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immigration - Page 16

  • Le Premier ministre slovène : « La démographie est très importante. S’il n’y a plus d’Européens, tout est perdu (…) Les conséquences de l’immigration sont irréparables »

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2020

    Par  le 12/07/2020

    Slovénie – Selon les mots du Premier ministre Janez Janša, idéologiquement, la principale menace pour l’Europe en tant que telle est le marxisme culturel. « Nous suivons tous ce qui se passe et je dois dire que c’est la même formule qui a été écrite dans le Manifeste communiste il y a 200 ans. Pour créer un monde nouveau, selon le communisme, il faut démanteler la nation, la famille, la propriété privée, les écoles privées et la religion. C’est ce qui se passe actuellement, à travers les médias, les universités, l’industrie culturelle, les institutions multinationales et certains partis politiques. Une chose qui a été partiellement mentionnée précédemment est que moins quelqu’un obtient de votes lors d’une élection, plus il ou elle prêche la démocratie, les valeurs, la manière de créer un nouveau monde. Il se passe quelque chose qui est habilement caché, mais quiconque connaît l’histoire et les concepts politiques peut clairement voir où nous allons », a souligné le Premier ministre slovène. (…)

    Selon lui, le défi stratégique le plus important pour l’UE est désormais sa démographie. « Nous pouvons tout faire et même plus, mais s’il n’y a plus d’Européens pour partager les valeurs communes, tout est perdu », a souligné le Premier ministre, ajoutant que les familles sont les cellules de base de la société et qu’elles doivent être protégées et soutenues, c’est pourquoi les politiques favorables à la famille pour les sociétés vieillissantes sont d’une importance stratégique. « (…) Nous pouvons voir les conséquences de l’immigration, qui dans certains pays sont même irréparables », a souligné le Premier ministre.

    Gov.si via fdesouche

  • Accueil, séjour, visas, asile… La lente reprise de la gestion de l’immigration en France

    Publié par Guy Jovelin le 01 juin 2020

    Par  le 31/05/2020

    Les autorités n’ont délivré que quelques centaines de ces sésames en avril, contre 300.000 par mois en moyenne avant la crise.

    Bouleversée par la crise du Covid-19, la gestion de l’immigration en France reprend doucement avec le déconfinement. À la Direction générale des étrangers en France (DGEF), sur les 80 % d’agents actuellement au travail, la moitié collabore encore à distance. Les préfectures fonctionnent aussi en mode un peu moins «dégradé», tandis que la police aux frontières (PAF) s’appuie sur un dispositif restreint pour assurer ses missions aux principaux points de contrôle.

    À l’extérieur de l’Union, la pression migratoire remonte. Certes, entre la Turquie et la Grèce, on compte seulement une centaine d’arrivées de migrants par semaine. Mais la situation se complique en Italie, avec des débarquements directs notamment sur l’île de Lampedusa, en provenance de Libye. Depuis le début de l’année, plus de 4500 illégaux sont arrivés sur les côtes italiennes, avec la ferme intention de poursuivre leur périple vers le nord.

  • Hongrie et immigration : Viktor Orban serre la vis au droit d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Après la récente décision de la Cour de justice de l’UE qui a défini illégale la détention d’environ 300 immigrants illégaux effectuée par la Hongrie à travers des structures situées le long de la frontière avec la Serbie, le gouvernement Orban a annoncé un resserrement radical précisément dans le domaine des migrations.

    En fait, Budapest a récemment annoncé, en même temps que la libération des aspirants réfugiés en question, une réforme dans un sens encore plus restrictif de la législation nationale sur le droit d’asile. Le changement promu par l’exécutif dirigé par le Fidesz permettra, dans l’intention du Premier ministre magyar, de décourager définitivement les migrants de se blottir aux frontières hongroises pour présenter des demandes de protection internationale aux autorités du pays de l’Europe de l’Est.

    Zoltan Kovacs, porte-parole du gouvernement Orban, a annoncé jeudi le resserrement des lois migratoires hongroises, via un tweet.

    Zoltan Kovacs@zoltanspox

    The transit zone will be abolished, and in the future, asylum seekers will be able to submit their applications in neighboring countries, said Minister Gulyás. More on the BLOG: https://bit.ly/2TpT5CF 

    Selon ce qui a été publié par le haut fonctionnaire du gouvernement, les futures demandes d’asile ne peuvent plus être présentées sur le territoire magyar et donc les aspirants réfugiés, à partir d’aujourd’hui, ne pourront faire valoir leurs demandes de protection internationale que dans les consulats de Budapest présents dans les pays voisins avec la Hongrie, comme la Serbie.

    La déclaration publiée sur le web par Kovacs fait référence à une déclaration publiée à nouveau jeudi par Gergely Gulyás , chef de cabinet d’Orban.

    Au moyen de la note en question, Gulyás a précisément annoncé, après avoir vivement critiqué la décision de l’UE qui a défini la détention d’immigrants illégaux par Budapest comme illégale, qu’il n’y aura bientôt plus de zones de transit le long des frontières hongroises où les migrants pourront déposer leur demande d’asile. A l’avenir ils ne pourront le faire qu’en se rendant dans les bureaux consulaires hongrois opérant dans les “pays sûrs” qui bordent la nation gouvernée par le Fidesz.

    Ce serrement de vis pour contrer l’immigration illégale annoncé par les représentants de l’exécutif d’Orban a immédiatement, souligne le New York Times, mis en colère les organisations humanitaires, tel le Comité hongrois d’Helsinki qui, par la bouche de son porte-parole Zsolt Zadori, a qualifié de « violation de la Convention de Genève sur réfugiés  » la volonté de Budapest de forcer les immigrants à demander l’asile en dehors de la Hongrie.

    Kovacs a immédiatement répondu à cette critique en affirmant la conformité de l’initiative du cabinet Orban avec le texte du traité mentionné par Zadori, tout en précisant que les autorités de Budapest interpréteraient la Convention dans un sens diamétralement opposé à celui suivi par le porte-parole de l’ONG :

    « La Hongrie est entourée de nations sûres. La Convention de Genève stipule que les aspirants réfugiés doivent présenter leur demande dans le premier pays d’arrivée sûr. Nulle part il n’est écrit que les migrants ont le droit de choisir où demander l’asile et donc de violer les lois nationales sur l’immigration, devenant par conséquent des clandestins à repousser. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Immigration : 650 000 Africains attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2020

    Si la crise sanitaire actuelle bouleverse l’économie et exacerbe la violence des populations allogènes en banlieue, elle n’empêche pas des millions d’Africains de vouloir quitter leur continent pour le notre dans les prochaines semaines…

     « Le chiffre paraît démesuré : 650.000 personnes attendent sur les côtes libyennes de pouvoir rejoindre l’Europe. Essentiellement des gens venus d’Afrique sub-saharienne et qui se retrouvent coincés dans ce pays, entassés dans des camps dans des conditions souvent effroyables, parfois réduits même à l’esclavage. Juste en face de la Libye, la première côte européenne, c’est Malte. Et Evarist Bartolo, son ministre des Affaires étrangères, est très inquiet. Il voit s’accumuler les migrants et les dangers qui les guettent Händel à la guerre civile et le coronavirus.

    Ils sont en effet des centaines de milliers à voir la mer Méditerranée et l’Europe comme leur unique issue de secours. »

     

    Source : contre-info

  • Suède : 73% de l’accroissement démographique vient de l’immigration, les Suédois restent les plus nombreux à quitter le pays

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2020

    Par  le 22/02/2020
     

    Selon les chiffres compilés par Statistics Sweden – un organisme gouvernemental chargé de produire des statistiques officielles sur la Suède – la population suédoise a considérablement augmenté au cours des dix dernières années, atteignant 10 327 589 personnes, soit une augmentation d’environ un million depuis 2009, rapporte le quotidien suédois Dagens Nyheter.

    « La population de la Suède augmente actuellement, en partie parce qu’il y a plus de naissances que de décès, mais surtout parce que l’immigration est plus importante que l’émigration. Environ 73 % de l’augmentation de la population s’explique par l’immigration« , explique l’agence gouvernementale.
    […]
    L’année 2019 a vu un total de 16 028 Suédois émigrer, ce qui en fait le plus grand groupe à avoir quitté le pays sur l’année.
    […]

    DN.se via Voice of Europe

    En 2017, Statistics Sweden avait indiqué qu’environ 2 439 007 personnes, soit 24,1 % des habitants de la Suède, étaient d’origine étrangère, c’est-à-dire que chacune de ces personnes était née à l’étranger ou était née en Suède de deux parents qui étaient eux-mêmes nés à l’étranger. Si l’on tient également compte des personnes n’ayant qu’un seul parent né à l’étranger, ce chiffre passe à près d’un tiers pour 2017.

    Wikipédia anglophone