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immigration - Page 20

  • Un ministre turc : « Si nous ouvrons les vannes de l’immigration, aucun gouvernement européen ne pourra survivre plus de 6 mois »

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2019

    Dans une interview accordée à la chaîne de télévision turque TGRT Haber le 22 juillet, le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Çavuşoğlu a déclaré que la Turquie se retirait de l’accord sur les migrants parce que l’Union européenne n’avait pas respecté sa promesse d’accorder aux titulaires de passeport turc un accès sans visa dans 26 pays européens.

    La veille, le ministre turc de l’Intérieur, Süleyman Soylu, accusait les pays européens de laisser la Turquie seule face à la question des migrations. Dans des commentaires publiés par l’agence de presse d’Etat Anadolu Agency, il a mis en garde : « Nous sommes confrontés à la plus grande vague d’immigration de l’histoire. Si nous ouvrons les vannes, aucun gouvernement européen ne pourra survivre plus de six mois. Nous leur conseillons de ne pas tester notre patience. »

    Gatestone Institute / aa.com (source turque) via fdesouche

  • UE : Victor Orban critique les «graves erreurs» des dirigeants européens concernant l’immigration et l’économie

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2019

    Par  le 28/07/2019

    Le Premier ministre hongrois a estimé samedi que l’Union Européenne avait fait de «graves erreurs» au cours des cinq dernières années concernant l’immigration et l’économie

    En visite en Roumanie à l’occasion d’un festival culturel hongrois dans la ville de Baile Tusnad, Victor Orban a déclaré que la Commission Européenne devait permettre à un Conseil des ministres de l’Intérieur européens de décider des problèmes migratoires, comparant son rôle à celui de l’Eurogroupe qui regroupe les ministres des Finances des pays de la zone euro.

    Orban s’en est également pris à ce qu’il a appelé le «militantisme politique» de la Commission Européenne, qui a lancé plusieurs procédures à l’encontre du gouvernement hongrois sur des sujets où celui-ci est considéré comme contrevenant aux règles européennes […], au nombre desquels on trouve des lois perçues comme limitant les droits des demandeurs d’asile […].

    «La Commission doit être le gardien des accords européens et cesser le militantisme politique», a affirmé Orban. «Elle n’est pas une formation politique, elle ne devrait pas avoir de programme ni lancer d’attaques contre des Etats membres.»

    Orban doit rencontrer jeudi à Bruxelles Ursula von der Leyen, la prochaine Présidente de la Commission Européenne. Orban a soutenu sa candidature et indiqué qu’il attendait d’elle une attitude plus conciliante envers la Hongrie et d’autres pays de la région qui s’opposent souvent à la position majoritaire de l’UE sur des sujets comme l’immigration ou les normes environnementales.

    La Hongrie fait aussi face à une procédure dite de l’article 7 […] que le gouvernement hongrois estime être motivée, comme toutes les critiques dont il a fait l’objet ces quatre dernières années, par sa politique de «tolérance zéro» à l’égard de l’immigration, notamment musulmane.

    Dans le domaine économique, Orban considère qu’il est temps de retrouver un idéal «d’économie européenne compétitive», avec davantage de créations d’emploi et «des baisses de taxes partout.»
    […]

    Orban […] a consacré environ la moitié de son intervention de 52 minutes au thème [de la démocratie libérale]. Il a estimé que la liberté chrétienne était attaquée à la fois sur le plan intérieur, par la volonté d’abandon de la culture chrétienne, et sur le plan extérieur, par l’immigration.

    «La conséquence, si ce n’est le but de l’immigration est de détruire l’Europe telle que nous l’avons connue,» a prévenu Orban.

     

    Orban, qui est âgé de 56 ans et a été élu pour un troisième mandat consécutif de quatre ans, et quatrième mandat en tout, en avril 2018, a estimé que la seule façon de renforcer la Hongrie dans les quinze ans à venir était de s’opposer «au Zeitgeist progressiste et à l’internationalisme progressiste.»

     

    AP via fdesouche

  • Fatoumata Diawara : “Il faut que la jeunesse africaine reste en Afrique !”

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2019

    La chanteuse, auteur et comédienne malienne Fatoumata Diawara a sur l’immigration une réflexion qui devrait être relayée plus abondamment.

    Elle est bien sûr touchée par les images de cet exode massif d’Africains qui quittent le continent. Mais Fatoumata Diawara explique regretter cette fuite de la jeunesse africaine vers l’Europe.
    La chanteuse (qui a collaboré avec Matthieu Chedid pour l’album Lamomali) affirme que fuir l’Afrique est une erreur :

    “Il faut que la jeunesse reste en Afrique.”

    Aux journalistes qui l’interrogent, l’artiste malienne refuse que la seule image de l’Afrique dans les autres pays soit celle des bateaux chargés d’immigrés clandestins. Elle répète que les jeunes africains doivent rester sur leur terre afin de construire le continent avec les richesses qui s’y trouvent.

    Un message qui doit être relayé !

     

    Source : medias-presse.info

  • Le RN veut imposer l'immigration non blanche.

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2019

    Le Front National de Jean-Pierre Stirbois c'était, "jamais, jamais nous ne laisserons notre pays s'arabiser !".

    Aujourd'hui représenté par l'Arabe Hossam Messiha avec l'appui de Marine Le Pen, le RN est rempli d'antiracistes haineux qui veulent imposer l'immigration non blanche.

     

    Grâce aux réactions des militants et cadres marinistes du RN, les observateurs peuvent voir à quel point il n'y a pas de "dédiabolisation purement tactique", mais une adhésion radicale de leur part à la défense des immigrés avec les arguments de l'antiracisme type LICRA.

  • Services d'Urgences : la grande misère des hôpitaux français au temps de l'immigration de masse

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2019

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    Jean-François Touzé Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaires

    Après trois mois de grève des personnels paramédicaux (infirmiers et infirmières, aide soignants, accueil) des Urgences hospitalières, la ministre de la santé, Agnès Buzyn, vient de débloquer 70 millions d'euros pour tenter d’enrayer la colère qui monte et de faire baisser la tension avant que les médecins urgentistes ne rejoignent le mouvement.
     
    Après une réunion avec les représentants du personnel hospitalier, la ministre a donc annoncé le versement d’une prime pour les infirmiers et aides-soignants, pour un montant total de 60 millions d’euros, ainsi qu’une enveloppe de 15 millions pour le recrutement d’effectifs. Goutte d'eau pour éteindre l'incendie.
     
    En vingt ans, le nombre de patients admis chaque année aux Urgences est passé de 10 millions à 21 millions. En cause la crise de la médecine libérale, la désertification médicale dans les zones périphériques, la dégradation de la situation sociale de beaucoup de nos compatriotes, les pratiques abusives et anti civiques d'un nombre croissant de personnes qui se rendent en service hospitalier pour un rhume, une gastro-entérite ordinaire ou une pathologie bénigne (selon un professeur de médecine, 25% des gens qui se rendent aux Urgences, n'ont rien à y faire) sachant qu'elles y seront soignées gratuitement, et, bien sûr, parmi elles, la marée montante issue de l'immigration.
     
    Sous effectifs, cadences infernales, salaires inadaptés aux qualifications, engorgement, promiscuité, insécurité chronique et agressions contre les personnels, tel est le lot quotidien des 632 services d'Urgences que compte la France.
     
    Rendons ici hommage à l'ensemble des professionnels hospitaliers, professeurs, médecins, externes, internes, infirmières et infirmiers, aide soignants, agents d'accueil qui, dans des conditions difficiles, souvent à la limite de l’intolérable, maintiennent à bout de bras et jusqu’à la limite de leurs forces la haute conception qu'ils ont de leur devoir avec compétence, dévouement et humanité.
     
    Mais ces efforts seront vains tant que ne sera pas prise en compte la vraie raison de la dégradation continue et dramatique des Urgences. Une raison qui se dissimule derrière le déni des bien-pensants. Citons là encore un professeur de médecine relayé sous couvert d’anonymat par Yvan Rioufol dans le Figaro du 6 février : « le personnel médical est souvent insuffisant et épuisé par la surcharge administrative qui lui est imposée (…) Chez nous, tous les soins et la chirurgie sont remboursés à 100%. L’AME, l’aide médicale d’État, fait que nos hôpitaux sont littéralement envahis par des étrangers. (…) Les Français de souche ont fui nos services car c’est intenable. Ils ne veulent plus être confrontés à ces étrangers, très arrogants pour certains, qui considèrent que la santé est un dû. La tension sociale y est très forte (…) Le personnel hospitalo-universitaire est vraiment très lassé (…) à tel point que notre recrutement s’en ressent ».
     
    Alors, des moyens supplémentaires ? Bien sûr ! Des primes et des salaires renforcés ? Évidemment ! Un effort de l'État en matière d’embauche et de recrutement ? Sans nul doute ! Un contrôle préalable avant toute consultation pour en vérifier la nécessité ? Absolument !
     
    Mais pour que la France conserve sa médecine hospitalière de qualité, pour que les Urgences redeviennent un lieu de soins adaptés, pour que les services ne se transforment pas, peu à peu, en coupe-gorge, pour que disparaissent les brancards faisant office de lit, pour que personne ne meure ni ne souffre plus oublié dans un coin de couloir, pour que les soignants puissent à nouveau exercer leur métier qui est un sacerdoce, dans des conditions de sécurité, de disponibilité et de sérénité optimales, deux mesures s'imposent : IMMIGRATION ZÉRO d’abord, REMIGRATION, ensuite !