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immigration - Page 16

  • Hongrie et immigration : Viktor Orban serre la vis au droit d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Après la récente décision de la Cour de justice de l’UE qui a défini illégale la détention d’environ 300 immigrants illégaux effectuée par la Hongrie à travers des structures situées le long de la frontière avec la Serbie, le gouvernement Orban a annoncé un resserrement radical précisément dans le domaine des migrations.

    En fait, Budapest a récemment annoncé, en même temps que la libération des aspirants réfugiés en question, une réforme dans un sens encore plus restrictif de la législation nationale sur le droit d’asile. Le changement promu par l’exécutif dirigé par le Fidesz permettra, dans l’intention du Premier ministre magyar, de décourager définitivement les migrants de se blottir aux frontières hongroises pour présenter des demandes de protection internationale aux autorités du pays de l’Europe de l’Est.

    Zoltan Kovacs, porte-parole du gouvernement Orban, a annoncé jeudi le resserrement des lois migratoires hongroises, via un tweet.

    Zoltan Kovacs@zoltanspox

    The transit zone will be abolished, and in the future, asylum seekers will be able to submit their applications in neighboring countries, said Minister Gulyás. More on the BLOG: https://bit.ly/2TpT5CF 

    Selon ce qui a été publié par le haut fonctionnaire du gouvernement, les futures demandes d’asile ne peuvent plus être présentées sur le territoire magyar et donc les aspirants réfugiés, à partir d’aujourd’hui, ne pourront faire valoir leurs demandes de protection internationale que dans les consulats de Budapest présents dans les pays voisins avec la Hongrie, comme la Serbie.

    La déclaration publiée sur le web par Kovacs fait référence à une déclaration publiée à nouveau jeudi par Gergely Gulyás , chef de cabinet d’Orban.

    Au moyen de la note en question, Gulyás a précisément annoncé, après avoir vivement critiqué la décision de l’UE qui a défini la détention d’immigrants illégaux par Budapest comme illégale, qu’il n’y aura bientôt plus de zones de transit le long des frontières hongroises où les migrants pourront déposer leur demande d’asile. A l’avenir ils ne pourront le faire qu’en se rendant dans les bureaux consulaires hongrois opérant dans les “pays sûrs” qui bordent la nation gouvernée par le Fidesz.

    Ce serrement de vis pour contrer l’immigration illégale annoncé par les représentants de l’exécutif d’Orban a immédiatement, souligne le New York Times, mis en colère les organisations humanitaires, tel le Comité hongrois d’Helsinki qui, par la bouche de son porte-parole Zsolt Zadori, a qualifié de « violation de la Convention de Genève sur réfugiés  » la volonté de Budapest de forcer les immigrants à demander l’asile en dehors de la Hongrie.

    Kovacs a immédiatement répondu à cette critique en affirmant la conformité de l’initiative du cabinet Orban avec le texte du traité mentionné par Zadori, tout en précisant que les autorités de Budapest interpréteraient la Convention dans un sens diamétralement opposé à celui suivi par le porte-parole de l’ONG :

    « La Hongrie est entourée de nations sûres. La Convention de Genève stipule que les aspirants réfugiés doivent présenter leur demande dans le premier pays d’arrivée sûr. Nulle part il n’est écrit que les migrants ont le droit de choisir où demander l’asile et donc de violer les lois nationales sur l’immigration, devenant par conséquent des clandestins à repousser. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Immigration : 650 000 Africains attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2020

    Si la crise sanitaire actuelle bouleverse l’économie et exacerbe la violence des populations allogènes en banlieue, elle n’empêche pas des millions d’Africains de vouloir quitter leur continent pour le notre dans les prochaines semaines…

     « Le chiffre paraît démesuré : 650.000 personnes attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe. Essentiellement des gens venus d’Afrique sub-saharienne et qui se retrouvent coincés dans ce pays, entassés dans des camps dans des conditions souvent effroyables, parfois réduits même à l’esclavage. Juste en face de la Libye, la première côte européenne, c’est Malte. Et Evarist Bartolo, son ministre des Affaires étrangères, est très inquiet. Il voit s’accumuler les migrants et les dangers qui les guettent Händel à la guerre civile et le coronavirus.

    Ils sont en effet des centaines de milliers à voir la mer Méditerranée et l’Europe comme leur unique issue de secours. »

     

    Source : contre-info

  • Suède : 73% de l’accroissement démographique vient de l’immigration, les Suédois restent les plus nombreux à quitter le pays

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2020

    Par  le 22/02/2020
     

    Selon les chiffres compilés par Statistics Sweden – un organisme gouvernemental chargé de produire des statistiques officielles sur la Suède – la population suédoise a considérablement augmenté au cours des dix dernières années, atteignant 10 327 589 personnes, soit une augmentation d’environ un million depuis 2009, rapporte le quotidien suédois Dagens Nyheter.

    « La population de la Suède augmente actuellement, en partie parce qu’il y a plus de naissances que de décès, mais surtout parce que l’immigration est plus importante que l’émigration. Environ 73 % de l’augmentation de la population s’explique par l’immigration« , explique l’agence gouvernementale.
    […]
    L’année 2019 a vu un total de 16 028 Suédois émigrer, ce qui en fait le plus grand groupe à avoir quitté le pays sur l’année.
    […]

    DN.se via Voice of Europe

    En 2017, Statistics Sweden avait indiqué qu’environ 2 439 007 personnes, soit 24,1 % des habitants de la Suède, étaient d’origine étrangère, c’est-à-dire que chacune de ces personnes était née à l’étranger ou était née en Suède de deux parents qui étaient eux-mêmes nés à l’étranger. Si l’on tient également compte des personnes n’ayant qu’un seul parent né à l’étranger, ce chiffre passe à près d’un tiers pour 2017.

    Wikipédia anglophone

  • Le coup de poing d’Orban à l’immigration invasion

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2020

    Selon ce que rapporte le quotidien allemand  Der Spiegel, seulement 60 migrants ont obtenu de Budapest le permis de rester sur le sol hongrois en 2019 contre 1200 en 2017 et 327 en 2018. La politique anti-immigration de Viktor Orban porte ses fruits : non seulement les flux ont diminué, mais les demandes d’asile ont chuté parallèlement à des refus en augmentation.

    La Hongrie a rendu la possibilité de rentrer sur son sol et d’y rester plus difficile et a ainsi mis un terme à l’appel d’air que constitue un droit d’asile sans aucune limite : depuis l’année 2019, la gestion du système migratoire a été confiée exclusivement à la police et les demandes d’asile ne peuvent plus être présentées que dans deux check-point proches de la frontière serbe. Ces deux éléments ont influé sur les demandes effectivement déposées.

    Nonobstant que la Hongrie soit une des frontières de l’Europe, elle a réussi à être le pays qui a accueilli le moins de migrants de toute l’Union Européenne. Ce bilan a provoqué la colère de Bruxelles qui a demandé à Budapest de changer ses procédures et surtout d’avoir une approche ouverte vis-à-vis de l’immigration. Sans beaucoup de succès, Orban ne semblant pas intimidé par le courroux bruxellois ni prêt à abandonner sa ligne anti-immigration, la population hongroise étant derrière lui.

    La forte croissance économique et l’amélioration du train de vie des Hongrois ont en effet poussé ces derniers à soutenir les politiques du Fidesz, malgré les sévères critiques venues des cercles européens et les campagnes médiatiques contre Orban.

    Jeudi dernier, lors d’une inspection de la barrière frontalière avec son homologue slovaque, Peter Pellegrini, le chef d’État hongrois a évoqué les mensonges médiatiques sur l’immigration en rappelant que 95 % des clandestins qui arrivent en Europe sont des hommes jeunes, en âge de travailler, et non des familles avec femmes et enfants. Il a pareillement souligné la pression migratoire croissante à la frontière sud de la Hongrie et la réalité de cette invasion : “Il est interdit de le dire en Europe, mais il s’agit d’une invasion organisée”, a-t-il déclaré, assistée par « des organisations de traite à moitié humaines se faisant appeler des ONG » bénéficiant de l’aide de grands financiers.

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Le chef de la diplomatie hongroise : « L’immigration représente une menace très grave pour l’ensemble de l’humanité »

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    Hongrie – Les Nations Unies gaspillent de l’argent pour faciliter les migrations qui représentent un danger pour le monde entier, au lieu de lutter contre le terrorisme, a déclaré le ministre des affaires étrangères, Péter Szijjártó, lors d’une conférence sur la lutte contre le terrorisme qui s’est tenue à Vienne.

    M. Szijjártó a déclaré que la promotion de la migration dans le monde constituait « une menace très grave pour l’ensemble de l’humanité ».

    Il a déclaré que le pacte mondial de l’ONU sur les migrations encourageait les gens à quitter leur pays d’origine. Cela, a-t-il ajouté, met en danger les régions et les pays de passage des migrants.

    « Nous appelons les Nations unies à inclure dans leur budget la lutte contre le terrorisme (…) et à dépenser moins pour les migrations », a déclaré le ministre lors de la conférence organisée par les Nations unies, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et la Suisse.

    Hungary Today via fdesouche