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israël - Page 7

  • L’extrême brutalité de l’occupation israélienne : les images choquantes à l’intérieur de la mosquée Al-Aqsa

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

     

    Ce sont des images terribles et révoltantes… La police israélienne a attaqué et arrêté des fidèles palestiniens lors d’un raid ultra violent dans leur propre lieu de culte à la mosquée Al-Aqsa, dans la partie occupée de Jérusalem-Est. Utilisant des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes, causant des blessures par suffocation aux fidèles, ainsi que des coups de matraque et de fusil. Comment peut-on tolérer de telles atrocités ? La Croix-Rouge palestinienne a signalé qu’il y avait 12 blessés, dont trois ont été transférés à l’hôpital. Des images qui rappellent les violences que subissent les manifestants Français par les CRS et autres Brav-m.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1643390120094212097

     

    Le Média en 4-4-2.

  • Sera-t-il bientôt interdit d’annoncer l’Evangile en Israël ?

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Moshe Gafni et Yaakov Asher
    Moshe Gafni et Yaakov Asher

    En Israël, deux membres de la Knesset (le parlement israélien) proposent une législation pour interdire l’annonce de l’Évangile en Israël et envoyer les contrevenants en prison. Cela pourrait-il devenir une loi ?

    Un projet de loi déposé à la Knesset qui interdit d’annoncer l‘Evangile non seulement en public mais aussi via les réseaux sociaux, par courriel et en privé

    Moshe Gafni et Yaakov Asher, députés de la Knesset et membres de United Torah Judaism (UTJ), un parti politique haredi (hautement religieux) détenant un total de sept sièges sur 120 à la Knesset actuelle, ont présenté la semaine dernière un projet de loi qui interdit de parler de Jésus-Christ non seulement en public mais aussi via les réseaux sociaux et par courriel. Annoncer l’Evangile même via les réseaux sociaux, dire que Jésus-Christ est le Messie de Dieu, équivaudrait à un crime. Dans le projet de loi, les contrevenants seront punis de 1 an de prison et si on s’adresse à un mineur, la peine passera à 2 ans. La conversation privée est également considérée comme un crime.

    Moshe Gafni et Yaakov Asher, juifs orthodoxes hostiles au christianisme, sont des voix influentes au sein de la coalition gouvernementale de 64 sièges dirigée par Netanyahu. Ils pourraient donc obtenir de nombreux soutiens à leur projet de loi. Si ce dernier était adopté, il pourrait cependant créer un problème majeur pour le gouvernement de Netanyahu en déclenchant un affrontement sérieux avec les chrétiens évangéliques aux États-Unis et dans le monde, qui sont parmi les plus grands partisans de l’État d’Israël.

    « L’ancien ambassadeur américain pour la liberté religieuse internationale Sam Brownback – qui a servi sous l’administration Trump-Pence – est le premier dirigeant américain, peut-on lire dans le quotidien All Israël News, à avertir publiquement que ce nouveau projet de loi constitue une menace massive pour la liberté d’expression, les droits de l’homme et la liberté religieuse.

    Que dit le projet de loi

    All Israel News a analysé le projet de loi :

    « La législation proposée interdirait tous les efforts des personnes d’une même religion qui, de quelque manière que ce soit, veulent discuter ou tenter de persuader des personnes d’autres confessions d’envisager de changer leurs croyances religieuses actuelles. La punition pour cela serait « un an d’emprisonnement ».

    « Ce projet de loi s’appliquerait aux personnes ayant des conversations spirituelles avec des Israéliens de toute religion.

    « Cependant, dans leur explication officielle du projet de loi, les deux législateurs israéliens ont spécifiquement mis l’accent sur l’avertissement d’arrêter en particulier les chrétiens. L’objectif principal du projet de loi semble donc être de rendre illégal pour les disciples de Jésus (« Yeshua » en hébreu) d’expliquer pourquoi ils croient que Jésus est à la fois le Messie et Dieu, dans l’espoir que les Israéliens pourraient envisager de le suivre.

    « Le projet de loi ne fait pas seulement d’une simple conversation personnelle au sujet de Jésus avec une autre personne un crime. Cela rendrait également illégal « quelqu’un qui sollicite une personne – directement, numériquement, par courrier ou en ligne – afin de convertir sa religion ».

    « Ainsi, produire et publier des vidéos en ligne expliquant l’Evangile aux personnes juives ou musulmanes en Israël – et à ceux de toute autre confession religieuse – deviendrait soudainement illégal.

    « La publication de livres, d’autres publications imprimées, d’articles en ligne, de podcasts ou d’autres formes de médias expliquant la vie et le ministère de Jésus et son message trouvé dans le Nouveau Testament deviendrait également illégale.

    « Il en serait de même pour discuter du message de l’Evangile par e-mail, SMS, lettres écrites et/ou sur les réseaux sociaux, y compris en répondant aux questions posées par des personnes qui ne suivent pas Jésus.

    « C’est déjà un crime en Israël d’essayer de faire du prosélytisme avec des mineurs ou de soudoyer des personnes de tout âge avec de l’argent ou des biens matériels pour changer leurs opinions religieuses. »

    Cette nouvelle législation est avant tout anti-chrétienne

    « Parfois, ces tentatives n’impliquent pas de promesses monétaires ou de gains matériels et ne sont donc pas illégales selon la loi en vigueur », note le projet de loi, « mais les nombreuses répercussions négatives, y compris les dommages psychologiques, justifient l’intervention du législateur ».

    « Par conséquent, il est proposé que, parallèlement à l’interdiction d’accorder des faveurs comme incitation à se convertir à la religion, soit également interdit l’acte de sollicitation à se convertir à la religion, lorsqu’il est fait directement à une personne », que ce soit face à face ou par tout autre moyen de communication.

    Les dirigeants juifs évangéliques et messianiques qui ont parlé à All Israel News ces derniers jours « se disent préoccupés par le fait que dans l’environnement politique actuel, la législation introduite par Gafni et Asher pourrait en fait devenir loi. Ils notent que sur les 120 sièges de la Knesset, la coalition gouvernementale actuelle est composée d’un grand nombre de membres orthodoxes et ultra-orthodoxes. »

    Ces derniers pensent que Netanyahu ne peut pas se permettre de perdre leurs voix s’il espère rester Premier ministre et faire avancer ses autres priorités politiques importantes, notamment empêcher le régime iranien de fabriquer des armes nucléaires, faire la paix avec le Royaume d’Arabie saoudite, le renforcement et l’expansion de l’économie israélienne (surtout alors que l’économie américaine ralentit) et l’adoption de réformes judiciaires radicales.

    Ces juifs orthodoxes et ultra-orthodoxes sont « plus agressifs que jamais dans cette session législative » afin de faire pression pour que des législations soient adoptées qui font avancer leur vision théologique du monde : l‘avènement messianique d’un Grand Israël.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • André Bercoff chante « Israël vivra, Israël vaincra ! »

    Publié par Guy de Laferrière le 06 février 2023

    Ces images datent de 2015. Dans une ambiance festive et communautaire, André Bercoff chante avec passion. « Israël vivra, Israël vaincra !  » est apparemment le refrain de cette chanson. Autant savoir. Même si cela n’enlève naturellement rien à la fréquente pertinence de ses propos, comme encore tout récemment face à Olivier Véran.

     

     

    Source : medias-presse.info

  • Rien ne va plus : le contrat signé entre le ministère de la Santé israélien et Pfizer a disparu

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Auteur : 

    Rien ne va plus dans le monde feutré et corrompu de Big Pharma et des gouvernements covidistes.

    Le ministère de la Santé du pays laboratoire des injections Covid à ARNm de Pfizer, Israël, ne sait plus quoi inventer pour ne pas présenter à la justice le contrat signé avec le laboratoire Pfizer.

    Le quotidien israélien i24 News dans son édition du 15 décembre dernier raconte en effet que « le ministère israélien de la Santé a affirmé devant le tribunal qu’il n’était pas en mesure de localiser l’accord signé avec l’entreprise pharmaceutique Pfizer concernant le partage d’informations épidémiologiques sur les vaccins contre le coronavirus, et a même déclaré qu’il ne savait pas si l’accord avait été signé ».

    Israël, le laboratoire des injections Covid à ARNm de Pfizer

    En 2020, Israël avait reçu en priorité des vaccins du laboratoire Pfizer en échange de données épidémiologiques sur sa population. Plus de 6 millions de personnes ont reçu les doses de ce vaccin. Et comme dans bien d‘autres pays, les effets secondaires graves étant en hausse, les procédures devant les tribunaux pour faire condamner le laboratoire et les gouvernements se multiplient.

    La procédure en question, explique i24 news s’inscrit « dans le cadre d’une requête en cours devant le tribunal de district de Jérusalem ». Le ministère de la Santé, souligne le journal « a admis que, bien que des recherches approfondies aient été menées, l’accord signé avec Pfizer concernant les vaccins n’a pas été localisé. ‘Nous n’avons pas trouvé d’accord signé’, a affirmé l’avocate Ahava Berman du bureau du procureur, au nom du ministère de la Santé. ‘Nous avons cherché dans tous les endroits, y compris le bureau du PDG et le service juridique’.

    L’accord avait été rendu public en janvier 2021, mais I24 news révèle cette information importante :

    « une grande partie de ses clauses avaient alors été occultées. Dans l’accord publié, un espace avait été laissé pour la signature du directeur général du ministère de la Santé de l’époque, Hezi Levy, et d’une autre personne de Pfizer, dont le nom a été noirci – mais leurs signatures n’y figurent pas. Dans la réponse du ministère de la Santé au tribunal, il est affirmé que le ministère ne sait en conséquence pas si l’accord a été signé… ou non. »

    SMS de von der Leyen et contrat perdu, les relations dangereuses avec Pfizer

    Au regard de l’excuse donnée pour ne pas présenter l’accord signé, on peut aisément supputer que le ministère et de Pfizer ne souhaitent pas la divulgation à la population des clauses cachées de leurs contrat. Ce qui laisse supposer des magouillages mafieux et des chiffres de résultats et d’efficacité bidonnés.

    Entre les SMS de la présidente de la commission européenne Ursula von de Leyen avec Albert Boula, le PDG de Pfizer, que la principale intéressée ne veut toujours pas communiquer, et maintenant cette fantasque histoire de contrat perdu, décidemment le laboratoire Pfizer et les signataires de contrats pour les vaccins covid ne veulent pas de transparence dans leurs petites transactions à milliards d’euros. Quelque chose à cacher dirait-on !

    Francesca de Villasmundo  

     

    Source : medias-presse.info

  • Un « suprémaciste juif », ex-membre d’une « entité terroriste » va devenir ministre de la Sécurité nationale en Israël

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Auteur : 

    Itamar Ben Gvir devrait être sous peu nommé ministre de la Sécurité nationale dans le nouveau gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu. Qui est Itamar Ben Gvir ? Un « suprémaciste juif », anciennement membre du parti Kach classé comme entité terroriste aux Etats-Unis et en Israël !

    Retour en arrière

    Le rabbin Meïr Kahane, après avoir développé la Ligue de défense juive aux États-Unis, s’installa en Israël en 1971. Il y incarna une idéologie prônant un mysticisme ethnique juif fondé sur la « souveraineté juive » exclusive sur la terre d’Israël et la reconstruction du Temple (détruit en 70 après Jésus-Christ par les Romains), étapes obligées pour la venue du Messie. et un racisme envers « les Arabes », réclamant leur expulsion de cette terre. Il créa le parti Kach et devint député en 1984. En 1988, le parti Kach, qualifié de « raciste » par la Cour suprême israélienne, fut interdit de se présenter aux élections. Le parti Kach fut même classé comme entité terroriste aux Etats-Unis et en Israël.

    Kahane a été assassiné en 1990 à New York mais le kahanisme influence toujours certains mouvements et personnages politiques israéliens. Dont Itamar Ben Gvir qui fut coordinateur des jeunesses kahanistes, raison pour laquelle il fut exempté du service militaire.

    Itamar Ben Gvir va fonder en 2015 sa propre organisation, Puissance juive. Ben Gvir fut plus de cinquante fois inculpé pour propos et actes racistes. Il est également devenu l’avocat de personnages que le quotidien Haaretz qualifie de « who’s who des suspects juifs d’actes de terrorisme et des cas de crimes haineux en Israël ».

    La campagne électorale de Puissance juive était centrée sur le slogan « C’est qui les proprios ici ? ». Deux semaines avant les élections législatives, Ben Gvir a été vu à la tête d’un groupe de fanatiques juifs, brandissant un pistolet dans le quartier palestinien de Cheikh Jarrah, et hurlant « Ici c’est moi le propriétaire ! ».

    Dans quelques jours, Itamar Ben Gvir devrait devenir officiellement ministre de la sécurité intérieure et, à ce titre, chef de la police…

     

    Source : medias-presse.info