux États-Unis, sachant que la gestion de Trump fut qualifiée de désastreuse. Les statistiques mondiales sont disponibles, n’importe qui peut les consulter. Au total, 172,5 millions de cas recensés dans le monde et 3,7 millions de décès. Non, le Covid ce n’est pas la grande peste qui décima l’Europe ! Décès rapportés à la population aux États-Unis : 0,18%. Décès rapportés à la population en France : 0,17%. Aujourd’hui, sur 7 milliards d’individus, 172,5 millions (2,5%) ont contracté le Covid et 3,7 millions en sont décédés (0,05%). Et le gros de la pandémie semble passé.
     

    Nombre de cas de Covid 19

    Nombre de décès dus au Covid 19

    Comme on peut le constater sans posséder de doctorat en statistiques, les cas plafonnent comme les décès.

    L’écart entre les modèles « prédictifs » et la réalité est tel que ça tousse un peu dans certaines instances scientifiques. Ce qui nous vaut ce genre de titres :

    Quelle était l’erreur des modèles et pourquoi ?

    Statistiques « mal interprétées, voire biaisées », dénonce un mathématicien. « Biaisé », en sciences, c’est un terme presqu’insultant…

    En Allemagne, en Suisse, le public commence à demander des comptes aux décideurs qui se sont laissé bourrer le mou (au mieux) ou qui ont profité de la situation pour étendre leurs pouvoirs.

    Et en France ? En France, il est question de vacciner la population âgée de 12 à 18 ans, population qui est cependant exposée à un risque infime.

    Il serait temps de réaliser que l’État ne nous protège plus. L’État nous rançonne pour nous protéger de risques imaginaires, tout en omettant de protéger nos droits essentiels (liberté, propriété, sûreté, résistance à l’oppression). Arracher de l’argent contre une fausse protection, cela s’appelle, tout simplement, du racket.

     

    Source : leblogalupus

  • Covid, la bonne excuse pour fliquer les Britanniques

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2021

    La surveillance à leur insu des populations au travers de la crise covidienne fut une hypothèse soulevée par ceux que les médias bonimenteurs diabolisent du surnom de « complotistes ».

    Hypothèse qui, comme celles supposant une fuite de laboratoire du covid « meurtrier » ainsi qu’une ingénierie humaine dans la fabrication de ce coronavirus qui met la planète à l’arrêt, se révèle être une réalité.

    Le très célèbre Daily Telegraph britannique, dans un article du 23 mai dernier, révèle dans son édition du jour que les données de localisation mobiles d’un Britannique sur 10 ont été analysées sans leur consentement par les autorités sanitaires pour étudier le comportement des personnes vaccinées.

    Un espionnage réalisé à l’insu des intéressés.

    Le quotidien britannique a pu avoir accès à un rapport du comité SPI-B, un groupe de chercheurs de l’université d’Oxford qui collabore avec le SAGE, le Conseil scientifique du gouvernement britannique. Le dossier consulté affirme que des millions d’utilisateurs de téléphone portable ont vu leurs déplacements suivis à leur insu en février. L’analyse aurait porté sur « 10% de la population britannique». Les personnes concernées n’auraient pas été mises au courant de l’opération, précise également le Telegraph.

    Bien entendu, ce flicage de la population a obtenu un blanc-seing de la part des autorités britanniques grâce à l’excuse de lutte contre la propagation du covid-19, son objectif étant d’analyser le comportement des personnes vaccinées par rapport aux autres grâce à leurs données de localisation. Les déplacements d’un groupe de 4 254 personnes identifiées comme ayant reçu une vaccination ont ainsi été scrutés la semaine précédant et la semaine suivant l’injection pour voir si un changement de comportement était observé en les comparant avec différents groupes tests.

    « Entre les passeports Covid imminents et la surveillance téléphonique des vaccins, ce gouvernement est en train de transformer la Grande-Bretagne en un Etat Big Brother sous couvert du Covid. Cela devrait nous réveiller tous.», a notamment déclaré Silkie Carlo de l’ONG de défense de la vie privée Big Brother Watch au Daily Telegraph.

    Il est fort probable, croire le contraire serait d’ailleurs de la naïveté dangereuse, que de telles pratiques ont été, soient, seront, mises en pratiques dans d’autres pays occidentaux.

    La dictature sous couvert de lutte contre le coronavirus, est en marche… et partout dans le monde.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • La Suède compte plus de 30 000 cas d’effets secondaires liés aux vaccins contre le COVID

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2021

    PAR  LE 

    Alors que l’Europe poursuit son programme de vaccination, les pays nordiques font état d’une recrudescence des effets secondaires néfastes. Dans ce pays, le nombre d’effets secondaires a dépassé les 30 000, la majorité de ces réactions ayant été signalées chez des patients ayant reçu le vaccin d’AstraZeneca.

    L’Agence suédoise des produits médicaux a indiqué que la semaine dernière, la nation scandinave avait enregistré 31 844 rapports d’effets indésirables liés au déploiement du vaccin.

    La Suède propose actuellement 3 vaccins contre le COVID-19 différents : Moderna, Pfizer et AstraZeneca, ce dernier étant le plus largement disponible (tandis que d’autres États européens, comme l’Allemagne, ont cherché à proposer des substituts aux jeunes patients, plus vulnérables aux dangereux caillots sanguins cérébraux, qui sont un effet secondaire rare – mais pas inédit).

    Le nombre d’effets indésirables présumés des deux vaccins semble relativement faible par rapport aux 19 961 rapports liés au Vaxzevria d’AstraZeneca, alors que le vaccin d’AstraZeneca ne représente qu’environ 26 % des quelque 2,7 millions de vaccins administrés à ce jour en Suède, mais constitue environ 63 % des rapports d’effets secondaires.

    Ebba Hallberg, une responsable de l’Agence des produits médicaux, a déclaré aux médias suédois qu’il était inhabituel de recevoir autant de rapports d’effets secondaires. Elle a ajouté que le nombre était probablement plus élevé en raison de l’intérêt du public pour les nouveaux vaccins. Pour éviter les plaintes selon lesquelles de nombreuses incidences d’effets secondaires étaient mineures, elle a déclaré que les prestataires de soins de santé ne signalaient probablement que les effets secondaires les plus “graves”.

    Un média suédois a déclaré que le nombre de plaintes déposées en quelques mois seulement dépassait le nombre de plaintes habituellement déposées en quatre ans, ce qui souligne l’inquiétude du public à l’égard des vaccins contre le COVID.

    En mars, la Suède a été l’un des pays à suspendre temporairement l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, à la suite de rapports faisant état d’une coagulation anormale du sang chez les receveurs. AstraZeneca, ainsi que l’Agence européenne des médicaments, ont insisté sur le fait que le vaccin était sûr après avoir fait l’objet d’un examen minutieux.

    SOURCE AUBE DIGITALE