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italie - Page 10

  • Vaccination anti-covid, le nouveau rite de la religion du « monde d’après »

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2020

    L’idée vient d’Italie et on peut s’attendre à ce qu’elle passe les frontières avec autant de facilité que les clandestins qui nous arrive de l’autre côté de la Méditerranée.

    Un premier spot très convaincant, au large spectre émotionnel, a fait le tour des foyers par médias mainstream interposés pour pousser les Italiens à se faire massivement vacciner. Le slogan de la campagne est « L’Italie renaît avec une fleur ». La fleur en question, symbole de la campagne, est la primevère.

    L’architecte Stefano Boeri qui l’a conçu explique pourquoi :

    « Cette idée d’une primevère pour nous aider à sortir d’un hiver sombre est le message que nous voulons donner. La fleur est le signe du début du printemps, symbole de sérénité et de renaissance ».

    Les 1500 tentes où seront administrés les vaccins auront la forme de cette fleur. « Les places s’épanouiront alors visuellement avec une fleur », explique Boer.

    « La primevère sera donc le symbole qui accompagnera toute la campagne de vaccination explique un journaliste du quotidien bien–pensant Il Fatto Quotidiano qui analyse fort justement la portée de cette campagne :

    «  Je pense que ce serait une bonne idée que cette fleur soit portée par ceux qui se joindront à la campagne, ou qui seront vaccinés. »

    Parce que continue-t-il, cela déclenche trois « leviers de persuasion » :

    « Le premier est la preuve sociale : voyant que d’autres ont rejoint la campagne, nous sommes plus incités à faire de même. Le second est le bouche à oreille : ceux qui voient votre ruban (rose par exemple) peuvent vous demander, par curiosité, ce qu’il représente.

    « Le port de la primevère, dans le cas du vaccin, déclencherait également un troisième levier plus fin et en même temps plus efficace pour convaincre beaucoup de se faire vacciner. Si dans un lieu public, presque tout le monde porte la primevère – déclarant ainsi avoir été vacciné – ceux qui ne la portent pas seront désapprouvés et isolés. Cet embarras pourrait conduire de nombreux indécis à choisir de se faire vacciner. »

    Dans le bel pays, tout aussi cantonné que la France dans une immobilité destructrice, a été donc lancée la campagne pour la vaccination anti-covid avec fortes images affolantes, adroits spots sentimentaux et vigoureux discours gouvernementaux. Et des tentes estampillées « primevères » ont ainsi fleuri sur les places des villes italiennes devant églises et cathédrales. Comme si un but inavoué mais précis était celui de créer une symbolique de salut, dans laquelle le vaccin est le nouveau baptême libérateur du péché originel d’être un contaminateur. Un rite de la nouvelle religion de la Science qui n’aurait pas le même effet persuasif et émotionnel si réalisé dans un simple hôpital ou cabinet médical. Que cela soit dit, la religion covidesque a ses rites, ses tabous, ses temples fleuris et ses dogmes !

    Comme l’écrivent si finement les écrivains Marletta et Gulisano dans leur dernier ouvrage intitulé L’ultime religion de l’eugénisme à la pandémie, l’aube d’une nouvelle ère ? :

    « La dernière religion est l’idolâtrie universelle : la Fraternité mondiale, la bien-pensance mondiale, la déesse Santé, l’écologisme radical, le rêve d’un monde trans-humain et, finalement, anti-humain. Une religion qui s’impose aujourd’hui mais qui vient de loin. Un processus, entamé il y a longtemps, qui arrive au but grâce aussi à la pandémie, aux investissements d’industriels et entrepreneurs au niveau mondial, à la reddition de l’Église. »

    La révolution 2020 qui vise à créer un nouveau monde dystopique avec sa nouvelle religion covidesque n’est qu’une facette de la révolution arc-en-ciel globale en marche, de Malthus à l’OMS en passant par les Gates et Soros et nos tyranniques gouvernants occidentaux.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Italie : le président de la Sicile interdit aux migrants « d’entrer, de transiter et de faire escale » sur l’île

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2020

    Par  le 26/08/2020

    Le président de la région de Sicile a publié un arrêté visant à fermer sur son territoire tous les centres d’accueil de migrants, qu’il juge propices à la diffusion du Covid-19.

    Une décision invalide juridiquement, mais saluée par Matteo Salvini. Le président de la région italienne de Sicile, Nello Musumeci (droite conservatrice régionaliste), a publié le 23 août un arrêté visant à fermer sur son territoire tous les centres d’accueil de migrants. Il estime notamment que l’afflux croissant de migrants sur les côtes siciliennes rend très difficile la mise en place des mesures et protocoles sanitaires visant à endiguer la pandémie de Covid-19. La décision a néanmoins été rapidement contestée par des sources du ministère italien de l’Intérieur, citées par l’AFP, qui ont immédiatement précisé que cette mesure régionale était invalide, car relevant de la compétence de l’Etat.

    «Bonjour ! L’ordonnance a été publiée cette nuit. Aujourd’hui [dimanche 23 août], celle-ci sera notifiée à toutes les préfectures de l’île et au gouvernement national. La Sicile ne peut pas être envahie pendant que l’Europe détourne le regard et que le gouvernement ne procède à aucune expulsion. Je vous tiendrai au courant plus tard», a pourtant annoncé Nello Musumeci dans un texte accompagnant la publication de l’arrêté d’une trentaine de pages.

    (…) RT via fdesouche

  • Dictature sanitaire en Italie : menace de séquestration d’enfants par l’Etat

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Il n’y a pas qu’en Allemagne où, sous couvert de lutter contre la propagation du coronavirus, l’Etat menace de retirer les enfants de leur famille.

    En Italie, le directeur de l’école polyvalente Dante Alighieri, allant du primaire au collège, de Lumezzane Pieve dans la région de Brescia, a décrété des mesures « à la coréenne » :

    « En cas de fièvre d’un enfant à l’école, appelez les carabiniers et confiez-le non pas à ses parents, mais à l’autorité sanitaire. »

    Si la mesure a entraîné une levée de bouclier de la part de nombreux parents et a pu ainsi être annulée, le directeur s’est défendu en affirmant l’avoir également vu appliquée dans d’autres établissements.

    Voici ce qui a été publié sur le site Internet de l’école le 6 août et modifié seulement le mercredi 12, une semaine plus tard. Au point sept, dans les informations sur la reprise des cours après la pause estivale et le confinement, on peut lire :

    « En présence de symptômes respiratoires ou de température corporelle supérieure à 37,5 ° C pendant les heures de classe, une procédure rigide est déclenchée pour les élèves qui comporte les étapes suivantes :

    – l’élève doit être immédiatement équipé d’un masque chirurgical;

    – sera placé en isolement dans la salle Covid;

    – l’enseignant doit appeler immédiatement le 112 ou le 1500;

    -les parents ne pourront en aucun cas retirer leur enfant de l’école, qui sera confié à l’autorité sanitaire.

    Par conséquent, à la lumière du protocole strict, les parents sont vivement encouragés à appliquer scrupuleusement les recommandations mentionnées au point précédent. »

    « Isolement dans une pièce couverte, alerter les carabiniers, confier l’enfant en garde à l’AST local et empêcher les parents d’entrer. Peut-être même à Sparte, ils n’étaient pas aussi drastiques » ironise un journaliste du quotidien La Nuova Bussola Quotidianna qui révèle cette information.

    Ce n’est qu’une semaine après, suite aux protestations des familles, que l’école a dû réécrire les informations comme suit :

    « En cas d’apparition de symptômes évocateurs d’un diagnostic d’infection par le SRAS-CoV-2 à l’école, la personne concernée doit être immédiatement isolé et équipé d’un masque chirurgical, et il faudra prévoir un retour le plus rapidement possible au domicile, puis suivre le parcours déjà prévu par la loi en vigueur pour la prise en charge de tout cas suspect. »

    Si la séquestration d’enfants par les services sanitaires est écartée, cette affaire confirme cependant qu’en Italie, tout comme en Allemagne et bien d’autres Etats occidentaux, se développe une mentalité, digne de l’idéologie marxiste,  qui considère que l’Etat est le « maître » des enfants, qu’il en a le contrôle physique et mental, que l’enfant est « propriété » de l’Etat. La crise du coronavirus rime avec dictature tout court !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’arrivée de migrants en Italie a augmenté de près de 150% au cours des 12 derniers mois

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2020

    Par  le 15/08/2020

    italie,migrants

     
  • Italie : armé d’un couteau, un migrant nord-africain a retenu en otage un garde à l’intérieur de la cathédrale de Milan

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2020

    Par  le 15/08/2020

    Selon Il Giornale, le suspect est un migrant nord-africain.


    Un homme armé d’un couteau a brièvement retenu en otage un garde à l’intérieur de la cathédrale de Milan mercredi avant d’être rapidement arrêté, a annoncé la police.

    Après l’arrivée de policiers et une brève médiation, l’homme a lâché son couteau et a été arrêté.

    Il était entré dans la cathédrale afin d’échapper à un contrôle de police, a affirmé dans un communiqué Anna Scavuzzo, adjointe au maire de Milan

     

    TV5 monde via fdesouche