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covid - Page 14

  • Vers l’explosion sociale ?

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2020

     

    Le regard rivé sur le seul horizon du Covid, les Français apprennent que leur délivrance se fera en trois étapes, soumises aux aléas de la pandémie. Dans deux jours, l’oracle présidentiel tombera sur leurs esprits embrumés par la peur collective et la sidération entretenue et stimulée comme à plaisir.

    covid,explosion sociale,macronLa diction sera parfaite, et les mots soigneusement choisis, mais la France s’enfoncera un peu plus dans l’étrange brouillard d’une activité ralentie, d’une opposition muette, d’une démocratie suspendue qui “en même temps” prolonge un pouvoir de moins en moins légitime et mitonne une colère populaire d’autant plus rageuse qu’elle aura été enfermée plus longtemps. Selon un sondage exclusif établi par l’institut Ifop, 85% des Français s’attendent à une explosion sociale dans les prochains mois dans le pays, soit 13 points de plus que la dernière mesure, en janvier 2020, lorsque les gilets jaunes avaient déjà creusé l’impopularité du pouvoir. Evidemment, ce sentiment domine outrageusement aux extrêmes, avec plus de 90% des interrogés mais il reste largement majoritaire dans les partis “de gouvernement” 84 % chez les sympathisants “républicains”, 79% chez les proches du Parti Socialiste et dominant néanmoins chez les “macronistes” avec 62%. Le manque de recul et d’expérience rend les jeunes moins soucieux, avec 77% ( seulement ?) pour les 18-24 ans. Mais, ce qui est plus grave est le fossé de 13 points qui sépare les ouvriers des cadres. 92% pour les premiers, et 79% pour les seconds s’attendent à la déflagration. C’est à la fois le signe de l’effondrement de la confiance dans le gouvernement actuel qui atteint désormais la base sociologique des marcheurs de 2017, mais aussi celui d’une fracture sociale entre les plus exposés aux conséquences économiques de la crise sanitaire, et ceux qui le sont moins.

    Mensonge ou erreur, M. Macron avait parlé de guerre. Non ! La guerre rassemble contre l’ennemi alors que la crise isole les individus dans un ” sauve qui peut”, un “chacun pour soi” mortifères. L’ennemi, l’autre est nécessaire pour resserrer les rangs, consolider les solidarités, affirmer les identités. Pendant les guerres, on se suicide moins, parce qu’on appartient davantage au groupe qui a besoin de nos efforts. La crise au contraire voit augmenter les dépressions et les risques suicidaires, parce qu’elle souligne que l’on peut, que l’on doit, se passer de ceux qui sont inutiles, de ceux qui deviennent des fardeaux. Or la crise actuelle redouble l’éviction : d’abord, elle établit une distance sociale, ce terme révélateur qui indique combien la séparation physique est aussi une rupture communautaire, une suspension des lieux, des institutions, des moments qui rechargent le “vivre-ensemble” au sein de l’entreprise, de l’association, à l’occasion de la fête, de la cérémonie, de la célébration. Ensuite, elle replie les individus sur eux-mêmes, en isolant davantage encore ceux qui vivent seuls, en privant des équilibres que procurent les échanges ceux qui souffrent d’un milieu étroitement familial, exigu ou étouffant, en condamnant un peu plus à la passivité et à l’assistanat ceux dont l’activité et le métier sont indispensables au sentiment qu’ils ont de leur dignité.

    20% des Français ont des pensées suicidaires, d’après un sondage de l’Ifop et de la fondation Jean Jaurès. Depuis le reconfinement, le nombre de jeunes patients accueillis aux urgences pédiatriques pour des crises suicidaires a doublé. Il faut voir dans ce phénomène la troisième vague de la crise sanitaire qui aura donc par trois fois pris le gouvernement en flagrant délit d’impréparation, d’incompétence, et d’incohérence : d’abord face à la maladie elle-même, faute d’une stratégie efficace dotée des moyens nécessaires, ensuite avec un confinement mortel pour notre économie, et absurde en raison des inégalités imposées d’en-haut par une administration déconnectée de la réalité, enfin vient la démoralisation d’une nation réduite à une foule d’individus soumis à un Etat coercitif et inefficace dont ils ne retirent plus la moindre fierté.

    Dans son palais, le président ne songe pourtant qu’à sa réélection. Puisque la guerre contre le virus a fait long feu, est-il en train de changer son fusil d’épaule, et de s’inventer une vraie guerre ? La démonstration bien peu convaincante face à la Turquie, la défense et promotion du blasphème ont suscité un vent de réprobation dans les pays musulmans les plus fanatisés. La France songerait maintenant à restreindre l’immigration en provenance de certains d’entre eux et tente de restituer aux envoyeurs quelques-uns des malvenus qu’ils nous avaient expédiés. La “sécurité globale” est à l’ordre du jour. Aussi, les manifestations de la gauche pétitionnaire contre le pouvoir tendent à jeter les électeurs qui se croient “de droite” dans les bras du macronisme. C’est là le dernier épisode de la mystification dont les Français sont l’objet depuis 2017. Le maniaque de la repentance chez lui (ou à défaut, en Algérie), le récidiviste de l’ingérence chez les autres, et aux yeux de tous, le spécialiste de l’impuissance est bien mal placé pour incarner le réveil de la fierté nationale !

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Covid : les médecins toucheront jusqu’à 76 euros en cas de patient positif

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2020

    Covid : les médecins toucheront jusqu’à 76 euros en cas de patient positif

    Lu dans Le Quotidien du Médecin :

    Un arrêté paru au « Journal officiel » ce mercredi 28 octobre vient préciser les « conditions de facturation et de prise en charge » des tests de dépistage antigéniques du Covid pour les professionnels de santé libéraux qui les réaliseront (médecins, pharmaciens et infirmiers). Il vient compléter un précédent arrêté (du 16 octobre), autorisant le dépistage individuel par tests antigéniques de patients symptomatiques par les médecins, pharmaciens ou infirmiers, et le remboursement par la Sécu de ces tests.

    Ces derniers seront délivrés gratuitement par les pharmacies d’officine aux médecins et infirmiers libéraux, sur présentation d’un justificatif professionnel. Ils seront facturés directement à l’Assurance-maladie par le pharmacien, au prix maximum de 8,05 euros HT par unité.

    Pour les médecins libéraux ou en centre de santé, la phase de « prélèvement et d’analyse » réalisée lors d’une consultation sera valorisée à hauteur de deux consultations (C2, soit 46 euros), ou alors de deux visites (V2, soit 46 euros également) si le médecin intervient à domicile. Les résultats positifs devront ensuite être enregistrés dans le Système d’information de dépistage (SIDEP).

    Ces cotations pourront être cumulées uniquement avec la consultation MIS de 30 euros (pour l’information et la mise en place d’une stratégie thérapeutique), dans le cas où le patient est positif. « Dans ce cas, cela fera donc une rémunération de 76 euros, résume le Dr Jacques Battistoni, président du syndicat MG France, satisfait des dispositions de l’arrêté. À charge ensuite au médecin d’échanger avec les autres professionnels de santé de son territoire pour réaliser ses tests, soit au fil de l’eau dans son cabinet, soit par demi-journée dédiées aux tests ou dans le cadre d’un centre de prélèvement, par exemple. »

    […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Didier Raoult explique que tous les VIP l’appellent dès qu’ils ont la Covid !

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2020

    Didier Raoult : ses propos très cash envers l'étude contre ...

     

     

    Lors d’un entretien avec Jean-Marc Morandini, lorsque celui-ci lui a demandé s’il prescrivait toujours la chloroquine, la réponse du médecin a fusé :

     

    Vidéo : 

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1314501132660674560/pu/vid/1276x720/tzPo40N08v-SGQ1l.mp4?tag=10

     

    Source : lesobservateurs

  • La loi autorisera les agents publics à arracher les sous-vêtements des Australiens pour les vacciner

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2020

    Auteur : 

    Le Covid est décidément le virus qui rend fou.
     
    L’État d’Australie occidentale a légiféré pour permettre aux policiers ou autres “agents autorisés” de maîtriser les individus qui se montreraient récalcitrants et refuseraient de se déshabiller eux-mêmes. Ils peuvent légalement leur enlever de force leurs sous-vêtements pour  leur administrer le vaccin jugé nécessaire. 
     
    Ces pouvoirs extraordinaires conférés aux “agents autorisés” comprennent l’usage de la force dite “raisonnable” pour : 
    • appréhender les personnes visées, les emmener vers un lieu où elles devront se soumettre à un examen ou à un traitement médical, ou à la vaccination, conformément aux termes de la directive.
    • les détenir sur le lieu où se déroulera l’examen ou le traitement médical, incluant la vaccination.
    • leur faire retirer ou leur retirer de force leurs vêtements, ou sous-vêtements selon que de besoin, pour permettre un examen ou traitement médical ou, éventuellement, l’administration du vaccin à la personne. 
    • Il est précisé que les personnes (s’agit-il toujours de “ personnes” à ce stade?) concernées se voient accorder un délai “raisonnable” pour retirer elles-mêmes leurs sous-vêtements, avant qu’ils ne leur soient arrachés avec usage de la force.
    Le texte de loi est consultable en anglais ici : updated version of the act
     
    La Australian Broadcasting Corporation (ABC) qui fait office de censeur du net, à l’instar du Monde ou de Libération en France, a publié un article pour expliquer que ces pouvoirs n’étaient “applicables que dans le cadre d’un état d’urgence de santé publique”. Or c’est justement le cas en Australie occidentale et ce, depuis le 23 mars 2020, en réponse à la pandémie décrétée par l’OMS à cette même  époque. 
     
    Cet état d’urgence sanitaire aurait évidemment dû cesser puisqu’il n’y a plus eu de transmission du virus en AO depuis le début d’avril dernier. Mais les gouvernements n’abandonnent pas si volontiers les pouvoirs que leur ont conférés des lois liberticides.
    Et c’est ainsi que l’état d’urgence se mue en dictature.
     
    Les Australiens jouissent en ce moment d’un petit répit, car la compagnie pharmaceutique britannique Astrazeneca à laquelle leur gouvernement avait commandé ses futurs vaccins du Covid (utilisant des cellules souches provenant de bébés avortés, soit dit au passage), a annoncé un moratoire après qu’un cobaye britannique soit tombé sérieusement malade. A quelque chose malheur est bon.
     
  • Dr Limeng Yang : le Covid né en laboratoire

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2020

    Le docteur Limeng Yang est un des principaux scientifiques en virologie, et peut-on lire sur Wikipedia, « employée à l’École de Santé Publique de Hong Kong, Université de Hong Kong, menant des recherches spécialisées en virologie et en immunologie. Yan dit qu’elle a été l’un des premiers scientifiques au monde à étudier l’épidémie de coronavirus à Wuhan, en Chine, après que le Dr Leo Poon, son superviseur à l’ Université de Hong Kong (un laboratoire de référence de l’OMS), lui ait demandé d’examiner un groupe de Cas semblables au SRAS à Wuhan, en décembre 2019. »

    Son laboratoire à Hong-Kong a le statut de laboratoire de référence de l’Organisation mondiale de la santé. 

    Le docteur Yan, continue Wikipedia « a fui pour les États-Unis le 28 avril avec l’intention de livrer ‘le message de la vérité sur COVID’, ajoutant que si elle essayait de raconter son histoire en Chine, elle serait ‘disparue et tuée’ ».

    Elle a été interviewée par News Max, média des Etats-Unis. Au cours de son entretien elle n’hésite pas à déclarer que le virus Covid 19 est un virus modifié, une création artificielle née dans le laboratoire de Wuhan. Elle rejoint donc l’analyse des professeurs Montagnier et Tritto

    Elle accuse la Chine d’avoir eu connaissance du virus avant qu’il ne répande dans le monde et de supprimer les informations vitales sur ce coronavirus.

    Concernant le vaccin, elle affirme qu’il ne sera d’aucune utilité, mais qu’il faut donner en prévention de l’hydroxychloroquine.  

    Réfugiée aux Etats-Unis, le docteur Yang craint aussi pour sa sécurité, d’être « vendue au Parti communiste chinois » par ceux qui soutiennent la théorie de l’origine naturelle du virus, nombreux dans les sphères puissantes aux États-Unis.

     

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info