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immigration - Page 9

  • Immigration et droit d’asile : pourquoi ne pas saisir le navire ?

    Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022

    Immigration et droit d’asile : pourquoi ne pas saisir le navire ?

    De Christian Baeckeroot, ancien député, pour le Salon beige:

    Bien que titulaire d’une licence en Droit public (licence en 4 ans soit l’équivalence d’une maîtrise), je ne me considère pas comme un juriste faisant autorité.

    Par contre, je suis un père de famille et un grand-père préoccupé par l’immigration et en particulier par l’immigration illégale. Je constate que l’accueil de « migrants naufragés » oppose 2  positions :

    1/  Pour les uns il faut accueillir ces « migrants naufragés » au nom d’une  « obligation humanitaire » ;

    2/ Pour les autres c’est accepter et encourager une immigration illégale.

    Face à ce problème aujourd’hui sans solution, il est indispensable de faire évoluer le Droit et pourquoi pas  mettre les ONG  « sauveteurs » en face de leurs responsabilités dans la mise en pratique de cette traite d’êtres humains.

    Le cadre juridique à établir pourrait :

    1/ imposer aux navires « sauveteurs » une « boite noire » permettant une localisation permanente de chaque navire et le suivi de son parcours ;

    2/ exiger une identification immédiate du navire procédant à un sauvetage ;

    3/ attendre les instructions pour faire route vers la zone de départ ou  vers un port d’accueil.

    Aux juristes de mettre en forme cette proposition ou une proposition similaire.

    Dans l’attente d’un cadre juridique ratifié par l’Etat ou du non respect par le navire du cadre juridique , la procédure  d’urgence suivante pourrait  être appliquée :

    1/ débarquement des « migrants » pour examen de leur situation ;

    2/ saisie du navire à titre conservatoire ;

    3/ ouverture d’une procédure judiciaire à l’encontre de l’armateur et du capitaine.

    Les  Français doivent rester maîtres de leur destin.

     

    Source : lesalonbeige

  • Immigration, délinquance, nucléaire… Suède : accord pour un nouveau gouvernement soutenu par le parti anti-immigration des «Démocrates de Suède» arrivé en tête du bloc de droite

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    Après huit ans de gouvernement social-démocrate, la droite revient ainsi aux commandes en Suède au terme d’un rapprochement sans précédent avec les Démocrates de Suède (SD), grands vainqueurs des élections du 11 septembre avec un score record de 20,5 % des voix. Le bloc constitué par la droite est parvenu à un accord, vendredi, pour former un gouvernement, en obtenant le soutien inédit de l’extrême droite des Démocrates de Suède. Le vote pour désigner un Premier ministre doit avoir lieu lundi.

    S’il n’entre pas au gouvernement – une option rejetée par les autres partis de droite – le parti mené depuis 17 ans par Jimmie Åkesson est la principale force parlementaire de la nouvelle majorité et la deuxième du pays, avec 73 sièges. En ajoutant les Modérés (68 fauteuils), les Chrétiens-démocrates (19) et les Libéraux (16), la “constellation” des droites compte une majorité absolue étriquée de 176 sièges.

    Nous aurions volontiers aimé voir un gouvernement de majorité dans lequel nous aurions participé“, a déclaré Jimmie Åkesson lors de la conférence de presse commune des quatre partis de droite. “Il est donc très important pour nous que nous ayons une entente globale sur les questions politiques“, a-t-il ajouté.

    Les trois partis de la droite suédoise se sont mis d’accord vendredi 14 octobre pour former un gouvernement, avec l’appui inédit de l’extrême droite des Démocrates de Suède (SD) au Parlement. “Les Modérés (conservateurs), les Chrétiens-Démocrates et les Libéraux vont former un gouvernement et coopérer avec les Démocrates de Suède au Parlement“, a déclaré le chef du parti conservateur des Modérés, Ulf Kristersson, lors d’une conférence de presse.

    Les partenaires ont dévoilé une feuille de route prévoyant notamment des mesures pour lutter contre la criminalité et résorber l’immigration, ainsi qu’une relance de l’énergie nucléaire dont la Suède s’était détournée ces dernières décennies. De nouveaux réacteurs nucléaires seront construits“, a déclaré la cheffe du parti chrétien-démocrate, Ebba Busch, lors de la présentation de la nouvelle équipe. Ces dernières années, le royaume scandinave a fermé six de ses 12 réacteurs. Ceux encore en activité produisent environ 30 % de l’électricité utilisée dans le pays aujourd’hui.

    Les bouleversements du marché de l’énergie provoqués par la guerre en Ukraine ont relancé le débat sur l’avenir de la politique énergétique en Suède, comme dans les autres pays d’Europe. Le parti social-démocrate sortant, au pouvoir pendant huit ans, était officiellement opposé à la construction de nouveaux réacteurs.

    Plus tôt cette année, ils avaient toutefois donné des signaux plus positifs en validant en début d’année la création d’un centre de stockage définitif de déchets nucléaires. En juin, le groupe Vattenfall avait également annoncé envisager la construction de petits réacteurs nucléaires en Suède afin de répondre à la demande croissante d’électricité.  […]

    France 24 via fdesouche

  • L’erreur économique de l’immigration

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2022

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    Posté par Jean-Gilles Malliarakis  Il y a 22 heures

    Dans notre précédente chronique nous nous sommes attachés à rappeler que “l’indigénisme”, le “wokisme”, et l’islamo-gauchisme procèdent tous de l’inversion totale des faits. Ils supposent une manière d’ignorance organisée de l’histoire dès lors qu’ils transforment, en quelque sorte, les immigrés en envahisseurs “légitimes”.

    Or, une question essentielle demeure : “Qui les a fait venir ?”, d’autant plus que ce processus ne relève pas des mystères oubliés du passé mais de leur prolongation en tant que réalité du présent. Certes l’étude des grandes invasions d’autrefois démontre qu’en général elles ont été précédées de phénomènes migratoires, du mercenariat militaire sous l’Empire romain, et du déclin démographique inhérent aux peuples civilisés.

    Une hypocrisie récurrente et à courte vue nous serine à l’envi, depuis 50 ans, que “les immigrés exécutent les travaux que les Français ne veulent pas faire”.

    Ce raisonnement faux et sommaire tire aussi ses arguments de tous les constats superficiels sur les “manques de main-d’œuvre”. On les déplore ainsi actuellement dans certains secteurs comme l’agroalimentaire, l’hôtellerie-restauration, le transport voire l’ingénierie. Merci au “quoiqu’il en coûte” de Macron en 2020. Merci aussi à la retraite à 60 ans inventée par Mitterrand en 1981 dans l’espoir de réduire le chômage. Merci aux 35 heures des lois Aubry de l’an 2000. Merci aussi, dans l’artisanat, à la pseudo-réforme Fillon de 2003. Tout cela vient donc de loin. L’une des raisons invoquées se polarise certes aujourd’hui sur une indemnisation du chômage jugée trop généreuse. Et un tel argument, qui n’est pas entièrement faux, braque le débat sur la réforme de l’assurance chômage voulue par le gouvernement et combattue par la gauche

    Mais on doit retenir surtout deux failles imparables de cette rhétorique :

    1° l’évolution du recrutement des éboueurs parisiens a prouvé, à partir des années 1990, qu’à partir d’un certain niveau de rémunération, d’une amélioration de leurs conditions de travail et d’un meilleur respect envers les tâches manuelles, les Français acceptent précisément ces emplois, que l’école républicaine laïque et obligatoire, relayée par le cinéma, dénigre dès l’enfance.

    2° quant aux immigrés eux-mêmes, pas plus bêtes que les Français leurs raisonnements se révèlent largement parallèles. Croire le contraire caractériserait précisément le “racisme”. Si les allocations sont supérieures aux salaires, ils choisissent l’assistanat. Si l’accès à la protection sociale ne nécessite pas d’effort contributif, ils se dispensent volontiers d’y cotiser. Il est vrai qu’une partie d’entre eux réalise dans le secteur de la délinquance ordinaire ou du trafic de drogue des performances très supérieures à celles de la moyenne nationale…

    On en arrive enfin à la nouvelle formulation du précédent discours et l’on entend dire désormais : “les immigrés illégaux font le travail que les immigrés réguliers ne veulent plus faire”. Oui la boucle de l’immigrationnisme est bouclée.

    Néanmoins certains cercles continuent de croire qu’en subventionnant la CGT, on “achète la paix sociale” et que l’immigration constitue effectivement une “armée de réserve” au service du capitalisme.

    Ce préjugé marxiste existait déjà en 1864. La Première Internationale se réunissait à Londres et Karl Marx y développait ses thèses dans sa fameuse adresse inaugurale. Le prophète du British Museum croyait alors pouvoir démontrer que les conditions de vie de la classe ouvrière ne pourraient aller qu’en se dégradant. Et, surtout, la première revendication formulée alors par l’Association naissante fut de s’opposer l’immigration de main-d’œuvre qui conduisait des ouvriers belges à travailler en Grande Bretagne.

    Toute l’Histoire économique réelle tend à démontrer le contraire des postulats marxistes. Ce n’est certainement pas la traite négrière qui a permis la révolution industrielle. Celle-ci ne s’est pas accomplie dans le monde islamique, la plus esclavagiste de toutes les sociétés humaines avant même le communisme, ni d’ailleurs dans les plantations antillaises de canne à sucre, encore moins au Sierre Leone et au Bénin fournisseurs du malheureux “bois d’ébène”. Si elle s’est développée en Angleterre au XVIIIe siècle c’est précisément, en grande partie, parce que les salaires y étaient alors les plus élevés d’Europe.

    Il est vrai que Marx n’a retenu des premiers économistes, ceux qu’on appelle les classiques, Adam Smith et Ricardo, que leur approximation erronée de la “valeur travail”. Mais c’est sur la base de la théorie de la plus-value et de l’accumulation, qui en découle, que technocrates et autres immigrationnistes ont bâti leurs modèles purement quantitatifs.

    Michel Debré résume leur programme et leur paradigme. Nommé par Jean Moulin parmi les experts pour contribuer au programme planiste de la Résistance, il devint sous la quatrième république l’un des plus redoutables opposants au parlementarisme. Enfin principal rédacteur de la constitution de 1958, il sera nommé en 1959 premier chef du gouvernement de la cinquième république. Michel Debré père de la constitution de 1958. Il théorisait que “si nous étions 100 millions de Français” nous serions une grande puissance et que par conséquent, si nous ne pouvons y parvenir par la natalité, nous devons recourir à l’immigration.

    Si ma tante en avait quatre, observe avec bon sens un proverbe américain – moins grossier que sa version française, – elle serait un autobus.

    > Jean-Gilles Malliarakis anime le blog L’Insolent.

  • Angers : « On ne règlera pas le problème de l’insécurité tant qu’on ne traitera pas celui de l’immigration »

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2022

    FIGAROVOX/TRIBUNE – À Angers, trois jeunes ont été tués au couteau dans la nuit du 15 au 16 juillet. Pour le délégué de l’Institut pour la Justice Pierre-Marie Sève, cette nouvelle attaque illustre le lien entre immigration illégale et délinquance.

    Pierre-Marie Sève est délégué général de l’Institut pour la Justice (IPJ), une association de citoyens mobilisés au côté des victimes.

    À Angers, dans la nuit du 15 au 16 juillet, trois jeunes ont été tués au couteau. Après être intervenus pour défendre une jeune fille victime d’agression sexuelle, ces trois jeunes, dont un était mineur, ont été tués par un réfugié soudanais armé d’un couteau de boucher. La veille, un sans-abri était tué au couteau à Amiens, par deux Tunisiens en situation irrégulière. Encore quelques jours plus tôt, une Montpelliéraine de 46 ans était attaquée et blessée au couteau par un Érythréen, lui aussi en situation irrégulière. Il est difficile de ne pas voir un lien entre l’extranéité des auteurs de ces attaques et ce mode opératoire particulier de l’attaque au couteau. En effet, si ce lien n’est pas systématique, les étrangers, qui représentent moins de 10% de la population, sont clairement surreprésentés parmi les auteurs.

    L’attaque au couteau est, par ailleurs, très fortement liée au terrorisme islamique. L’État islamique en avait ainsi fait une de ses spécialités. À Noël dernier encore, un projet d’attentat au couteau avait par exemple été déjoué par les services de renseignement français. Autre exemple: en 2019, dans une tristement célèbre vidéo de propagande de l’État islamique vue des centaines de milliers de fois, un terroriste appelait à tuer les Français sur leur sol en ces mots : «Nul besoin d’un fusil d’assaut ou d’une arme de poing, une simple arme blanche suffit». Enfin, cette violence exacerbée avait atteint un sommet lors de l’assassinat de Samuel Paty, décapité au couteau. Alors que le gouvernement vient d’annoncer sa volonté d’expulser les délinquants étrangers, cette vague d’agressions au couteau est le symbole d’une dimension centrale de l’insécurité: son lien avec l’immigration. Il ne s’agit pas, bien sûr, d’essentialiser à mauvais escient: une large part de la violence en France n’a pas de lien avec l’immigration et se déroule en France, entre Français.

    Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal , la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée.

    Pierre-Marie Sève

    Mais beaucoup d’éléments tendent à rappeler que le problème de l’insécurité ne sera jamais réglé tant que son lien avec l’immigration ne sera pas traité. Comme le rappelle un rapport de l’Institut pour la Justice, ce sont d’abord les statistiques officielles du ministère de l’intérieur lui-même qui notent une surreprésentation des étrangers dans la délinquance et la criminalité. Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal, la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée. Les étrangers sont donc surreprésentés dans toutes les catégories de crimes et délits du Code pénal: des homicides aux crimes sexuels en passant par les vols de voitures ou les escroqueries. Cette surreprésentation, qui ne prend même pas en compte les personnes issues de l’immigration devenues françaises, se retrouve logiquement dans la proportion d’étrangers en prison. En octobre 2021, le ministère de la Justice dénombrait 24,5% d’étrangers dans les prisons françaises. Une autre surreprésentation. En allant plus loin, on peut penser que l’immigration, même devenue française, peut être génératrice de violence. La fameuse étude «Le déni des cultures» du sociologue Hugues Lagrange constatait, en 2013, que les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués dans des délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones.

    Le constat d’une surreprésentation de la violence parmi les immigrés est sans appel et pose bien des questions. Ajoutons enfin que ce phénomène de surreprésentation des étrangers parmi les délinquants n’est pas non plus une exception française. Par exemple, le Conseil national suédois pour la prévention de la délinquance a déjà rendu plusieurs rapports mettant en évidence un taux de criminalité plus fort parmi les étrangers que parmi les Suédois. Ou encore, toujours en Suède, l’université de Lund a récemment établi que 47% des personnes condamnées pour viol étaient nées à l’étranger. Au vu de tous ces éléments écrasants, le lien entre immigration et délinquance, s’il a longtemps été nié, ne fait aujourd’hui plus aucun doute. Ce constat est d’autant plus fâcheux qu’il existera également une différence fondamentale entre la criminalité d’origine autochtone et celle d’origine étrangère.

    Pour ce vaste sujet de l’immigration illégale, il faudra notamment commencer par rétablir le délit de séjour irrégulier sur le territoire.

    Pierre-Marie Sève

    (…) Le Figaro via fdesouche