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immigration - Page 9

  • Immigration, délinquance, nucléaire… Suède : accord pour un nouveau gouvernement soutenu par le parti anti-immigration des «Démocrates de Suède» arrivé en tête du bloc de droite

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    Après huit ans de gouvernement social-démocrate, la droite revient ainsi aux commandes en Suède au terme d’un rapprochement sans précédent avec les Démocrates de Suède (SD), grands vainqueurs des élections du 11 septembre avec un score record de 20,5 % des voix. Le bloc constitué par la droite est parvenu à un accord, vendredi, pour former un gouvernement, en obtenant le soutien inédit de l’extrême droite des Démocrates de Suède. Le vote pour désigner un Premier ministre doit avoir lieu lundi.

    S’il n’entre pas au gouvernement – une option rejetée par les autres partis de droite – le parti mené depuis 17 ans par Jimmie Åkesson est la principale force parlementaire de la nouvelle majorité et la deuxième du pays, avec 73 sièges. En ajoutant les Modérés (68 fauteuils), les Chrétiens-démocrates (19) et les Libéraux (16), la “constellation” des droites compte une majorité absolue étriquée de 176 sièges.

    Nous aurions volontiers aimé voir un gouvernement de majorité dans lequel nous aurions participé“, a déclaré Jimmie Åkesson lors de la conférence de presse commune des quatre partis de droite. “Il est donc très important pour nous que nous ayons une entente globale sur les questions politiques“, a-t-il ajouté.

    Les trois partis de la droite suédoise se sont mis d’accord vendredi 14 octobre pour former un gouvernement, avec l’appui inédit de l’extrême droite des Démocrates de Suède (SD) au Parlement. “Les Modérés (conservateurs), les Chrétiens-Démocrates et les Libéraux vont former un gouvernement et coopérer avec les Démocrates de Suède au Parlement“, a déclaré le chef du parti conservateur des Modérés, Ulf Kristersson, lors d’une conférence de presse.

    Les partenaires ont dévoilé une feuille de route prévoyant notamment des mesures pour lutter contre la criminalité et résorber l’immigration, ainsi qu’une relance de l’énergie nucléaire dont la Suède s’était détournée ces dernières décennies. De nouveaux réacteurs nucléaires seront construits“, a déclaré la cheffe du parti chrétien-démocrate, Ebba Busch, lors de la présentation de la nouvelle équipe. Ces dernières années, le royaume scandinave a fermé six de ses 12 réacteurs. Ceux encore en activité produisent environ 30 % de l’électricité utilisée dans le pays aujourd’hui.

    Les bouleversements du marché de l’énergie provoqués par la guerre en Ukraine ont relancé le débat sur l’avenir de la politique énergétique en Suède, comme dans les autres pays d’Europe. Le parti social-démocrate sortant, au pouvoir pendant huit ans, était officiellement opposé à la construction de nouveaux réacteurs.

    Plus tôt cette année, ils avaient toutefois donné des signaux plus positifs en validant en début d’année la création d’un centre de stockage définitif de déchets nucléaires. En juin, le groupe Vattenfall avait également annoncé envisager la construction de petits réacteurs nucléaires en Suède afin de répondre à la demande croissante d’électricité.  […]

    France 24 via fdesouche

  • L’erreur économique de l’immigration

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2022

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    Posté par Jean-Gilles Malliarakis  Il y a 22 heures

    Dans notre précédente chronique nous nous sommes attachés à rappeler que “l’indigénisme”, le “wokisme”, et l’islamo-gauchisme procèdent tous de l’inversion totale des faits. Ils supposent une manière d’ignorance organisée de l’histoire dès lors qu’ils transforment, en quelque sorte, les immigrés en envahisseurs “légitimes”.

    Or, une question essentielle demeure : “Qui les a fait venir ?”, d’autant plus que ce processus ne relève pas des mystères oubliés du passé mais de leur prolongation en tant que réalité du présent. Certes l’étude des grandes invasions d’autrefois démontre qu’en général elles ont été précédées de phénomènes migratoires, du mercenariat militaire sous l’Empire romain, et du déclin démographique inhérent aux peuples civilisés.

    Une hypocrisie récurrente et à courte vue nous serine à l’envi, depuis 50 ans, que “les immigrés exécutent les travaux que les Français ne veulent pas faire”.

    Ce raisonnement faux et sommaire tire aussi ses arguments de tous les constats superficiels sur les “manques de main-d’œuvre”. On les déplore ainsi actuellement dans certains secteurs comme l’agroalimentaire, l’hôtellerie-restauration, le transport voire l’ingénierie. Merci au “quoiqu’il en coûte” de Macron en 2020. Merci aussi à la retraite à 60 ans inventée par Mitterrand en 1981 dans l’espoir de réduire le chômage. Merci aux 35 heures des lois Aubry de l’an 2000. Merci aussi, dans l’artisanat, à la pseudo-réforme Fillon de 2003. Tout cela vient donc de loin. L’une des raisons invoquées se polarise certes aujourd’hui sur une indemnisation du chômage jugée trop généreuse. Et un tel argument, qui n’est pas entièrement faux, braque le débat sur la réforme de l’assurance chômage voulue par le gouvernement et combattue par la gauche

    Mais on doit retenir surtout deux failles imparables de cette rhétorique :

    1° l’évolution du recrutement des éboueurs parisiens a prouvé, à partir des années 1990, qu’à partir d’un certain niveau de rémunération, d’une amélioration de leurs conditions de travail et d’un meilleur respect envers les tâches manuelles, les Français acceptent précisément ces emplois, que l’école républicaine laïque et obligatoire, relayée par le cinéma, dénigre dès l’enfance.

    2° quant aux immigrés eux-mêmes, pas plus bêtes que les Français leurs raisonnements se révèlent largement parallèles. Croire le contraire caractériserait précisément le “racisme”. Si les allocations sont supérieures aux salaires, ils choisissent l’assistanat. Si l’accès à la protection sociale ne nécessite pas d’effort contributif, ils se dispensent volontiers d’y cotiser. Il est vrai qu’une partie d’entre eux réalise dans le secteur de la délinquance ordinaire ou du trafic de drogue des performances très supérieures à celles de la moyenne nationale…

    On en arrive enfin à la nouvelle formulation du précédent discours et l’on entend dire désormais : “les immigrés illégaux font le travail que les immigrés réguliers ne veulent plus faire”. Oui la boucle de l’immigrationnisme est bouclée.

    Néanmoins certains cercles continuent de croire qu’en subventionnant la CGT, on “achète la paix sociale” et que l’immigration constitue effectivement une “armée de réserve” au service du capitalisme.

    Ce préjugé marxiste existait déjà en 1864. La Première Internationale se réunissait à Londres et Karl Marx y développait ses thèses dans sa fameuse adresse inaugurale. Le prophète du British Museum croyait alors pouvoir démontrer que les conditions de vie de la classe ouvrière ne pourraient aller qu’en se dégradant. Et, surtout, la première revendication formulée alors par l’Association naissante fut de s’opposer l’immigration de main-d’œuvre qui conduisait des ouvriers belges à travailler en Grande Bretagne.

    Toute l’Histoire économique réelle tend à démontrer le contraire des postulats marxistes. Ce n’est certainement pas la traite négrière qui a permis la révolution industrielle. Celle-ci ne s’est pas accomplie dans le monde islamique, la plus esclavagiste de toutes les sociétés humaines avant même le communisme, ni d’ailleurs dans les plantations antillaises de canne à sucre, encore moins au Sierre Leone et au Bénin fournisseurs du malheureux “bois d’ébène”. Si elle s’est développée en Angleterre au XVIIIe siècle c’est précisément, en grande partie, parce que les salaires y étaient alors les plus élevés d’Europe.

    Il est vrai que Marx n’a retenu des premiers économistes, ceux qu’on appelle les classiques, Adam Smith et Ricardo, que leur approximation erronée de la “valeur travail”. Mais c’est sur la base de la théorie de la plus-value et de l’accumulation, qui en découle, que technocrates et autres immigrationnistes ont bâti leurs modèles purement quantitatifs.

    Michel Debré résume leur programme et leur paradigme. Nommé par Jean Moulin parmi les experts pour contribuer au programme planiste de la Résistance, il devint sous la quatrième république l’un des plus redoutables opposants au parlementarisme. Enfin principal rédacteur de la constitution de 1958, il sera nommé en 1959 premier chef du gouvernement de la cinquième république. Michel Debré père de la constitution de 1958. Il théorisait que “si nous étions 100 millions de Français” nous serions une grande puissance et que par conséquent, si nous ne pouvons y parvenir par la natalité, nous devons recourir à l’immigration.

    Si ma tante en avait quatre, observe avec bon sens un proverbe américain – moins grossier que sa version française, – elle serait un autobus.

    > Jean-Gilles Malliarakis anime le blog L’Insolent.

  • Cas de gauchisme radical : victime d’un viol, elle se révolte contre la dénonciation de l’immigration

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Il y a des cas comme celui-ci dont on entend parler régulièrement.

    Même après la pire tragédie, les gauchistes les plus atteints ne veulent pas remettre en cause leur idéologie, leur fanatisme xénophile.

    Certains diront que cette femme est habitée d’une puissante pulsion de mort… Possible, le pire étant qu’elle veut l’étendre à sa nation, avec cette immigration violente et de remplacement.

    PS : l’avocate qui a écrit ce communiqué en langue gaucho-exclusive (et qui parle de « délinquance » au lieu de « criminalité ») est une militante « féministe » réputée. On voit bien toute l’imposture de cette idéologie : peu importe la sécurité des femmes, faire venir des millions d’hommes aux mœurs très spéciales – dirons-nous délicatement – est la priorité.
    Peu importe le réel, de façon générale, pour ces gens-là : voyez la négation grotesque du lien immigration entre et criminalité/délinquance, que la plupart des Français ne peuvent que constater eux-mêmes, qui évident et aisément vérifiable.

    Source : contre-info

  • Gaz, Visas, Immigration illégale : Élisabeth Borne se rendra à Alger les 9 et 10 octobre pour relancer des liens bilatéraux

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2022

    La première ministre doit concrétiser avec son homologue algérien Aïmene Benabderrahmane, lors d’un comité intergouvernemental, le «partenariat» conclu entre les présidents des deux pays fin août.

    […]

     

    Des annonces seront faites «prochainement» sur une possible augmentation des livraisons de gaz algérien en direction de la France, en pleine crise énergétique alimentée par la guerre en Ukraine, avait aussi précisé le porte-parole du gouvernement Olivier Véran au lendemain de la visite d’Emmanuel Macron en Algérie, qui s’était félicité qu’Alger aide «à la diversification» des approvisionnements en gaz de l’Europe.

    «Un partenariat renouvelé, concret et ambitieux»: après des mois de crise, Emmanuel Macron et son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune avaient gravé dans le marbre le 27 août, dans une déclaration commune, la relance des liens bilatéraux, au terme d’une visite de trois jours du chef de l’Etat français en Algérie. Mais elle doit maintenant s’accompagner de gestes concrets.

    […]

     

    Lors de cette visite, les deux dirigeants avaient par ailleurs ouvert la voie à un assouplissement du régime de visas accordés à l’Algérie, en échange d’une coopération accrue d’Alger dans la lutte contre l’immigration illégale.

    Le Figaro via fdesouche

  • Énigme…

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2022

    Énigme…

    Interrogé par le JDD sur le lien entre immigration et délinquance, le ministre de l’Intérieur a communiqué quelques statistiques sur la surreprésentation des étrangers dans les statistiques de la police et de la justice. Et il a pondu une jolie énigme, fille de la politique du « en même temps » :

    Il n’y a pas de lien mais il y a un problème de délinquance étrangère…

    Si la surreprésentation des étrangers parmi les détenus en France est bien renseignée, et depuis longtemps, par les services du ministère de la Justice, il est plus rare en revanche que Beauvau communique de telles statistiques concernant la nationalité des personnes interpellées par les forces de l’ordre.

    Le criminologue Xavier Raufer avait par exemple évoqué un document interne de la préfecture de police de Paris selon lequel 70 % des individus fréquemment interpellés par les forces de l’ordre en région parisienne auraient des noms «à consonance étrangère non-européenne».

     

    Source : lesalonbeige