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danemark - Page 3

  • Danemark : Stop aux réfugiés

    Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2021

    L’invasion migratoire ne connait pas la crise… la crise du coronavirus !

    Alors que le minuscule virus met à l’arrêt des pans entiers d’économie, place de vies en parenthèses, confine et interdit, masque les visages et pique les bras, l’envahissement de l’Europe se poursuit sans distanciation ni masque ni vaccin pour les heureux clandestins venus de l’autre côté de la Méditerranée.

    Un pays a décidé, après des décennies de politique immigrationniste bien-pensante, d’y mettre un holà. Le Danemark ne veut plus de réfugiés, trop de difficultés. Il vient donc d’adopter hier jeudi 6 juin une loi lui permettant d’ouvrir des centres pour demandeurs d’asile dans des pays hors UE. Il a été confortablement voté par 70 voix contre 24.

    Cette décision a été portée par le ministre de l’Immigration et de l’Intégration, Mattias Tesfaye, soutenue par la droite et ce que les médias appellent « l’extrême droite ». Dans ses grandes lignes, la loi stipule, qu’en attente d’approbation, tout demandeur d’asile sera envoyé dans un centre d’accueil en dehors de l’Union européenne. Sont acceptés ceux porteurs de maladies graves. Le demandeur d’asile devra rester dans le pays hôte, même s’il obtient le statut de réfugié. En revanche, si sa demande est refusée, il devra quitter le pays. Le texte insiste sur le fait que « le Danemark n’aura pas à fournir de protection au cas où l’étranger obtiendrait l’asile après la fin du traitement effectif de la demande d’asile dans le pays tiers. En revanche, la protection devra être assurée par le pays tiers concerné. Si l’étranger se voit refuser l’asile, ce sera également le pays tiers en question qui devra prendre en charge l’expulsion de la personne en question ».

    Cette nouvelle mesure très controversée, vient s’ajouter aux dernières prises par le royaume nordique qui ne cesse de durcir sa politique migratoire. Pour l’instant, Copenhague serait en discussions avec cinq à dix pays mais aucun n’a officiellement accepté cette sous-traitance. La presse danoise s’accorde sur plusieurs pays africains dont l’Égypte, l’Éthiopie et l’Érythrée.

    Néanmoins, il semblerait que ce soit le Rwanda qui remporte les faveurs du gouvernement danois, Tesfaye s’y est même rendu en avril. Lorsqu’il a présenté son projet de loi, il avait prévenu que les pays hôtes ne seraient « pas forcément des démocraties au sens où nous l’entendons ». « Toute tentative visant à transférer des demandeurs et demandeuses d’asile vers le Rwanda pour l’examen de leur demande d’asile serait non seulement déraisonnable, mais aussi potentiellement illégale. Le Danemark ne peut pas priver les personnes arrivant sur son territoire du droit de solliciter l’asile et les transférer dans un pays tiers sans les garanties requises », rappelait Amnesty International dès le 5 mai. Mais ce n’est pas tout. Le texte voté prévoit également de renvoyer les réfugiés syriens dans leur région d’origine lorsqu’elles sont jugées « sûres ».

    En janvier, le Premier ministre Mette Frederiksen avait rappelé son ambition de « réduire à zéro » le nombre de demandeurs d’asile au Danemark, et le plafonnement du nombre d’habitants « non occidentaux » dans les quartiers.

    L’Agence internationale des Nations Unies, toujours ancrée dans l’idéologie multi-culturelle et plurielle, se distancie du Danemark : elle s’inquiète pour les réfugiés et craint une « érosion du système de protection internationale », si des pays suivent le Danemark :

    « l’asile et la protection deviendront de plus en plus inaccessibles et les réfugiés se retrouveront dans un vide juridique ».

    Face à l’adoption de cette loi, la Commission européenne a elle-aussi exprimé son « inquiétude ». Le projet « soulève des questions fondamentales concernant à la fois l’accès aux procédures d’asile et l’accès effectif à la protection », a déclaré le porte-parole de la Commission, Adalbert Jahnz. Une telle procédure d’externalisation n’est « pas possible » selon les règles européennes, ajoute-t-il, notant toutefois que la décision danoise devait être analysée de « manière plus approfondie » à la lumière des exceptions – « opt-outs » ou dérogations – dont bénéficie le pays sur les questions migratoires.

    Quoi qu’il en soit, à Copenhague, l’exécutif de centre-gauche mène une des politiques migratoires les plus restrictives d’Europe. Comme quoi, la raison peut venir aussi à la bien-pensance…

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Fin du « vivre-ensemble » au Danemark

    Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2021

    Fin du « vivre-ensemble » au Danemark

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    Par un nouveau projet de loi, le gouvernement danois veut limiter la part de la population d’origine « non-occidentale » à 30% maximum dans les quartiers difficiles. Au total, 11% des 5,8 millions d’habitants est étrangère, dont 58% de citoyens « non-occidentaux ».

    Le ministre de l’Intérieur Kaare Dybvad Bek a estimé qu’une proportion trop importante d’étrangers de pays non-occidentaux « augmente le risque de voir grandir une société parallèle religieuse et culturelle ». En France, pour ce genre de propos, il serait condamné.

    15 quartiers danois sont concernés par cette mesure, et 25 autres sont considérés comme « exposés ».

    Le gouvernement danois envisage d’y limiter à 40% d’ici à 2030 le nombre de logements sociaux occupés par des familles étrangères.

    Source : lesalonbeige

  • Suède et Danemark veulent imposer le passeport vaccinal pour pouvoir voyager ou aller au restaurant

    Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021

    La ministre suédoise de la Santé, Lena Hallengren, a annoncé lors d’une récente conférence de presse l’intention du gouvernement de fournir un «certificat de vaccination numérique» aux résidents qui reçoivent un vaccin anti-COVID-19, leur permettant de «voyager à l’étranger en vacances ou pour rencontrer un être cher ».

    La ministre s’est dite convaincue qu’un «certificat de vaccination est probablement aussi souhaitable que de se faire vacciner», ce qui laisse entendre que l’identifiant numérique pourrait devenir nécessaire pour accéder aux voyages internationaux, ainsi que pour les activités quotidiennes telles que les courses et les repas au restaurant.

    Anders Ygeman, ministre suédois du développement numérique, a déclaré que «l’objectif du gouvernement est que le travail aille le plus rapidement possible et que l’infrastructure numérique sera en place d’ici l’été», plus précisément le 1er juin.

    «Lorsque la Suède et les pays qui nous entourent commenceront à s’ouvrir, il sera probablement nécessaire d’avoir un certificat de vaccination pour voyager et participer à d’autres activités», a-t-il déclaré, faisant référence à des entreprises, ainsi qu’aux restaurants, établissant une exigence de preuve de vaccination avant d’autoriser l’accès à leur établissement.

    Le ministre danois des Finances, Morten Bodskov, a suggéré que «dans trois ou quatre mois, un passeport numérique corona sera prêt à être utilisé, par exemple, pour des voyages d’affaires», a rapporté l’Associated Press.

    Le ministre a fait remarquer que le retour des voyages est «absolument crucial» pour rétablir la stabilité économique du pays et faire rouvrir les entreprises. À cette fin, les citoyens danois pourront accéder à un site Web d’ici la fin de ce mois précisant s’ils ont reçu ou non un vaccin COVID-19. En plus de cela, le «passeport» numérique, selon Bodskov, sera «le passeport supplémentaire que vous pourrez avoir sur votre téléphone portable et attestant que vous avez été vacciné».

    Lars Sandahl Sørensen, PDG de l’industrie danoise de la Confédération, a suggéré que les «passeports vaccinaux» seraient un outil réclamé durant longtemps, déclarant que les citoyens «bénéficieront du passeport corona pendant de nombreuses années» puisqu’ils «autoriseront les voyages et la participation à la vie culturelle au Danemark.”

    Ces déclarations ont suscité un vif émoi au Danemark où d’importantes manifestations se tiennent chaque semaine contre un tel projet.

     

    Source : medias-presse.info

  • Danemark : les personnes d’origine étrangère majoritaires dans les prisons

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2020

    Plus de la moitié des détenus des prisons fermées et des centres de détention du pays sont des immigrés, des descendants d’immigrés ou des étrangers.

    C’est ce que montre une nouvelle note du Service danois des prisons et de la probation, qui a été envoyée jeudi à la commission juridique du Parlement.

    On conclut ici que les personnes d’origine étrangère sont plus nombreuses dans les «prisons dures» du pays.

    Autrement dit, les prisons fermées, où vous purgez des peines graves, et les centres de détention, où vous êtes généralement placé en détention provisoire jusqu’à ce que vous alliez au tribunal.

    Le ministre de la Justice Nick Hækkerup est ébranlé

    “C’est effrayant. C’est une confirmation que notre intégration n’a pas réussi et que nous avons un problème pour notre communauté quand il y a des groupes qui frappent si nettement », dit-il.

    Que voulez-vous y faire?

    «Différentes étapes sont nécessaires. Nous avons besoin d’une force de police qui se rapproche des citoyens là où les problèmes sont perçus. Nous devons lutter contre la criminalité plus sévèrement. Nous devons continuer à nous concentrer sur les gangs qui créent actuellement une quantité incroyable de problèmes et d’insécurité.” […]

    Dans les prisons fermées 51,5% des détenus sont désormais d’origine étrangère, tandis que 48,5% est d’origine danoise.

    Dans les centres de détention, jusqu’à 67,8% sont d’origine étrangère.

    Les nouveaux chiffres témoignent d’une forte surreprésentation des criminels parmi les immigrés et les descendants.

    En comparaison, ils ne représentent qu’environ 13,3% de la population selon Statistics Denmark .

    BT.dk via fdesouche

  • Le Danemark estime que la situation en Syrie est suffisamment sûre pour que les migrants syriens puissent rentrer chez eux

    Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2020

    Par  le 07/07/2020

    Le gouvernement danois va commencer à réévaluer les permis de séjour accordés aux demandeurs d’asile en provenance de Syrie car il estime qu’il est désormais sûr pour certains d’entre eux de retourner dans leur pays d’origine.

    Dans un communiqué de presse, le gouvernement danois déclare que la situation à Damas est désormais suffisamment sûre pour que les réfugiés puissent rentrer chez eux.

    Le ministre de l’immigration et de l’intégration, Mattias Tesfaye, a décidé de réexaminer les permis de séjour et d’examiner s’il y a lieu de les révoquer.

    « L’année dernière, près de 100 000 réfugiés sont rentrés chez eux en Syrie en provenance des régions voisines. Leurs compatriotes qui ont reçu une protection en Europe, retourneront bien sûr aussi chez eux, lorsque la situation en Syrie le permettra.

    Ces dernières semaines, le Conseil indépendant des réfugiés a décidé que cinq personnes de la province de Damas n’ont plus droit à une protection temporaire, car la situation dans la région s’est améliorée. C’est pourquoi j’ai décidé que nous examinerons rapidement les cas des réfugiés de Damas afin de déterminer qui n’a plus besoin de protection au Danemark », a déclaré Mattias Tesfaye.

    Times of Sweden via fdesouche