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  • Vider les prisons pour cause de Covid ? La machine infernale est en marche !

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2022

    20 Janvier 2022, 08:24am | Publié par Thomas Joly 

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    Il faudrait être bien naïf pour imaginer que, aujourd’hui, les peines de prison continueront à être fixées par les tribunaux compétents. En effet, il y a cette loi de programmation et de réforme de la Justice, datant du 23 mars 2019, visant à « favoriser, lorsqu’elles sont possibles, les peines alternatives à l’incarcération ». Pas tant par trop-plein d’humanisme que par manque de place dans les geôles républicaines, semble-t-il.

    Une dérive que vient confirmer cette note confidentielle signée Laurent Ridel, directeur de l’administration pénitentiaire, envoyée à nombre de juges, histoire de leur indiquer la bonne marche à suivre : « Je tiens à vous alerter sur la situation de surencombrement des établissements de votre ressort. […] Cette situation complexifie lourdement les mesures de sécurité que nous devons mettre en œuvre pour limiter la propagation du virus. »

    Étrange mail qui a fini par atterrir à la rédaction du Point : sachant que la prison est le stade ultime du confinement, on aurait pu penser que les nouveaux arrivants étaient testés et que, faute de contact avec l’extérieur, les détenus ne pouvaient être contaminés par de tierces personnes. Il est à croire que non. Bref, toujours à lire le courrier en question, il s’agirait avant tout de « réduire la densité carcérale ». À ce compte, il faudrait également fixer des quotas de patients à virer des hôpitaux débordés ou des élèves à exclure d’écoles elles aussi surchargées pour éviter de possibles clusters…

    Et Laurent Ridel, en l’occurrence garde des Sceaux autoproclamé, de conseiller : « Il semble que moins de 2 % des détenus condamnés font actuellement l’objet d’une libération sous contrainte […] alors que 30 % des personnes condamnées y sont à première vue éligibles. » Cette « libération sous contrainte », c’est par exemple la détention en des centres semi-ouverts ou le bracelet électronique. Mais ce que le même Ridel oublie de préciser, c’est la manière dont il faudra surveiller ces dizaines de milliers de prisonniers élargis ; déjà que les forces de l’ordre ne parviennent pas à faire comprendre à un Patrick Balkany qu’un bracelet électronique n’a rien à voir avec celui qu’on vous met au poignet à l’entrée des boîtes de nuit, alors…

    Sans surprise, ça grogne du côté de la magistrature. Cité par Le Point, ce magistrat de Reims : « Le directeur de l’administration pénitentiaire se permet, par écrit et avec le minimum de formes requises, de donner de quasi-instructions à des magistrats indépendants. Pour nous demander quoi ? D’adapter nos décisions aux capacités hôtelières des prisons, comme s’il existait un numerus clausus et comme s’il avait une quelconque autorité sur nous. »

    Il est vrai qu’avec cette affaire, les juges se trouvent à la fois accusés de sévérité et de laxisme. Et le même de poursuivre : « Le problème du surencombrement des prisons ne date pas d’hier. Le gouvernement caresse en permanence l’opinion dans le sens du poil avec des discours répressifs et sécuritaires, tout en nous encourageant à vider les prisons. » On a déjà lu moins nigaud.

    Plus sérieusement, et Covid ou pas, la vérité est qu’en France, les conditions de détention sont souvent indignes d’un pays civilisé, que nombre de ces détenus, lorsqu'ils sont étrangers, auraient vocation à regagner leurs pénates d’origine, une fois leur peine purgée et que les constructions de nouvelles prisons sont sans cesse repoussées.

    L’autre vérité est que cette situation est plus que représentative de la philosophie macronienne qui considère la France comme une start-up nation et tient le gouvernement pour un simple conseil d’administration. Il faut donc gouverner à flux tendus et gérer les stocks, même ceux d’êtres humains ; même ceux de prisonniers qui ne sont pas les meilleurs des citoyens. Mais qu’au moins ce système aille jusqu’au bout de sa logique et fasse gérer les prisons par le groupe Accor, avec réductions à partir de dix nuitées et tarifs spéciaux pour les visites en groupe.

    Nicolas Gauthier

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Covid : Un médecin espagnol explique que les hospitalisés sont tous vaccinés (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2022

    Covid : Un médecin espagnol explique que les hospitalisés sont tous vaccinés (VIDÉO)

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1479728504598106112

     

     

  • LES MESURES GUIGNOLESQUES DE CASTEX CONTRE LA COVID

    Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2021

    Posté par Floris de Bonneville  Il y a 14 heures

    LES MESURES GUIGNOLESQUES DE CASTEX CONTRE LA COVID


    Je ne suis pas sûr que Guignol, derrière ses lunettes à double foyer, ait cru un seul instant aux déclarations qu’il nous a faîtes solennellement pour nous alerter des graves décisions prises afin de protéger le peuple Français. Car, que cela vous rassure, les variants Delta, Omicraon, Macron etc.. seront anéantis par le programme énoncé lundi soir à la sortie d’un épuisant Conseil Scientifique.

    Oui, chère Covid, te voilà anéanti par ce que nous avons décidé. C’est un peu les nouvelles Tables de la Loi. Castex transformé en Moïse nous affirmant entouré de fumée d’encens que s’asseoir dans un lieu clos est indispensable. Que faire jeune pendant un trajet ferroviaire ou aérien, c’est sauver nos vies. Que limiter les meetings politiques à 5000 personnes, même si cette assemblée ressemble à une boîte de sardines, c’est ne pas aller à l’hôpital. Que boire debout, c est déjà mourir. Que porter un masque sur un port largement aéré par l’air du large ou dans une rue déserte, c’est, en quelque sorte sauver l’humanité.

    Franchement, je crois que ces messieurs qui nous gouvernent et le feront encore pendant quatre mois avant de rendre leurs portefeuilles se moquent de nous comme jamais un Gouvernement n’a osé le faire.

    L’Assemblée Nationale va évidemment être, une nouvelle fois aux ordres du Président et va voter toutes les mesures qu’il a adoptées. Aussi inutiles et stupides qu’elles soient. Car ce coronavirus tient à vivre. Et il vivra quelque soit les mesures imposées à un peuple qui est beaucoup trop composé de moutons.

    Les leaders de l’opposition ont beau parler vrai, ont beau demander à ce que l’on puisse revivre normalement en acceptant de côtoyer ce virus somme toute moins mortel que n’importe quelle autre maladie, ils ne seront pas entendus. Sauf le 22 avril prochain lorsqu’il leur sera demandé de remettre ou non Emmanuel Macron sur le podium.

    Alors patience, comme le dit ce proverbe : avec du temps et de la patience, on vient à bout de tout.


    Floris de Bonneville

     

    Source : ndf

  • Covid : La Russie fait marche arrière et retire les restrictions pour les non-vaccinés

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2021

    Sur le front de la gestion de la ‘crise’ du coronavirus, la Russie ne suit pas l’exemple des pays atlantistes et sait raison gardée.

    Les autorités russes, relate APNEWS, ont fait marche arrière, lundi, quant à l’introduction de certaines restrictions pour les non vaccinées annoncées il y a un mois, qui ont suscité l’indignation du public à travers le pays, où la couverture vaccinale reste faible.

    Le président de la Douma d’État, la chambre basse du parlement russe, a annoncé lundi le retrait d’un projet de loi qui aurait permis l’accès aux vols et trains nationaux et internationaux aux personnes entièrement vaccinées, aux guéris du covid-19 et aux personnes exemptées de la vaccination pour des raisons médicales.

    Le projet de loi, ainsi qu’un autre déclinant des restrictions similaires dans de nombreux lieux publics, devaient passer en première lecture jeudi, mais le porte-parole Viatcheslav Volodine a cité « une décision conjointe de la Douma d’État et du gouvernement » de le retirer de l’ordre du jour du Parlement pour le moment. L’autre projet de loi avance toujours.

    « Nous devons être équilibrés lorsque nous prenons ces décisions afin que l’opinion des gens soit prise en compte », a déclaré Volodin.

    Une attitude digne à l’écoute de la population russe aux antipodes des décisions politiques covidiennes pises par les gouvernements des pays d’Europe de l’Ouest. Les gouvernements du camp du Bien, ceux qui donnent de leçons de « démocratie » à la Russie, qui se croient des parangons de vertu et de bienveillance envers leur concitoyens, ceux qui imposent des restrictions dictatoriales et un apartheid au sein du pays, vaccinés d’un côté, non-vaccinés de l’autre…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Corruption pharmaceutique et Covid : Pfizer a payé des experts pour dénigrer Astrazeneca

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2021

    Via la lutte contre le covid, la guerre des vaccins pour engranger l’argent s’est intensifiée.  La corruption est à tous les étages, et sans surprise Pfizer est en tête.

    Le laboratoire américain détient déjà la palme de l’amende la plus salée jamais infligée par la justice américaine à un groupe pharmaceutique : Pfizer a dû verser en 2019 2,3 milliards de dollars pour mettre fin aux différentes plaintes portant sur ses pratiques commerciales et publicitaires. Pourtant, cela ne l’empêche pas de continuer ses pratiques douteuses si l’on en croit les médias britanniques.

    Plusieurs documents exclusifs publiés par le Financial Times et Channel 4 mettent en accusation le géant pharmaceutique américain qui aurait spéculé sur la pandémie comme « un vautour » et aurait payé des experts pour discréditer Astrazeneca.

    « Pfizer a discrédité Astrazeneca ». « Pfizer a payé les experts pour discréditer AstraZeneca. » Ces gros titres font la Une de divers médias britanniques.

    « Une enquête de la chaîne britannique Channel 4, rapporte par Il Fatto Quotidiano anticipée par certains journaux londoniens, a révélé que le coût de production du vaccin Pfizer-BioNTech est très bas : 76 cents livre (89 centimes d’euros), alors que le prix de vente appliqué au gouvernement britannique est de 22 livres (25,7 euros). La société a répondu en expliquant que l’estimation n’a pas de sens, car elle ne prend pas en compte, par exemple, les dépenses de recherche et de distribution. Cependant, les coûts globaux de production du vaccin restent secrets, ainsi que les prix de vente aux États. »

    Mais les révélations ne s’arrêtent pas là. Toujours selon Channel 4 et le Daily Mail repris par le quotidien italien « la société américaine a été accusée d’avoir payé des experts pour discréditer le vaccin britannique. Certains conférenciers lors d’un séminaire tenu au Canada l’an dernier – il s’agit de l’accusation – ont fait valoir que le produit d’Astrazeneca, en plus de ne pas être efficace sur les personnes immunodéprimées, peut provoquer le cancer ».

    L’enquête de Channel 4 a également souligné que le contrat de Pfizer avec le Royaume-Uni stipule que le laboratoire pharmaceutique ne peut pas être poursuivi en justice s’il y a un différend juridique entre le gouvernement britannique et Pfizer. Au lieu de cela, Pfizer et le Royaume-Uni ont convenu d’un panel d’arbitrage secret. Le Royaume-Uni ne peut donc pas dire qu’il est en conflit avec Pfizer, sur quoi porte le différend ou quel est le résultat de l’arbitrage secret. 

    « Cette enquête intervient, explique le Daily Mail, alors que les actionnaires de Pfizer ont engrangé 3,9 milliards de livres sterling de bénéfices dans la frénésie vaccinale induite par la montée de la variante Omicron Covid. Les actions des géants pharmaceutiques ont augmenté de 7,4 au cours des sept jours précédant le 30 novembre – après que l’Afrique du Sud a alerté le monde sur la souche mutante le 24 novembre. Dans la semaine qui a suivi la découverte d’Omicron, la société de gestion d’investissement Vanguard Group Inc a tiré le plus d’argent des actions de Pfizer, voyant leur valeur totale augmenter à 1,3 milliard de livres sterling. Le directeur général de Pfizer, Albert Bourla, a lui-même vu ses actions augmenter de près de 257 000 £ au cours de la semaine. »  

    Pendant ce temps, la polémique se poursuit également sur la lenteur de la distribution des vaccins en Afrique. Strive Masiyiwa, un milliardaire zimbabwéen qui coordonne l’équipe de vaccination de l’Union africaine, a expliqué au Financial Times comment la société l’avait traité. Il Fatto écrit :

    « Fin 2020, a-t-il dit, elle avait accepté de livrer 2 millions de doses pour commencer à vacciner le personnel de santé africain (5 millions de personnes), mais le contrat n’est pas arrivé. « Ils n’arrêtaient pas de me dire : la semaine prochaine. Nous sommes donc arrivés en avril. »

    Mais après avoir pris connaissance du contrat signé avec l’Europe, le coordinateur s’est fait entendre, demandant d’urgence les raisons du retard continuel. Au final, écrit Il Fatto « l’Union africaine a dû se contenter des doses qui lui ont été données par l’administration Biden ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info