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  • Effondrement de la France et de l’Italie en 2022, si la croissance est faible.

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2021

    Le chiffre spectaculaire de la  chinoise de 18,2 %, au premier trimestre 2021, n’est qu’un trompe-l’œil, suite à un très faible premier trimestre 2020. Aux États-Unis, suite aux vaccins, à la relance gigantesque de Biden, à la politique laxiste de la Fed, il y aura un fort redémarrage, et même des risques de surchauffe, d’inflation de 3,7 %, avec un taux d’intérêt à 10 ans de 1,59 %, des mises en chantier de logements neufs au plus haut depuis 2006, mais le phénomène sera-t-il durable en  et dans les années suivantes ?

    croissance faible,effondrement,france,italieEn France, préoccupé par le surendettement de nombreux pays ( 200 %, Italie 160 %,  122 % et France 117 %), Emmanuel Macron veut lancer la réforme des règles européennes sur la dette et le déficit. Même la vertueuse  n’a jamais autant emprunté (370 milliards d’euros en 2020). Selon les « sages » allemands de la Cour des comptes qui s’inquiètent de la fuite en avant du gouvernement Merkel, « sortir de la crise et de la dette par la seule croissance est irréaliste ». Mais exception faite de la règle selon laquelle les pays qui dépassent 60 % du PIB pour la dette publique doivent, chaque année, réduire de 5 % leur endettement, changer les règles ne changera rien à la réalité de la catastrophique situation financière et économique. La réalité, c’est également la Cour des comptes française qui redoute le manque de réalisme des prévisions actuelles, avec des  à venir très supérieures, d’autant plus que les aides ne seront pas aussi rapidement débranchées que le prétend Olivier Dussopt, ministre des Comptes publics.

    La réalité de la situation, c’est aussi que la France vient de dépenser, en 2020, 424 milliards d’euros pour les mesures de soutien, que les vaccins finiront probablement par prendre le dessus. Mais sans doute sera-t-on obligé de revacciner tous les six mois, en faisant face à de nouveaux variants et une crise sanitaire qui ne va pas se terminer miraculeusement en 2021. Les vaccins semblent seulement diminuer les taux de mortalité, mais n’empêchent pas complètement d’attraper le virus ni de le transmettre. Les prévisions de  pour les taux de croissance des prochaines années sont aussi jugées « optimistes » par le Haut Conseil des finances publiques. La croissance à venir dépendra, enfin, fortement de la propension des ménages à consommer ou à épargner, par crainte ou non de l’avenir.

    La réalité, c’est qu’il y a des cycles en matière économique, qu’il y a eu 1929 mais que, suite au krach boursier du 9 mai 1873 à Vienne, Paris et New York, les États-Unis et l’ ont plongé dans un long marasme économique qui n’a pris fin qu’au milieu des années 1890.

    L’Italie de Draghi laisse monter Macron au créneau, mais joue exactement le même jeu que la France. Draghi parie sur la croissance et une forte reprise de l’économie pour assainir la dette. Mais en 2021, il augmente les dépenses publiques de 40 milliards d’euros et révise à la baisse ses prévisions de croissance à 4,5 % et 4,8 % pour 2021 et 2022, avec un déficit public de 11,8 % du PIB en 2021 et une dette à 160 % du PIB, soit le plus haut niveau depuis 1921 ! « Nous parions sur la croissance » avec davantage d’investissements, nous dit Draghi, mais que se passera-t-il si les dettes sont toujours là mais que la croissance n’est pas au rendez-vous ? « Vous ne seriez pas le président du Conseil, on serait absolument terrifié par de tels chiffres », a pu lui dire une journaliste lors de sa conférence de presse.

    Le drame, c’est qu’il y a de fortes chances, compte tenu des expériences passées, que les dépenses publiques seront plus élevées que les prévisions, aussi bien en France qu’en Italie et aux États-Unis, mais que les taux de croissance espérés ne seront probablement pas atteints. Auquel cas, l’optimisme actuel des marchés laissera place à une panique pire qu’en 1873 et 1929. La fausse prospérité des marchés boursiers provoquée par les délices des vaccins, du « QE », de l’endettement exponentiel, des bas taux d’intérêt, des dépenses publiques actuelles très élevées, des prévisions trop optimistes en matière budgétaire et de croissance, prépare l’effondrement à venir à partir de 2022. La seule véritable incertitude, c’est de savoir si l’effondrement probable aura lieu, dans un premier temps, dans un cadre déflationniste ou inflationniste.

     

    Marc Rousset

    Économiste
    Ancien haut dirigeant d'entreprise
     
  • Italie : un automobiliste prend en chasse, renverse et tue deux hommes qui venaient de lui voler sa montre

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2021

    A Marano, près de Naples, un automobiliste italien a pris en chasse, renversé et écrasé deux hommes circulant à scooter, les tuant sur le coup, parce qu’ils venaient de lui voler sa montre, ont rapporté samedi les médias. Les deux voleurs présumés, âgés de 30 et 40 ans, étaient des délinquants notoires au lourd passé judiciaire. Un pistolet dont le numéro de série avait été effacé, ainsi qu’une montre, ont été retrouvés sur les lieux de l’accident.

    Les faits se sont produits vendredi soir près de Naples (sud), lorsque deux hommes à bord d’un puissant scooter ont menacé un automobiliste avec une arme de poing pour lui subtiliser sa montre de marque Rolex.

    La victime, âgée de 26 ans, a alors engagé une course-poursuite à grande vitesse, percuté le scooter et écrasé ses agresseurs. Puis il a abandonné son véhicule et s’est présenté aux carabiniers de Marano, en banlieue napolitaine. Ses déclarations ont été corroborées par des témoins, rapporte notamment le quotidien Il Corriere della Sera.

    Le Figaro via fdesouche

  • La France et l’Italie en faillite, en avril-mai 2022

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2021

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    Marc Rousset

    La Bourse de Paris a fini la semaine dans le rouge, préoccupée par la crise sanitaire. Les marchés préfèrent voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, mais commencent à se poser des questions. Dans un contexte de valorisation élevée des actions, les Bourses semblent mûres pour une correction si les vaccins déçoivent, car il n’y a pas de plan B, ou si les variants anglais et brésiliens de la pandémie s’avèrent plus contagieux et mortels. Le véritable danger, c’est cependant la dette des États qui augmente d’une façon exponentielle avec la politique du « quoi qu’il en coûte ».

    Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt reconnaît que « le niveau des dépenses actuelles n’est pas soutenable dans le temps ». Le FMI exhorte le gouvernement français à préparer un plan pour réduire les dépenses, une fois que la reprise économique sera installée, afin de diminuer la dette. Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, estime que la dette publique française sera supérieure à 100 % du PIB pendant « dix ans au moins » alors qu’elle s’élèvera à 122,4 % minimum du PIB, fin 2022. La dette des entreprises françaises est au plus haut, à 155,3 % du PIB, contre 60,5 % en Allemagne.

    Aux États-Unis, la dette américaine approche les 28.000 milliards de dollars. Durant les quatre années de présidence Trump, la dette américaine s’est creusée de plus de 7.000 milliards de dollars. Joe Biden semble parti pour faire beaucoup mieux. Le ratio d’endettement du monde a atteint un record de 365 % du PIB mondial, contre 320 % à mi-2019, rendant le système hypersensible à toute modification des coûts d’emprunts. Jean-Claude Trichet vient de préfacer un livre La Dette. Potion magique ou poison mortel ? : parier sur des taux d’intérêt faibles à long terme lui paraît dangereux et d’une grande naïveté. La dette française se vend comme des petits pains, mais jusqu’à quand ? s’interroge l’AFP. La charge de 39 milliards d’euros d’intérêts a représenté 1,6 % du PIB, en 2020, mais la croissance négative de -10 % du PIB était dans l’impossibilité de la payer !

    Jusqu’à quand pourrons-nous dépenser des milliards sans compter ? s’interroge aussi Agnès Verdier-Molinié dans son dernier ouvrage La France peut-elle encore tenir longtemps ? : elle estime le coût de la suradministration française à 84 milliards d’euros. Macron avait promis de réduire le nombre de fonctionnaires de 120.000, mais il a embauché, jusqu’à ce jour, 129.000 agents supplémentaires. Il faut travailler plus, réduire notre modèle social, réduire le train de vie de l’État, repousser l’âge de la retraite, réduire les effectifs du secteur public, nonobstant le coût de l’invasion migratoire de 80 milliards d’euros et celui de la fraude des prestations sociales de 50 milliards d’euros.

    Le gouvernement français sera, un jour, obligé de sous-indexer les retraites, selon le très officiel Comité des retraites, voire de les diminuer, ou d’augmenter les impôts ou de prélever sur les dépôts bancaires, comme Giuliano Amato en Italie, en 1992, ou bien, comme l’ont déjà proposé les députés PS, de prélever sur les 1.800 milliards d’euros de l’assurance-vie pour les encours supérieurs à 30.000 euros. La dette française s’élève à environ 2.800 milliards d’euros, mais en fait à 7.000 milliards d’euros si l’on ajoute les engagements hors bilan, soit trois fois le PIB de la France.

    La BCE, qui détient déjà la moitié des obligations souveraines européennes, va continuer à financer les dettes publiques jusqu’en mars 2022, mais suite à la pression des pays sérieux tels que l’Allemagne, l’Autriche, les Pays-Bas, elle mettra alors fin à la politique des taux négatifs et de rachat des dettes publiques. Le programme d’achat pour la pandémie (PEPP) s’élève à 1.850 milliards d’euros jusqu’à mars 2022, et le « QE » est de 20 milliards d’euros par mois sans limite de temps, pour l’instant. La BCE contrôlera donc les taux d’émission de la France et de l’Italie jusqu’à mars 2022, mais ensuite, ce sera sans doute « sauve qui peut et chacun pour soi ! »

    Quant à l’Italie, c’est la France en pire, déjà au bord de l’effondrement, avec 650.000 décès et moins de 400.000 naissances, une dette publique, fin 2021, proche de 160 % du PIB, une immigration qui explose, des hôpitaux débordés, une paupérisation en cours des populations, 390.000 entreprises qui ont déjà déposé le bilan en 2020, et une coalition gouvernementale sur le point d’imploser.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

  • Italie – Dès vendredi, des restaurants ouvriront et appellent à la désobéissance civile contre la dictature sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2021

    Il n’y a pas qu’en France que les patrons de restaurants appellent à la désobéissance civile. En Italie, cela prend d’ailleurs une ampleur bien plus importante. Partout dans le pays, des appels circulent pour ouvrir les restaurants dès ce vendredi 15 janvier, indépendamment des décisions du gouvernement.

     

     

     

     

  • Le ministère italien de l’intérieur révèle que l’immigration clandestine a augmenté de plus de 300% en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2020

    Rapport alarmiste sur les sans papiers algériens en italie

    L’émigration clandestine vers l’Italie a augmenté de plus de 300 pourcents en 2020 malgré le pandémie de coronavirus (covid-19).

    Selon le rapport annuel dévoilé cette semaine par le ministère italien de l’intérieur, 34001 migrants son arrivés clandestinement en Italie durant l’année 2020, contre 11439 migrants en 2019.

    Dans le détail, 1458 sans papiers algériens (harragas) on rejoint l’Italie via le mer entre le 1er janvier et le 24 décembre 2020. Les Tunisiens représentent la majorité avec 12 847 migrants.

    […]

    Le tribunal de Milan rend une série d’ordonnances
    En effet, selon le quotidien italien « corriere delle serra », ces sans papiers pourrait bénéficier d’une protection humanitaire, suite à une ordonnance de tribunal de Milan.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Algérie 360 via fdesouche