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immigration - Page 17

  • Le coup de poing d’Orban à l’immigration invasion

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2020

    Selon ce que rapporte le quotidien allemand  Der Spiegel, seulement 60 migrants ont obtenu de Budapest le permis de rester sur le sol hongrois en 2019 contre 1200 en 2017 et 327 en 2018. La politique anti-immigration de Viktor Orban porte ses fruits : non seulement les flux ont diminué, mais les demandes d’asile ont chuté parallèlement à des refus en augmentation.

    La Hongrie a rendu la possibilité de rentrer sur son sol et d’y rester plus difficile et a ainsi mis un terme à l’appel d’air que constitue un droit d’asile sans aucune limite : depuis l’année 2019, la gestion du système migratoire a été confiée exclusivement à la police et les demandes d’asile ne peuvent plus être présentées que dans deux check-point proches de la frontière serbe. Ces deux éléments ont influé sur les demandes effectivement déposées.

    Nonobstant que la Hongrie soit une des frontières de l’Europe, elle a réussi à être le pays qui a accueilli le moins de migrants de toute l’Union Européenne. Ce bilan a provoqué la colère de Bruxelles qui a demandé à Budapest de changer ses procédures et surtout d’avoir une approche ouverte vis-à-vis de l’immigration. Sans beaucoup de succès, Orban ne semblant pas intimidé par le courroux bruxellois ni prêt à abandonner sa ligne anti-immigration, la population hongroise étant derrière lui.

    La forte croissance économique et l’amélioration du train de vie des Hongrois ont en effet poussé ces derniers à soutenir les politiques du Fidesz, malgré les sévères critiques venues des cercles européens et les campagnes médiatiques contre Orban.

    Jeudi dernier, lors d’une inspection de la barrière frontalière avec son homologue slovaque, Peter Pellegrini, le chef d’État hongrois a évoqué les mensonges médiatiques sur l’immigration en rappelant que 95 % des clandestins qui arrivent en Europe sont des hommes jeunes, en âge de travailler, et non des familles avec femmes et enfants. Il a pareillement souligné la pression migratoire croissante à la frontière sud de la Hongrie et la réalité de cette invasion : “Il est interdit de le dire en Europe, mais il s’agit d’une invasion organisée”, a-t-il déclaré, assistée par « des organisations de traite à moitié humaines se faisant appeler des ONG » bénéficiant de l’aide de grands financiers.

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Le chef de la diplomatie hongroise : « L’immigration représente une menace très grave pour l’ensemble de l’humanité »

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2020

    Par  le 13/02/2020

    Hongrie – Les Nations Unies gaspillent de l’argent pour faciliter les migrations qui représentent un danger pour le monde entier, au lieu de lutter contre le terrorisme, a déclaré le ministre des affaires étrangères, Péter Szijjártó, lors d’une conférence sur la lutte contre le terrorisme qui s’est tenue à Vienne.

    M. Szijjártó a déclaré que la promotion de la migration dans le monde constituait « une menace très grave pour l’ensemble de l’humanité ».

    Il a déclaré que le pacte mondial de l’ONU sur les migrations encourageait les gens à quitter leur pays d’origine. Cela, a-t-il ajouté, met en danger les régions et les pays de passage des migrants.

    « Nous appelons les Nations unies à inclure dans leur budget la lutte contre le terrorisme (…) et à dépenser moins pour les migrations », a déclaré le ministre lors de la conférence organisée par les Nations unies, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et la Suisse.

    Hungary Today via fdesouche

  • Le thème de l’immigration n’intéresse pas LR

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2020

    Le thème de l’immigration n’intéresse pas LR

    Les Républicains consultent actuellement leurs adhérents pour connaitre les thèmes qui les intéressent. L’immigration ne fait pas partie des 12 enjeux proposés. L’abrogation de la loi Taubira non plus.

     

    Source : lesalonbeige

  • Natalité française et européenne

    Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2020

     
    Jean-François Touzé@JeanFranoisTou1
     
    Alors que la population de l'Afrique devrait doubler d'ici 2050 pour atteindre 2,4 milliards d'habitants dont la moitié de - de 25 ans, la #natalite française et européenne continue de baisser et l'immigration de croître. Sursaut, vite! Très vite! Ou submersion.
     
    Image
     
    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
  • Berlin : les parents allemands évitent les écoles à forte immigration

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2020

    Les parents berlinois évitent les écoles primaires de leur propre quartier. Pratiquement une famille sur deux veut envoyer son enfant dans une école en dehors de sa zone locale.

    A peine la place de la garderie a-t-elle été trouvée que ces parents sont pris dans le tumulte suivant : La recherche de la bonne école primaire les rend fous.

    En 2019, environ 45 % de tous les élèves de première année ont demandé à fréquenter une autre école que celle désignée par l'autorité de district respective. Pas moins de 60 % des demandes ont été acceptées. Ainsi près de 30 % des enfants ne se sont pas rendus dans leur école locale. [...]

    Les écoles européennes publiques sont considérées comme des alternatives attrayantes à l'école de quartier en raison de leur éducation bilingue. Les raisons de ce changement varient selon les districts.

    La plus grande proportion de demandes de changement a été enregistrée à Charlottenburg-Wilmersdorf avec 66 %. Le pourcentage le plus faible de demandes de changement a été enregistré à Marzahn-Hellersdorf (23 %) et à Spandau (25 %).

    Les parents redoutent les inconvénients liés aux écoles en milieux difficiles

    Il y a quelques années, le Conseil d’experts des fondations allemandes pour l’intégration et la migration avait commandé une étude visant à déterminer les raisons et les effets qui poussent à éviter l’école de Kiez.

    Cette étude a confirmé l'hypothèse selon laquelle le choix des parents dépend de la proportion de migrants, car ils craignent que leurs enfants apprennent moins dans des écoles où se trouvent de nombreux migrants socialement défavorisés.

    Dans ce contexte, les résultats scolaires plus faibles de certains groupes de migrants sont cités comme argument.

    D’autres parents affirment qu’ils veulent épargner à leur enfant un rôle de marginal du moment que l’école de Kiez compte 60 %, voire 90 %, de migrants.

    La ségrégation sociale s'accroît

    Cependant, le comportement des parents exacerbe encore la ségrégation sociale. L'étude susmentionnée a montré que le quota de migrants d'une école de Kreuzberg différait de 500 % du quota de la zone de desserte.

    [...]

    (Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

    Tagesspiegel.de via lesobservateurs


    Rappel :

    France : "Pourtant je suis de gauche, je suis vraiment de gauche. Mais j'aurais du mal à scolariser mon enfant dans une classe peuplée à 80 % d'enfants dont la langue maternelle n'est pas le français, ça me pose vraiment un problème."