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immigration - Page 10

  • Gaz, Visas, Immigration illégale : Élisabeth Borne se rendra à Alger les 9 et 10 octobre pour relancer des liens bilatéraux

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2022

    La première ministre doit concrétiser avec son homologue algérien Aïmene Benabderrahmane, lors d’un comité intergouvernemental, le «partenariat» conclu entre les présidents des deux pays fin août.

    […]

     

    Des annonces seront faites «prochainement» sur une possible augmentation des livraisons de gaz algérien en direction de la France, en pleine crise énergétique alimentée par la guerre en Ukraine, avait aussi précisé le porte-parole du gouvernement Olivier Véran au lendemain de la visite d’Emmanuel Macron en Algérie, qui s’était félicité qu’Alger aide «à la diversification» des approvisionnements en gaz de l’Europe.

    «Un partenariat renouvelé, concret et ambitieux»: après des mois de crise, Emmanuel Macron et son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune avaient gravé dans le marbre le 27 août, dans une déclaration commune, la relance des liens bilatéraux, au terme d’une visite de trois jours du chef de l’Etat français en Algérie. Mais elle doit maintenant s’accompagner de gestes concrets.

    […]

     

    Lors de cette visite, les deux dirigeants avaient par ailleurs ouvert la voie à un assouplissement du régime de visas accordés à l’Algérie, en échange d’une coopération accrue d’Alger dans la lutte contre l’immigration illégale.

    Le Figaro via fdesouche

  • Énigme…

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2022

    Énigme…

    Interrogé par le JDD sur le lien entre immigration et délinquance, le ministre de l’Intérieur a communiqué quelques statistiques sur la surreprésentation des étrangers dans les statistiques de la police et de la justice. Et il a pondu une jolie énigme, fille de la politique du « en même temps » :

    Il n’y a pas de lien mais il y a un problème de délinquance étrangère…

    Si la surreprésentation des étrangers parmi les détenus en France est bien renseignée, et depuis longtemps, par les services du ministère de la Justice, il est plus rare en revanche que Beauvau communique de telles statistiques concernant la nationalité des personnes interpellées par les forces de l’ordre.

    Le criminologue Xavier Raufer avait par exemple évoqué un document interne de la préfecture de police de Paris selon lequel 70 % des individus fréquemment interpellés par les forces de l’ordre en région parisienne auraient des noms «à consonance étrangère non-européenne».

     

    Source : lesalonbeige

  • L’immigration comme cause massive de la délinquance : Gérald Darmanin a-t-il changé

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2022

    Posté par Eric Martin  Il y a 13 heures

    L’immigration comme cause massive de la délinquance : Gérald Darmanin a-t-il changé

    Gérald Darmanin le 3 août dans Le Figaro :

    “Aujourd’hui, les étrangers représentent 7 % de la population française et commettent 19 % des actes de délinquance. Refuser de le voir, ce serait nier le réel. Mais il serait faux de réduire la délinquance aux étrangers. Nous devons avoir davantage de fermeté lorsqu’on constate que, à Lyon et à Paris, respectivement 39 % et 48 % des actes de délinquance sont le fait d’étrangers, souvent des multirécidivistes qui n’ont rien à faire sur notre sol et que je vais m’employer à expulser.”

    Le 28 juillet 2020, Gérald Darmanin se disait à « 100.000 lieues » de faire « le lien entre immigration et insécurité » :

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1555097924668952577

     

     

  • Angers : « On ne règlera pas le problème de l’insécurité tant qu’on ne traitera pas celui de l’immigration »

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2022

    FIGAROVOX/TRIBUNE – À Angers, trois jeunes ont été tués au couteau dans la nuit du 15 au 16 juillet. Pour le délégué de l’Institut pour la Justice Pierre-Marie Sève, cette nouvelle attaque illustre le lien entre immigration illégale et délinquance.

    Pierre-Marie Sève est délégué général de l’Institut pour la Justice (IPJ), une association de citoyens mobilisés au côté des victimes.

    À Angers, dans la nuit du 15 au 16 juillet, trois jeunes ont été tués au couteau. Après être intervenus pour défendre une jeune fille victime d’agression sexuelle, ces trois jeunes, dont un était mineur, ont été tués par un réfugié soudanais armé d’un couteau de boucher. La veille, un sans-abri était tué au couteau à Amiens, par deux Tunisiens en situation irrégulière. Encore quelques jours plus tôt, une Montpelliéraine de 46 ans était attaquée et blessée au couteau par un Érythréen, lui aussi en situation irrégulière. Il est difficile de ne pas voir un lien entre l’extranéité des auteurs de ces attaques et ce mode opératoire particulier de l’attaque au couteau. En effet, si ce lien n’est pas systématique, les étrangers, qui représentent moins de 10% de la population, sont clairement surreprésentés parmi les auteurs.

    L’attaque au couteau est, par ailleurs, très fortement liée au terrorisme islamique. L’État islamique en avait ainsi fait une de ses spécialités. À Noël dernier encore, un projet d’attentat au couteau avait par exemple été déjoué par les services de renseignement français. Autre exemple: en 2019, dans une tristement célèbre vidéo de propagande de l’État islamique vue des centaines de milliers de fois, un terroriste appelait à tuer les Français sur leur sol en ces mots : «Nul besoin d’un fusil d’assaut ou d’une arme de poing, une simple arme blanche suffit». Enfin, cette violence exacerbée avait atteint un sommet lors de l’assassinat de Samuel Paty, décapité au couteau. Alors que le gouvernement vient d’annoncer sa volonté d’expulser les délinquants étrangers, cette vague d’agressions au couteau est le symbole d’une dimension centrale de l’insécurité: son lien avec l’immigration. Il ne s’agit pas, bien sûr, d’essentialiser à mauvais escient: une large part de la violence en France n’a pas de lien avec l’immigration et se déroule en France, entre Français.

    Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal , la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée.

    Pierre-Marie Sève

    Mais beaucoup d’éléments tendent à rappeler que le problème de l’insécurité ne sera jamais réglé tant que son lien avec l’immigration ne sera pas traité. Comme le rappelle un rapport de l’Institut pour la Justice, ce sont d’abord les statistiques officielles du ministère de l’intérieur lui-même qui notent une surreprésentation des étrangers dans la délinquance et la criminalité. Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal, la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée. Les étrangers sont donc surreprésentés dans toutes les catégories de crimes et délits du Code pénal: des homicides aux crimes sexuels en passant par les vols de voitures ou les escroqueries. Cette surreprésentation, qui ne prend même pas en compte les personnes issues de l’immigration devenues françaises, se retrouve logiquement dans la proportion d’étrangers en prison. En octobre 2021, le ministère de la Justice dénombrait 24,5% d’étrangers dans les prisons françaises. Une autre surreprésentation. En allant plus loin, on peut penser que l’immigration, même devenue française, peut être génératrice de violence. La fameuse étude «Le déni des cultures» du sociologue Hugues Lagrange constatait, en 2013, que les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués dans des délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones.

    Le constat d’une surreprésentation de la violence parmi les immigrés est sans appel et pose bien des questions. Ajoutons enfin que ce phénomène de surreprésentation des étrangers parmi les délinquants n’est pas non plus une exception française. Par exemple, le Conseil national suédois pour la prévention de la délinquance a déjà rendu plusieurs rapports mettant en évidence un taux de criminalité plus fort parmi les étrangers que parmi les Suédois. Ou encore, toujours en Suède, l’université de Lund a récemment établi que 47% des personnes condamnées pour viol étaient nées à l’étranger. Au vu de tous ces éléments écrasants, le lien entre immigration et délinquance, s’il a longtemps été nié, ne fait aujourd’hui plus aucun doute. Ce constat est d’autant plus fâcheux qu’il existera également une différence fondamentale entre la criminalité d’origine autochtone et celle d’origine étrangère.

    Pour ce vaste sujet de l’immigration illégale, il faudra notamment commencer par rétablir le délit de séjour irrégulier sur le territoire.

    Pierre-Marie Sève

    (…) Le Figaro via fdesouche