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covid - Page 8

  • Crise sanitaire : le docteur covid américain, Fauci, pris en flagrant délit de mensonges

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    La rumeur couvait depuis longtemps, elle vient d’être confirmée par le National Institutes of Health des Etats-Unis : « il admet maintenant avoir financé la recherche sur le gain de fonction sur les chauves-souris infectées par des coronavirus dans un laboratoire de Wuhan, en Chine, malgré les démentis répétés du Dr Anthony Fauci niant que les dollars des impôts américains aient été utilisés pour cela » peut-on lire dans un article de Fox News, un des médias les plus de l’autre côté de l’Atlantique.

    « Dans une lettre au représentant James Comer, membre de haut rang du House Committee on Oversight and Reform, un responsable du NIH, explique Fox News, admet qu’une ‘’expérience limitée’’ a été menée afin de tester si ‘’les protéines de pointe des coronavirus de chauve-souris naturels circulant en Chine étaient capables de se lier au récepteur ACE2 humain dans un modèle murin.’’ La lettre indique que les souris de laboratoire infectées par le virus de la chauve-souris modifié ‘’sont devenues plus malades’’ que les souris qui ont reçu le virus de la chauve-souris non modifié. »

    Le docteur Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a nié à plusieurs reprises que l’argent du NIH soit allé à de telles recherches à Wuhan, mais son organisation a donné des millions de dollars en subventions à l’EcoHealth Alliance qui a canalisé au moins 600 000 $ vers le coronavirus de Wuhan recherche. « Je n’ai jamais menti devant le Congrès et je ne retire pas cette déclaration », avait déclaré Fauci lorsque le sénateur Rand Paul, lors de son interrogatoire de Fauci au cours d’une audience au Sénat cet été, avait insisté sur le témoignage précédent du médecin selon lequel les États-Unis n’avaient pas financé la recherche sur le gain de fonction à Wuhan. « Vous ne savez pas de quoi vous parlez très franchement, et je veux le dire officiellement » avait martelé le docteur Covid des Etats-Unis.

    L’Alliance EcoHealth est également sur le banc des accusés dans cette affaire :

    « Le responsable, Lawrence A. Tabak, a accusé l’Alliance EcoHealth, organisation à but non lucratif basée à New York qui s’associe à des laboratoires éloignés pour rechercher et prévenir l’apparition de maladies émergentes, qui a acheminé des fonds vers le laboratoire de Wuhan, de ne pas être transparente sur le travail en cours. La recherche sur le gain de fonction consiste à extraire des virus d’animaux pour les fabriquer artificiellement en laboratoire afin de les rendre plus transmissibles et mortels à l’homme. »

    Dans sa lettre envoyée mercredi dernier aux membres du comité de la Chambre sur l’énergie et le commerce le NHI reconnaissait deux faits : l’un était qu’EcoHealth Alliance a effectivement amélioré un coronavirus de chauve-souris pour qu’il devienne potentiellement plus infectieux pour les humains, ce que la lettre du NIH décrit comme un « résultat inattendu » de la recherche qu’il a financée et qui a été menée en partenariat avec l’Institut de virologie de Wuhan. La seconde était qu’EcoHealth Alliance avait violé les termes de ses conditions de subvention stipulant qu’elle devait signaler si ses recherches décuplaient la croissance virale d’un agent pathogène.

    Alliance EcoHealth est d’autant plus coupable que son fondateur le zoologiste britannique Peter Daszak faisait partie de l’équipe d’experts qui a enquêté à Wuhan, en février 2021, pendant 28 jours, au sein de la mission envoyée par l’OMS dans l’Empire du Milieu pour essayer de faire la lumière sur l’origine du SRAS-CoV-2. Daszak, avait conclu que l’hypothèse de la fuite du virus d’un laboratoire de Wuhan, toujours soutenue par les Américains, était « extrêmement improbable ».  

    Face à ses révélations, le docteur Fauci se défend en affirmant qu’il n’avait pas le rapport d’étape qui détaillait la recherche controversée au moment où il a témoigné en juillet au Congrès et nié toute recherche de gain de fonction mais EcoHealth Alliance a semblé contredire cette affirmation et a déclaré dans un communiqué : « Ces données ont été signalées dès que nous en avons été informés, dans notre rapport de la quatrième année en avril 2018. »

    C’est à qui ment le plus pour se couvrir. Comme le souligne le scientifique Gilles Demaneuf, du groupe de détectives Internet se faisant appeler DRASTIC (abréviation de Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) à Vanity Fair :

    « Je ne peux pas être sûr que [le COVID-19 provient] d’un accident ou d’une infection lié à la recherche lors d’un voyage d’échantillonnage. Mais je suis sûr à 100% qu’il y a eu une dissimulation massive. »

    Dissimulation orchestrée par Anthony Fauci, le docteur Covid des Etats-Unis, le monsieur confinement et maintenant Mr Vacin, prompt à obliger, condamner, exclure, vouer aux gémonies et à la mort sociale, les Américains qui refusent les injections expérimentales anti-covid à cause du manque de recul et de leur dangerosité. Puisqu’il a menti sur la recherche de gain de fonction des coronavirus, les Américains réticents à la vaccination sont plus que prudents de ne pas lui faire confiance quand Fauci leur affirme qu’il n’y a pas de danger ni d’effets secondaires graves avec ces « vaccins ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Grand remous en Italie : Pour l’Institut Supérieur de la Santé italien, le covid a tué moins que la grippe

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021

    Les médias sont gênés, les politiciens ennuyés, l’info quasi occultée mais pas tout-à-fait :

    « selon le nouveau rapport (qui n’avait pas été mis à jour depuis juillet) de l’Institut supérieur de santé sur la mortalité du Covid, révèle le quotidien Il Tempo, le virus qui a mis le monde à genoux aurait tué bien moins qu’une simple grippe. »

    Ce ne sont pas les données publiées par un blog complotiste, mais les statistiques officielles publiées par l’Institut supérieur de Santé italien (ISS) concernant la mortalité du Covid. Un résultat qui fait réfléchir et qui souligne la différence entre « mort du Covid » et « mort avec le Covid ». Selon les données officielles publiées par l’ISS, il semblerait donc que la plupart des décès survenus au cours des deux dernières années de restrictions et de privations soient principalement dus à l’état antérieur des patients. Covid ou pas Covid.

    « Cela semble une déclaration bizarre et des no-vax, continue le journal, mais selon l’échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l’institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi sur les 130 468 décès enregistrés par statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 seraient dus à la puissance du virus lui-même » soit 2,9%.

    Tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l’ISS, leur laissaient donc déjà peu d’espoir. Même 67,7% auraient eu plus de trois maladies contemporaines ensemble, et 18% au moins deux ensemble.

    Selon l’ISS, 65,8% des Italiens qui ne sont plus là après avoir été infectés par le Covid étaient atteints d’hypertension artérielle, c’est-à-dire qu’ils avaient une pression artérielle élevée. 23,5 % souffraient également de démence, 29,3 % ajoutaient du diabète à leurs maux, 24,8 % étaient également atteints de fibrillation auriculaire. Et cela ne suffit pas : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des 5 dernières années ; 15,7% souffraient d’insuffisance cardiaque, plus d’un sur dix était également obèse, plus d’un sur dix avait subi un accident vasculaire cérébral, et d’autres encore, bien que dans des proportions moindres, souffraient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes. 

    Puisqu’il est clair, d’après les données du rapport de l’Institut supérieur de la santé, que l’incidence de Covid sur le total des décès est inférieur à 3%, « dès lors, l’alarmisme qui a conduit une certaine ligne politique à pousser avec tant d’insistance sur le vaccin et sur les restrictions considérées comme l’apanage de s’affranchir de l’urgence sanitaire ne s’explique pas, commente un autre quotidien, Il Giornale d’Italia. Données en main, la poussée anxieuse des institutions vers l’obligation vaccinale de facto et l’obligation du laissez-passer vert, ne semblent pas se refléter dans les chiffres. »

    « Le nouveau rapport de l’ISS a été long à venir, souligne Il Giornale. L’institut n’avait pas publié de mises à jour depuis juillet et les développements récents suggèrent pourquoi. Justifier près de 24 mois de restrictions et une poussée draconienne vers l’exigence de vaccin de facto à la lumière d’une statistique infinitésimale de 2,9% est au moins embarrassant pour les autorités. »

    En effet, rappelle le quotidien italien, « c’est précisément sur l’alarmisme concernant les décès, et pas seulement des contagions, que les autorités ont fondé leurs décisions qui ont parfois conduit à la privation de liberté individuelle. Beaucoup d’entre elles sont encore en vigueur aujourd’hui. (…) En fait, il semble qu’aux étages supérieurs les chiffres présentent moins d’intérêt que les décisions péremptoires concernant l’imposition du passeport vert. »

    « Si donc la situation semble ainsi moins alarmante que ce qui est parfois décrit, comment justifier les restrictions encore en vigueur ? » s’interroge le journaliste qui conclut :

    « Pour le dire comme Shakespeare, dans de nombreux cas, au détriment de la liberté de beaucoup, et s’appuyant sur le sort (quoique tragique) de quelques-uns, on a fait ‘’beaucoup de bruit pour rien’’. »

    On peut supposer qu’en France, la situation concernant la mortalité du covid ou avec le covid est sensiblement la même en pourcentage. « Beaucoup de bruit pour rien » donc. Plus vraisemblablement, comme en Italie, beaucoup de bruit pour rien selon une lecture sanitaire, à l’inverse, politiquement parlant beaucoup de bruit avantageux pour imposer un contrôle à la chinoise de la population, une gouvernance mondiale, et faire avancer l’agenda de Davos.

    Que le passe sanitaire n’ait rien de sanitaire mais tout du politique, et de la politique dictée par les cercles mondialistes, nous le savions, le rapport de l’ISS italien ne fait qu’en apporter une preuve supplémentaire.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La commission du Sénat rejette la vaccination obligatoire contre le covid-19

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2021

     le La commission du Sénat rejette la vaccination obligatoire contre le covid-19

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    La proposition de loi des sénateurs socialistes, qui prévoit d’ajouter le covid-19 à la liste des vaccins obligatoires, n’a pas été adoptée ce 6 octobre en commission des affaires sociales du Sénat.

    La proposition de loi sera débattue dans l’hémicycle le 13 octobre. Logiquement, elle devrait être rejetée.

    Au 29 septembre 2021, le nombre de personnes éligibles non encore vaccinées est estimé à 9,2 millions, parmi lesquelles les 12-17 ans et les 30-39 ans. 84 % des personnes de plus de 80 ans sont vaccinées.

     

    Source : lesalonbeige

  • En l’absence de nouvelles vagues meurtrières de Covid, le Système embraye sur Greta Thunberg (VIDEO)

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2021

    En l’absence de nouvelles vagues meurtrières de Covid, le Système embraye sur Greta Thunberg (VIDEO)

    C’est comme M6 et ses rediffusions dans les années 90 :

     

  • En Allemagne, les autopsies confirment que le “vaccin” anti-Covid est la cause de nombreux décès

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2021

    Allemagne – Une conférence de presse avec deux pathologistes de renom a eu lieu à Reutlingen le 20 septembre 2021. Le Prof. Dr. Arne Burkhardt et le Prof. Dr. Walter Lang, deux scientifiques ont confirmé le contenu du rapport du Prof. Dr. Peter Schirmacher sur les liens établis lors d’autopsies entre la vaccination anti-Covid et les décès de plus en plus nombreux de personnes vaccinées.

    Le Prof. Dr. Peter Schirmacher, qui dirige les services d’autopsie, a trouvé une relation de causalité avec la vaccination dans un tiers des décès survenus dans les 14 jours après la vaccination Covid 19.

    Lors de leur conférence de presse, les pathologistes ont souligné que la situation était alarmante.

    Au cours de leurs autopsies, les scientifiques sont entrés dans les moindres détails et ont utilisé les dernières technologies. Parce que c’était le seul moyen d’établir un lien avec les vaccins, a déclaré Burkhard dans l’introduction.

    Le Prof. Dr. Burkhard a notamment déclaré :

    « Parmi ce que je vous montre, il y a beaucoup de choses que j’ai vu pour la première fois. Je ne peux pas encore vous nommer certaines choses, car je cherche toujours des noms pour les désigner. »
    « Nous procédons ici à une évaluation par les pairs avec de nombreux collègues »
    “Des effets graves sont probablement diagnostiqués à tort comme des crises cardiaques par de nombreux pathologistes”
    “On trouve des accumulations de lymphocytes partout”

    Dans tous les cas, le système immunitaire a été attaqué. Certains diagnostics sont difficiles et souvent mal interprétés.

    Après cette conférence de presse, chaque vaccinateur devra revoir attentivement ses certitudes. Les sociétés pharmaceutiques impliquées doivent répondre de toute urgence aux questions posées par ces scientifiques de haut niveau.
    D’ici là, chacun doit se demander s’il prend le risque d’une telle “vaccination” et expose son système immunitaire à ce danger.

     

    Source : medias-presse.info