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covid - Page 15

  • La Nouvelle-Zélande déclare qu’elle va placer tous les nouveaux infectés par le COVID et les membres de leur famille en quarantaine dans des « camps »

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2020

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    Les autorités néo-zélandaises ont déclaré qu’elles placeraient toutes les nouvelles personnes infectées par le coronavirus et les membres de leur famille proche dans des « camps de mise en quarantaine ». La nouvelle mesure a été annoncée par le directeur général de la santé, la Dr Ashley Bloomfield, lors d’une conférence de presse hier. « Tous les cas, les cas confirmés, doivent être gérés dans des installations de quarantaine », a déclaré Bloomfield, ajoutant que ce déménagement montrait « combien nous sommes sérieux dans notre volonté de limiter tout risque de transmission continue – même en s’isolant et en incluant les autres membres de la famille ».

    En début de semaine, la Nouvelle-Zélande a pris la décision d’imposer un nouveau confinement de niveau trois à Auckland et un confinement de niveau deux dans le reste du pays après la découverte de seulement 4 nouveaux cas de COVID-19, tous les sujets infectés faisant partie de la même famille.

    Les écoles, les entreprises et les restaurants ont donc tous été fermés pendant une période de trois jours, qu’Ardern a clairement indiqué pouvoir prolonger.

    Avant cela, aucun cas de coronavirus n’avait été enregistré dans l’ensemble du pays depuis 102 jours.

    Le nombre total de décès dus au coronavirus en Nouvelle-Zélande s’élève à 22 personnes seulement pendant toute la durée de la pandémie.

    Dans l’Australie voisine, la police a reçu le pouvoir d’entrer dans les maisons sans mandat pour effectuer des contrôles ponctuels de quarantaine.

    On peut se demander ce qu’il adviendra des Néo-Zélandais qui refusent d’être détenus dans un camp de quarantaine gouvernemental contre leur gré.

    Source : La Nouvelle-Zélande déclare qu’elle va placer tous les nouveaux infectés par le COVID et les membres de leur famille en quarantaine dans des « camps »

  • Covid : un prétexte pour nous museler

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2020

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    Covid : un prétexte pour nous museler

    Le premier ministre a déploré la dégradation de la situation sanitaire et dévoilé des mesures, dont la prolongation jusqu’au 30 octobre de l’interdiction des évènements de plus de 5 000 personnes. Exit les manifestations de rentrée. Jean Castex a aussi donné l’instruction aux préfets « de se rapprocher des élus locaux pour étendre le plus possible l’obligation du port du masque dans les espaces publics ».

    Alors même que 10.000 à 15.000 personnes se sont rassemblées, samedi 8 août, pou rune rave party sauvage en Lozère. Il en restait, lundi, plus de 5.000. Des milliers de fêtards avaient envahi, en toute illégalité et faisant fi de l’interdiction des rassemblements de plus de 5.000 personnes, en plein parc national des Cévennes, un terrain agricole privé. Que font les autorités ? Elles encadrent, elles soignent, elles distribuent, elles laissent faire.

    Voici la courbe des décès du coronavirus en Suède. Il n’y a eu ni confinement ni masques. Seulement une épidémie plus sévère que la grippe habituelle.

    Cela permet au gouvernement d’éviter de traiter les vrais sujets, à commencer par l’ensauvagement de la France. Il va falloir que les Français se défendent seuls contre les hordes de racailles qui imposent leur loi. Y compris  désormais dans les coins les plus calmes, comme cette mère et son fils agressés chez eux, à Chateaubriant, par une horde de turco-voyous. Comme l’écrivait Renaud Camus :

    On nous dit qu’il n’y a pas colonisation car il n’y a pas conquête militaire, pas de soldats défilant dans nos rues. On se trompe. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français

    Vendredi 7 août dans la soirée, une femme enceinte a été violemment agressée en pleine rue, à Vichy (Allier), par un groupe de six mineurs, rapporte le quotidien régional La Montagne. Ses agresseurs l’ont frappée, traînée au sol en la tirant par les cheveux, et menacé « de la faire avorter ».  Fort heureusement, une équipe de la BAC est rapidement arrivée sur les lieux pour stopper les agresseurs. Mais ces derniers ont opposé une farouche résistance. L’auteur des coups a été difficilement maîtrisé par les policiers qu’il a également frappés. Le reste de la bande a insulté les fonctionnaires et leur a craché au visage. Ils ont également filmé l’intervention et diffusé les images sur Internet en se faisant passer pour des victimes de violences policières. Deux jeunes garçons ont finalement été placés en garde à vue, d’après La Montagne. Déjà connus des services de police, ils ont été remis à leurs parents dès le lendemain des faits.

     

    Source : lesalonbeige

  • Afrique, le confinement et le tribalisme tuent plus que le Covid. Silence des Black Lives Matter

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

    A l’heure où le mouvement Black Lives Matter manifeste, bien souvent violemment volontairement, un peu partout dans le monde occidental pour proclamer que « la vie des noirs compte », on aimerait qu’il aille aussi le dire en Afrique, terre d’origine de ces mêmes noirs. Parce que là-bas la vie des noirs, elle ne compte pas beaucoup…, moins que dans cet Occident honnis.

    Et la crise du coronavirus en a donné une preuve supplémentaire. L’épidémie et les mesures de contrôle de sa prévention ont permis le déclenchement d’une vague de violence contre les femmes et les enfants dans de nombreux pays africains. Les écoles et les associations qui les défendent ayant été fermées dans de nombreux États, la chaîne de contrôle des familles a été rompue.

    C’est le triste constat fait par le quotidien italien La Nuova Bussola Quotidiana  :

    « Au Nigéria, les gouverneurs des 36 États qui composent la fédération ont déclaré l’état d’urgence non pas à cause de la pandémie, mais à cause du nombre de viols, qui a connu une nette augmentation depuis le début du confinement. ‘’Les cas croissants de crimes de viol haineux sont effrayants – a déclaré l’archevêque de la capitale Abuja, Mgr Ignatius Ayau Kaigama – la culture du viol est aussi répugnante et répréhensible que déshumanisante.‘’ Il y a 717 cas signalés, un toutes les cinq heures. Beaucoup, certainement beaucoup plus, sont ceux qui ne sont pas signalés, soit parce que les gens ont peu confiance dans le système judiciaire, soit parce que les victimes et les familles veulent éviter la stigmatisation sociale. Une enquête nationale sur la violence à l’égard des enfants réalisée en 2014 a révélé qu’une femme sur quatre a été victime de violences sexuelles enfance, dans 70% des cas plus d’une fois. Seulement 5% ont demandé de l’aide et seulement 3,5% l’ont obtenue. Les femmes qui pourraient porter plainte et qui peuvent se faire entendre risquent d’être tuées. Entre le 28 mai et le 1er juin, deux étudiantes universitaires ont connu ce sort ».

    En Afrique du Sud, la situation n’est pas plus brillante :

    « Les violences sexuelles et les meurtres, qui ont toujours été à des niveaux très élevés, ont encore augmenté pendant le confinement, à tel point que la Conférence épiscopale d’Afrique australe a invité toutes les paroisses et instituts religieux à s’interposer avec un message clair et péremptoire: ‘’Dieu dit «non» à la violence infligée par les hommes aux femmes et aux enfants. Dieu a créé tout notre être: cœur, esprit et corps.‘’ Le président de la république Cyril Ramaphosa a qualifié le phénomène de ‘’deuxième pandémie faisant rage dans le pays‘’. ‘’Nous sommes au milieu non pas d’une, mais de deux pandémies dévastatrices‘’, a-t-il déclaré le 17 juin dernier, prononçant des mots durs de condamnation contre les violeurs et les meurtriers. Au cours de la première semaine de détention, la police a reçu plus de 87 000 signalements de violence contre les femmes et les enfants. »

    En Sierra Leone, la situation est si alarmante qu’elle est décrite comme une ‘’Peste‘’, aggravée d’autant plus par la séquestration peut-on lire dans l’article cité :

    « des milliers de femmes violées et tuées chaque année, avec la circonstance aggravante que la plupart des crimes restent impunis. Le dernier épisode remonte au 17 juin. Une fille de cinq ans, Kadijah Saccoh, a été violée à plusieurs reprises puis étranglée. La première dame, Fatima Jabbe Bio, a lancé une campagne contre la violence sexuelle et – une autre forme de violence – contre les mariages précoces : ‘’Enlevez vos mains de nos filles‘’. Des milliers de personnes ont manifesté dans la capitale Freetown contre le meurtre de la petite Kadijah. »

    Et la litanie  de ces violences africaines de continuer :

    « En Éthiopie et au Kenya, la fermeture des écoles et l’isolement ont également coïncidé avec une énorme augmentation des viols d’enfants, phénomène qui était déjà largement répandu auparavant. Dans trois hôpitaux de la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, 101 garçons et filles violés, certains par des membres de leur famille, ont été hospitalisés en avril et mai. ‘’Le problème est que, contrairement à l’ouverture des écoles, les viols ne sont découverts que lorsque les filles tombent enceintes – expliquent les autorités sanitaires – et de nombreux hommes contraints de rester à la maison se tournent désormais vers leurs enfants.‘’

    « Au Kenya, depuis la fermeture des écoles mi-mars dans le cadre des mesures prises pour contenir le Covid-19, il y a eu une augmentation considérable des grossesses de filles mineures. Selon les données publiées par le ministère de la Santé, plus de 4 000 ont été enregistrées dans l’une des 47 provinces du pays depuis le début de l’année. Les dirigeants politiques de nombreuses provinces ont appelé à l’intervention du gouvernement. Ce qui inquiète davantage les autorités, c’est que, dans de nombreux cas, les auteurs sont des parents des filles. De plus, même au Kenya, il est certain que le phénomène est beaucoup plus répandu qu’il n’en émerge car les grossesses de mineures ne sont souvent pas signalées. La situation est d’autant plus critique qu’avant la pandémie, avec 82 pour mille grossesses, le pays avait l’un des taux de grossesse infantile les plus élevés au monde. »

    Pour l’instant, il ne semble pas que les Black Lives Matter s’intéressent à cette augmentation des violences en Afrique dont les plus faibles sont les victimes, ni d’ailleurs à l’esclavage endémique qui y règne.

    Alors, « la vie des noirs » compte-elle vraiment pour ce mouvement d’extrême-gauche ?

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info