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immigration - Page 13

  • Hausse inhabituelle des transferts d’argent vers le Maroc en 2020 en provenance de l’immigration marocaine

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2021

    En 2020, les transferts des fonds des Marocains du monde ont augmenté de 5 % contrairement aux prévisions de Bank-Al-Maghrib qui tablaient sur 1,7 %. Intervenant lors d’une séance de travail sur les opportunités d’investissement, le ministre des Finances a salué la hausse de ces transferts malgré les contraintes économiques provoquées par la crise sanitaire.

    Selon l’Argentier du royaume, cette augmentation révèle “ la solidité des liens entre le Maroc et cette communauté ”. Mohamed Benchaâboum  a rappelé qu’il s’agit d’un fait inhabituel, car depuis plusieurs décennies, “ces transferts évoluent d’une manière régulière et continuent indépendamment des crises et des événements qui pourraient avoir lieu”. (…)

    Bladi.net via fdesouche

  • Immigration : enquête UE sur les dépenses de Frontex

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2021

    En Europe, et notamment en Italie, pays aux milliers de km de frontières maritimes, les migrants clandestins continuent de débarquer par bateaux d’ONG ou embarcations de fortune, et les ports restent ouverts aux navires des ONG avec de nombreuses personnes qui arrivent infectées par le covid.

    Un problème qui devrait en premier concerner Frontex, l’agence européenne de contrôle des frontières. La structure a d’autres problèmes : devenue de plus en plus imposante, elle a fait l’objet d’une enquête d’Olaf, l’organisme antifraude interne de l’UE. L’Agence semble être devenue une machine mangeuse d’argent avec beaucoup de dépenses folles, qui ont très peu à voir avec la lutte contre l’immigration illégale.

    De 2015 à 2019, Frontex a dépensé 2,1 millions d’euros pour cinq événements annuels, que l’agence organise comme une autocélébration. Le journal EUobserver a passé en revue les budgets et a constaté que 94 000 euros avaient été dépensés en un seul dîner au luxueux restaurant Belvedere à Varsovie. Les invités étaient 800 même si on ne sait pas combien étaient réellement présents. Le sommet a été atteint avec l’événement à Sopot, une station balnéaire renommée de la mer Baltique où aucun migrant n’arrive par bateaux. Pour l’événement, les contribuables européens ont déboursé 580 152,22 €.

    Le bureau de presse de l’Agence a déclaré qu’ « avant la comparution du covid, Frontex avait décidé de ne plus tenir l’événement » interrompu en 2020. Il est dommage que d’autres dépenses discutables aient également été mises à jour : Frontex a dépensé 1 million d’euros pour le poste « réunions ». Sans oublier les détails : 17 500 euros pour huit fauteuils finlandais en cuir noir ou 137 000 euros pour refaire le logo de l’agence. Un dîner de Noël des employés a coûté 22 000 euros et une vidéo d’entreprise diffusée par Fuori dal coro montre un cadre qui explique franchement : « Nous avons diverses activités de groupe comme la voile, l’opéra et les matchs de football ». Les employés au siège de Frontex dans le centre de Varsovie sont 1500 et coûtent chaque année 20 millions d’euros. Le budget de Frontex est passé de 6,3 millions d’euros en 2005 à 1,1 milliard d’euros cette année. Et en 2027, on s’attend à ce que l’Agence dispose d’une « armée » de 10 000 personnes.

    L’Office européen de lutte antifraude (Olaf) a ouvert une enquête, confirmée en janvier, non seulement sur les dépenses folles. En décembre, cependant, il avait perquisitionné les bureaux de Leggeri, le directeur de Frontex, et de son chef de cabinet pour un contrat douteux avec une société informatique polonaise. Ces derniers jours, certains documents sont apparus, déjà appelés « dossiers Frontex », sur des rencontres avec des lobbyistes dans le domaine de la sécurité, qui n’auraient pas respecté les règles strictes fixées par Bruxelles. De 2017 à 2019, plus de 70% des réunions (105 sur 149) ont eu lieu avec des personnes non certifiées dans le registre de transparence de l’UE. Cinq réunions régulières ont également eu lieu avec Leonardo, l’un des principaux groupes internationaux du secteur aéronautique, spatial, de télécommunications et de satellites. Frontex s’intéresse aux drones et à la technologie de surveillance des frontières ainsi qu’à la reconnaissance biométrique.

    En attendant, le dernier débarquement en Italie concerne 32 migrants arrivés avec un voilier dans la province de Reggio de Calabre. Sans parler de l’Ocean Viking, fleuron des ONG, appartenant à SOS Méditerranée, qui a trouvé un port ouvert en Sicile pour y amener 422 migrants (125 mineurs) récupérés au large des côtes libyennes à Augusta. Jusqu’à hier soir, 49 avait le covid, mais ce n’est pas grave, le confinement et strictes mesures ne sont que pour les autochtones…

    Dans le viseur de l’Union Européenne se retrouve aussi le directeur de Frontex, Fabrice Leggeri, la « bête noire » des ONG d’extrême-gauche, les talibans de l’accueil à tous prix et de nombreux eurodéputés, notamment de gauche. Alors l’enquête de Olaf, est-ce une campagne organisée pour éliminer Leggeri et réduire Frontex ? Et ainsi affaiblir la lutte officielle, déjà bien mince, contre l’immigration illégale…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Immigration : ne pas confondre le christianisme avec la religion de l’humanité

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    Immigration : ne pas confondre le christianisme avec la religion de l’humanité

    Interrogé en janvier sur France Culture à propos de la signification politique de la parabole du Bon Samaritain, Pierre Manent déclarait :

    « Ce n’est pas parce qu’on secourt un migrant en train de se noyer qu’on doit l’accueillir dans la Cité ensuite. (…) Le pape doit arrêter de délégitimer les nations. »

    Eugénie Bastié a interrogé Pierre Manent dans Le Figaro afin qu’il précise sa pensée sur le thème du christianisme et de l’immigration. Extrait :

    L’injonction à l’ouverture des frontières et à l’accueil inconditionné des migrants est la conséquence de ce que vous appelez « religion de l’humanité » . Celle-ci est-elle une version édulcorée du christianisme (les fameuses « vertus devenues folles » de Chesterton) ou bien en rupture radicale avec celui-ci ?

    Chrétiens ou non, ne confondons pas le christianisme avec la religion de l’humanité qui est aujourd’hui la religion politique de l’Occident, si du moins nous souhaitons faire un peu de clarté sur notre situation. Pour le dire d’un mot, la religion de l’humanité repose sur un sentiment immédiat, que partagent tous les hommes à des degrés divers, à savoir le sentiment du semblable, le sentiment de l’humanité de l’autre homme, qui contiendrait la promesse d’une unification de l’humanité par une sorte de contagion irrésistible, chacun s’identifiant à son semblable, se transportant par l’imagination à la place de son semblable.

    La charité est tout autre chose que le sentiment du semblable ou la compassion. Elle ne repose pas sur le sentiment ni l’imagination. Elle est une disposition active de la volonté, une vertu, qui vise quoi ? Inséparablement Dieu et le prochain, mais d’abord Dieu. Pourquoi ? Ici, il faut casser le morceau. Parce que nous autres hommes, nous ne sommes en réalité ni très aimants ni très aimables. Seule la médiation du Christ, telle est l’affirmation chrétienne, peut nous libérer de la prison du moi. C’est pourquoi la charité ne voit pas l’apparence émouvante du semblable mais vise la présence invisible de Dieu dont notre semblable est l’image. Pardon pour ce comprimé de théologie catholique !

    La religion de l’humanité s’est installée parmi nous à la faveur de l’affadissement du christianisme. Elle consacre notre passivité : incapables de rien vouloir qui nous soit propre, nous attendons que l’autre vienne à nous.

     

    Source : lesalonbeige

  • Les Français ne peuvent pas aller au restaurant ou au cinéma, mais les étrangers peuvent venir en France

    Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2021

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    Le pouvoir des juges a encore frappé : l’immigration ne connaît aucune restriction. Ni le terrorisme, ni le Covid ne sont des raisons valables pour le contrôle des frontières.

    Dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, le gouvernement avait décidé en mars 2020 de limiter la circulation sur le territoire national des personnes en provenance de l’étranger. Depuis, à de rares exceptions près, les membres de la famille des ressortissants d’autres nationalités résidant en France ne peuvent plus entrer sur le territoire national, contrairement aux conjoints et enfants de citoyens français ou européens.

    Le Conseil d’État a suspendu jeudi 21 janvier le gel de la délivrance de visas de regroupement familial aux conjoints et enfants d’étrangers non-européens résidant en France. Cette mesure porte «une atteinte disproportionnée au droit à la vie familiale normale et à l’intérêt supérieur de l’enfant», a estimé le Conseil d’Etat.

     

    Source : lesalonbeige

  • LE FORMATAGE DES JOURNALISTES SUR L’IMMIGRATION, UN TRAVAIL AU QUOTIDIEN

    Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2020

     

    Le formatage des journalistes sur l’immigration, un travail au quotidien

    ALORS QUE LES FLUX D’IMMIGRÉS EXTRA-EUROPÉENS ARRIVANT DANS NOTRE PAYS NE FONT QU’AUGMENTER, LA COUVERTURE MÉDIATIQUE DE L’IMMIGRATION BÉNÉFICIE D’UNE EXTRÊME BIENVEILLANCE. DE RÉCENTES INITIATIVES VISANT À ORIENTER LE TRAITEMENT PAR LES MÉDIAS DE CE PHÉNOMÈNE NOUS MONTRENT QUE L’ESTABLISHMENT NE RELÂCHE PAS LA PRESSION.

    UNE INFORMATION ORIENTÉE PAR LE LOBBY IMMIGRATIONNISTE

    Dans un récent article, nous soulignions les importants efforts faits par l’Union européenne pour inciter les journalistes à présenter sous un jour favorable l’immigration extra-Européenne. L’OJIM fait fréquemment la chronique du traitement totalement biaisé par les médias de grand chemin de l’immigration massive que notre pays connait, en dépit de nombreux problèmes que celui-ci rencontre (islamisme, quartiers de non-droit, etc.).

    Ainsi, alors que des dizaines de milliers d’extra-Européens se massent au guichet de l’Aide sociale à l’enfance des départements pour être pris en charge, nourri logé, blanchi et diverti aux frais du contribuable, ces derniers sont présentés comme des victimes et des enfants vulnérables.

    Dans le meilleur des cas, la couverture médiatique de ce phénomène en pleine expansion oscille entre neutralité et fatalisme. Le plus souvent, ce sont les « bons sentiments » qui servent de point commun pour le présenter. Une présentation qui n’est sans doute pas étrangère au fait que cette filière d’immigration clandestine n’est pas remise en cause, alors qu’elle représente un « pognon de dingue » pour le contribuable.

    « LA LUTTE CONTRE LA DÉSINFORMATION SUR LES SUJETS DES MIGRATIONS », FORMATAGE DES APPRENTIS JOURNALISTES

    L’establishment ne relâche pas la pression et les initiatives en la matière. Parmi celles-ci, l’association « Desinfox migrations » organise des rencontres entre « journalistes, chercheurs et organisations de la société civile autour de l’enjeu commun de lutte contre la désinformation sur le sujet des migrations ».

    QU’EST-CE QUE « DESINFOX MIGRATIONS » ?

    « Désinfox migrations » est une initiative de l’Institut Convergences Migrations, qui se présente sur site comme « organisant des activités de recherche communes (séminaire, journées scientifiques, publications…) (et) finançant des projets de recherche émergents, et des jeunes chercheurs » sur le thème de la migration. L’ICM a été cofondé par de nombreuses institutions d’enseignement supérieur et de recherche (CNRS, EHSS, etc.). Son Directeur, l’inévitable François Héran, est bien connu pour ses convictions immigrationnistes. Ainsi il publiait en octobre 2018 une tribune dans Libération selon laquelle « la ruée d’Africains vers l’Europe (est) une thèse sans valeur scientifique ». Rassurer l’opinion publique sur l’immigration massive semble être un véritable combat militant pour ce membre du Collège de France.

    « Désinfox migrations » se présente pour sa part comme « souhaitant débusquer et répondre aux infox dans le domaine sensible des questions migratoires et d’intégration des immigrés, à un moment où la manipulation des faits migratoires devient un enjeu dans les démocraties, notamment en Europe ».

    Particulièrement actif sur son compte Twitter, les messages sont souvent un modèle du genre pour minorer tant les flux migratoires que les nombreux problèmes qui y sont liés.

    UNE « SENSIBILISATION DES JOURNALISTES » SUR LA MIGRATION

    Il n’y a pas que le grand public que Désinfox migrations souhaite rallier à sa vision édulcorée de l’immigration. La lettre d’information de novembre de Desinfox migrations nous apprend que les étudiants en journalisme disposent d’un bréviaire, euh, d’un manuel sur comment « couvrir les migrations ». On apprend également que Désinfox migrations va dans les prochaines années continuer à sensibiliser les futurs journalistes aux migrations.

    Cette « sensibilisation » pourrait s’inscrire dans la continuité de celle organisée lors de l’année universitaire 2017–2018, au cours de laquelle des étudiants de l’ESJ Lille ont eu la possibilité « d’appréhender en profondeur le sujet de la migration et de s’initier au choix des angles ». On ne doute pas que l’angle retenu visera à susciter l’empathie du lecteur ou du téléspectateur, à partir de récits de vie tous plus émouvants les uns que les autres, comme cela est déjà promu par l’Union européenne.

    La lettre d’information de Desinfox migrations reprend les propos d’un certain Charles Autheman, qui animera probablement un des futurs « ateliers » :
    « La sensibilisation des élèves en journalisme est un volet important de la lutte contre la désinformation an matière de migration ».
    Charles Autheman se présente comme un « expert dans le domaine des médias ». Il est aussi connu pour les nombreuses actions qu’il mène pour présenter l’immigration légale et illégale sous un jour favorable. Ainsi, il organisait en 2012 des « ateliers consacrés à l’information et au renforcement des capacités de journalistes sur les questions migratoires ». En 2015, sur le site musulman Saphirnews, il déclarait que « la presse simplifie à outrance  » au sujet des passages clandestins en méditerranée, en parlant des « passeurs » comme « du mal absolu. (…) ». « Si on dézingue un passeur, il y en aura dix qui arriveront derrière. Ce n’est pas LA solution », affirmait-il. La messe est dite.

    Voir notre article sur le pacte de Marrakech dont nous extrayons la conclusion :

    L’article 33, alinéa C stipule qu’il faut : « Promouvoir une information indépendante, objective et de qualité…en instituant des normes déontologiques pour les journalistes et la publicité et en cessant d’allouer des fonds publics aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et autres formes de discrimination envers les migrants ». On ne saurait être plus clair sur son caractère contraignant. Et liberticide.

     

    Source : ojim