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insécurité - Page 7

  • Les mineurs isolés, à l’avant-garde de l’insécurité dans le métro parisien.

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2021

    ARTICLE. Dans un entretien accordé au Parisien, la Sûreté régionale des transports dénonce « la délinquance de masse » des mineurs isolés dans le métro parisien. Ils représenteraient près de la moitié des interpellations, d’après la source policière.

    Le phénomène des mineurs isolés constitue « une délinquance de masse sur notre réseau », rapporte la commissaire Noémie Cognard, adjointe au chef de la Sûreté régionale des transports (SRT) aux journalistes du Parisien. Après avoir suivi le quotidien des 75 agents de la police des transports qui patrouillent sur le réseau francilien, le quotidien rapporte ce lundi le propos des autorités en matière de délinquance.

    Un « sentiment » d’insécurité ?

    Si les vols à la tire ainsi qu’à l’arraché constituent les délits les plus fréquents, les mineurs isolés sont responsables de près d’un fait sur deux dans les transports en commun, d’après les autorités. La RATP et la SNCF « nous ont fait part d’un sentiment d’insécurité grandissant chez les usagers, qui ont l’impression d’assister à une recrudescence des vols à l’arraché commis par les mineurs non-accompagnés », rapporte la commissaire Noémie Cognard au Parisien. Et l’officier de constater que « le phénomène des MNA (mineurs non accompagnés, NDLR), c’est une délinquance de masse sur notre réseau : en 2021, au moins 40 % de nos mis en cause ont dit être MNA ».

    Mais contre toute attente, la délinquance des MNA dans les transports franciliens est en baisse. Effets du coronavirus ou encore de la fermeture des frontières, sur les sept premiers mois de 2021, 38 % des mis en cause se disent être des mineurs isolés, contre 52 % en 2020 et 58 % en 2019.

    D’après les sources policières, les mineurs isolés sont souvent drogués au clonazépam pendant leur infraction, une molécule surnommée « Dame Courage », pour ses vertus désinhibantes.« Souvent, leurs victimes ne sentent rien. Mais lorsqu’ils s’attaquent à des personnes âgées – ou d’autres personnes vulnérables – celles-ci peuvent chuter et se blesser parfois gravement », rapporte le Parisien. Mais impossible d’avoir recours à des gaz lacrymogènes ni même à un pistolet à impulsion électrique face des comportements régulièrement violents, venus d’individus souvent armés de couteaux ou de cutters : la loi le proscrit.

     

    N.B. : La sécurité sera l’un des enjeux majeurs des présidentielles à venir. Parce que le sujet est trop sérieux pour être abandonné au laxisme judiciaire et à l’angélisme ambiant, Front Populaire propose des solutions, à retrouver dans le nouveau numéro de notre revue.

    Front Populaire n°6 : Le droit à la sécurité, contre l’ensauvagement. Disponible à la commande ici.

     

    La rédaction

    Source : https://frontpopulaire.fr/

  • Rennes : un rapport de la mairie (PS-EELV) sur l’insécurité met en cause les vagues de « Jeunes Étrangers en Errance »

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2021

    Au premier semestre 2021, une consultation citoyenne a été mise en œuvre par la mairie de Rennes (PS-EELV) sur les questions d’insécurité.

    Suite à cette consultation, un rapport de restitution a été communiqué courant  Juin afin de présenter un état des lieux de la situation et des solutions proposées.

    Dans ce rapport page 5 et 12, la mairie précise  :

    On peut également noter que la part des mineurs parmi les personnes mises en cause a connu une hausse constante d puis 2010 (en 2010, 12.6% des personnes mises en cause étaient mineures), avec une augmentation notable en 2016 et 2017 (27%), qui correspondent aux premières vagues d’arrivée à Rennes de Jeunes Étrangers en Errance (JEE), auxquels une partie conséquente des faits de délinquance de voie publique constatés dans le centre-ville a pu être attribuée.

    Il est également précisé une tendance haussière de l’insécurité de l’ordre de 22.3% entre 2015 et 2019, causée notamment par une forte augmentation de la délinquance en centre ville.


    Le rapport :

    téléchargement.png

     

     

     

    Source : fdesouche

  • Sondage : les deux tiers des Français « ne se sentent plus chez eux comme avant » et « ne se sentent en sécurité nulle part »

    Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2021

    CNews – Mars 2021

    Source : fdesouche

  • Montpellier : une femme amenée à devoir proposer rétribution à un homme, afin de l’escorter à son travail, pour cause d’insécurité

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Insécurité à Montpellier : une salariée en boulangerie de nuit cherche “un escort” !

    […]

    Dix minutes à pied 

    « Je travaille en boulangerie et je dois partir de chez moi à pied à 2h40. J’habite boulevard de Strasbourg et il faut dix minutes pour rejoindre mon lieu de travail. Si certaines personnes sont intéressées, je propose 120 euros par mois pour qu’un homme m’accompagne en milieu de nuit du mardi au samedi , ou 6 euros par nuit », écrit cette employée en boulangerie, qui redoute de croiser un ou des agresseurs sur son trajet et qui souhaite aller travailler en toute sécurité. Des « escorts » ne devraient pas tarder à se manifester.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Metropolitain

  • Une école contrainte de fermer en raison de l’insécurité

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    Une école contrainte de fermer en raison de l’insécurité

    école primaire catholique,insécurité

    A Amiens, où Brigitte Macron fut enseignante (tout un symbole), l’école primaire catholique Monseigneur Cuminal, située quartier Etouvie, va fermer définitivement. La direction de l’enseignement catholique de la Somme considère que la sécurité des enfants n’est plus garantie. Mais la République est partout chez elle et il n’y a pas de zone de non-droit…

    Certains habitants, dont les logements donnent sur une sorte de grande terrasse située à l’arrière des bâtiments, ont pour habitude de jeter leurs ordures… directement par la fenêtre. Des déchets qui atterrissent parfois dans la cour de l’école. Magali, qui vit dans le quartier depuis plus de vingt ans :

    « Ici, certains jettent de tout par la fenêtre : ça peut aller jusqu’à des frigo ou des machines à laver. Je vous assure, c’est grave ! »

    On trouve des poubelles éventrées, des bouteilles, des couches, des pots de peinture, des jouets, des vêtements. Un des employés de l’entreprise de nettoyage ajoute :

    « Un jour, j’ai failli me prendre un micro-ondes sur la tête. A quelques mètres près, je ne serai plus là pour vous parler. »

    Sylvie Seillier, directrice diocésaine de l’enseignement catholique, précise que la cour de l’école est devenue une poubelle :

    « On trouve souvent des mégots, des bouteilles. Et on a même déjà retrouvé un téléviseur. » « Notre présence ici avait un sens : nous voulions être au service de familles qui ne sont pas les plus favorisées d’Amiens. Mais là, nous n’avions vraiment plus le choix : la sécurité des enfants et du personnel ne peut pas être négligée, c’est notre premier devoir. »

    Dans un communiqué, l’Enseignement catholique de la Somme ajoute que :

    « des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour participent à l’insécurité et empêchent l’école de fonctionner normalement. »

     

    Source : lesalonbeige