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insécurité - Page 7

  • Une école contrainte de fermer en raison de l’insécurité

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    Une école contrainte de fermer en raison de l’insécurité

    école primaire catholique,insécurité

    A Amiens, où Brigitte Macron fut enseignante (tout un symbole), l’école primaire catholique Monseigneur Cuminal, située quartier Etouvie, va fermer définitivement. La direction de l’enseignement catholique de la Somme considère que la sécurité des enfants n’est plus garantie. Mais la République est partout chez elle et il n’y a pas de zone de non-droit…

    Certains habitants, dont les logements donnent sur une sorte de grande terrasse située à l’arrière des bâtiments, ont pour habitude de jeter leurs ordures… directement par la fenêtre. Des déchets qui atterrissent parfois dans la cour de l’école. Magali, qui vit dans le quartier depuis plus de vingt ans :

    « Ici, certains jettent de tout par la fenêtre : ça peut aller jusqu’à des frigo ou des machines à laver. Je vous assure, c’est grave ! »

    On trouve des poubelles éventrées, des bouteilles, des couches, des pots de peinture, des jouets, des vêtements. Un des employés de l’entreprise de nettoyage ajoute :

    « Un jour, j’ai failli me prendre un micro-ondes sur la tête. A quelques mètres près, je ne serai plus là pour vous parler. »

    Sylvie Seillier, directrice diocésaine de l’enseignement catholique, précise que la cour de l’école est devenue une poubelle :

    « On trouve souvent des mégots, des bouteilles. Et on a même déjà retrouvé un téléviseur. » « Notre présence ici avait un sens : nous voulions être au service de familles qui ne sont pas les plus favorisées d’Amiens. Mais là, nous n’avions vraiment plus le choix : la sécurité des enfants et du personnel ne peut pas être négligée, c’est notre premier devoir. »

    Dans un communiqué, l’Enseignement catholique de la Somme ajoute que :

    « des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour participent à l’insécurité et empêchent l’école de fonctionner normalement. »

     

    Source : lesalonbeige

  • Bordeaux : l’insécurité met la ville sous tension, “quand des gens qui ont commis 10 agressions sont remis en liberté, ça donne le sentiment que la police ne fait rien”

    Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2020

    Louée pour sa qualité de vie, la cité bordelaise fait face à une recrudescence des violences. Comment en est-on arrivé là ? Notre enquête.

    (…) Ce qui est inédit, c’est la multiplication subite des agressions à l’arme blanche en divers points du centre-ville. Une trentaine au cours du seul mois de juillet. Plus inquiétant : sur les neuf premiers mois de 2020, les vols avec arme ont connu un bond spectaculaire de 69 % par rapport à 2019.

    (…) Tout au long de l’été, ce climat d’insécurité s’est imposé sur les chaînes d’info en continu comme une nouveauté. Cela fait pourtant plusieurs mois que la situation s’est dégradée. « Il y a eu une explosion médiatique car la violence touche maintenant le centre-ville. Mais, de 2012 à 2019, la délinquance a augmenté en moyenne de 30 % », observe Amine Smihi, adjoint (EELV) chargé de la sécurité.

    (…) Quoi qu’il en soit, les commerçants du centre-ville assistent depuis à la montée d’un phénomène inconnu. Ils voient se répéter – parfois devant leur pas-de-porte – les agressions, les vols et les bagarres.

    (…) Non loin de là, les habitants du quartier populaire et cosmopolite de Saint-Michel sont confrontés à une délinquance endémique. Impuissants, ils assistent aux vols à répétition et au trafic de drogue qui se fait ici à ciel ouvert – ou presque. Il y a peu, un pochoir à la peinture noire est apparu sur un mur au pied duquel se déroulent les transactions : « Ici vente de drogue avec la bienveillance de la police. » Un pied de nez qui résume une exaspération générale que Philippe Rolland, secrétaire régional d’Unité SGP police FO, perçoit comme un signal de détresse. « C’est l’expression d’un ras-le-bol de la population que je comprends », résume ce syndicaliste.

    (…) « Il n’y a heureusement pas de zone de non-droit à Bordeaux », soutient la procureure, Frédérique Porterie. Reste que, à la nuit tombée, mieux vaut être vigilant dans certains endroits.

    (…) « Quand des gens qui ont commis dix agressions sont remis en liberté, ça donne le sentiment que la police ne fait rien. La réponse pénale n’est pas assez forte pour être dissuasive. »

    (…) Le Point via fdesouche

  • Insécurité : Cours d’arts martiaux, bombes lacrymogènes… face à l’explosion de la délinquance, les Français se tournent de plus en plus vers l’autodéfense

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2020

    Par  le 08/08/2020

    ENQUÊTE – Cours d’arts martiaux, achats de bombes lacrymogènes… Le marché de l’autodéfense a le vent en poupe.

    Confrontés à l’insécurité et à l’explosion de la délinquance, comme en témoignent les nombreux faits divers survenus cet été, certains citoyens décident d’agir. Conséquence directe : le marché de l’autodéfense compte de plus en plus de clients.

    À Paris, par exemple, les cours de self-défense connaissent un franc succès. «Nous avons de plus en plus de monde. Au cours des 3-4 dernières années, nos effectifs ont quadruplé», témoigne Cyril Marchand, président du Paris Énergies Karaté. Son club d’arts martiaux, situé dans le 5ème arrondissement, propose notamment des cours de self-défense et de krav-maga (une méthode d’autodéfense d’origine juive et israélienne).

    Parmi ses clients, des femmes mais aussi des adolescents ou des hommes. «Beaucoup de femmes viennent car elles ont déjà été agressées. Tous ceux qui viennent se disent ‘stop, ça suffit !’» résume Cyril Marchand. Pour les femmes, spécifiquement, le club propose des cours sur des thèmes précis.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Insécurité, trafics, agressions : le ras-le-bol des habitants du quartier immigré de la Goutte-d’Or (Paris)

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2020

    Posté par Eric Martin  Il y a 8 heures

    Insécurité, trafics, agressions : le ras-le-bol des habitants du quartier immigré de la Goutte-d’Or (Paris)

    Les commerçants et riverains de la Goutte-d’Or à Paris sont à bout de nerfs. Ces dernières semaines, ils sont plusieurs à avoir abandonné leur activité :

  • Lyon : « Ici c’est l’Afrique ! Vous n’allez pas faire long feu ». Les habitants dénoncent l’insécurité et les menaces dont ils sont victimes

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2019

    Par  le 09/10/2019
    BFM Lyon@BFMLyon
     

    "Des regards très menaçants": Nathalie Balmat, la présidente de l'association "La Guillotière en colère" à Lyon dénonce le sentiment d'insécurité