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italie - Page 9

  • Italie : un automobiliste prend en chasse, renverse et tue deux hommes qui venaient de lui voler sa montre

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2021

    A Marano, près de Naples, un automobiliste italien a pris en chasse, renversé et écrasé deux hommes circulant à scooter, les tuant sur le coup, parce qu’ils venaient de lui voler sa montre, ont rapporté samedi les médias. Les deux voleurs présumés, âgés de 30 et 40 ans, étaient des délinquants notoires au lourd passé judiciaire. Un pistolet dont le numéro de série avait été effacé, ainsi qu’une montre, ont été retrouvés sur les lieux de l’accident.

    Les faits se sont produits vendredi soir près de Naples (sud), lorsque deux hommes à bord d’un puissant scooter ont menacé un automobiliste avec une arme de poing pour lui subtiliser sa montre de marque Rolex.

    La victime, âgée de 26 ans, a alors engagé une course-poursuite à grande vitesse, percuté le scooter et écrasé ses agresseurs. Puis il a abandonné son véhicule et s’est présenté aux carabiniers de Marano, en banlieue napolitaine. Ses déclarations ont été corroborées par des témoins, rapporte notamment le quotidien Il Corriere della Sera.

    Le Figaro via fdesouche

  • La France et l’Italie en faillite, en avril-mai 2022

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2021

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    Marc Rousset

    La Bourse de Paris a fini la semaine dans le rouge, préoccupée par la crise sanitaire. Les marchés préfèrent voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, mais commencent à se poser des questions. Dans un contexte de valorisation élevée des actions, les Bourses semblent mûres pour une correction si les vaccins déçoivent, car il n’y a pas de plan B, ou si les variants anglais et brésiliens de la pandémie s’avèrent plus contagieux et mortels. Le véritable danger, c’est cependant la dette des États qui augmente d’une façon exponentielle avec la politique du « quoi qu’il en coûte ».

    Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt reconnaît que « le niveau des dépenses actuelles n’est pas soutenable dans le temps ». Le FMI exhorte le gouvernement français à préparer un plan pour réduire les dépenses, une fois que la reprise économique sera installée, afin de diminuer la dette. Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, estime que la dette publique française sera supérieure à 100 % du PIB pendant « dix ans au moins » alors qu’elle s’élèvera à 122,4 % minimum du PIB, fin 2022. La dette des entreprises françaises est au plus haut, à 155,3 % du PIB, contre 60,5 % en Allemagne.

    Aux États-Unis, la dette américaine approche les 28.000 milliards de dollars. Durant les quatre années de présidence Trump, la dette américaine s’est creusée de plus de 7.000 milliards de dollars. Joe Biden semble parti pour faire beaucoup mieux. Le ratio d’endettement du monde a atteint un record de 365 % du PIB mondial, contre 320 % à mi-2019, rendant le système hypersensible à toute modification des coûts d’emprunts. Jean-Claude Trichet vient de préfacer un livre La Dette. Potion magique ou poison mortel ? : parier sur des taux d’intérêt faibles à long terme lui paraît dangereux et d’une grande naïveté. La dette française se vend comme des petits pains, mais jusqu’à quand ? s’interroge l’AFP. La charge de 39 milliards d’euros d’intérêts a représenté 1,6 % du PIB, en 2020, mais la croissance négative de -10 % du PIB était dans l’impossibilité de la payer !

    Jusqu’à quand pourrons-nous dépenser des milliards sans compter ? s’interroge aussi Agnès Verdier-Molinié dans son dernier ouvrage La France peut-elle encore tenir longtemps ? : elle estime le coût de la suradministration française à 84 milliards d’euros. Macron avait promis de réduire le nombre de fonctionnaires de 120.000, mais il a embauché, jusqu’à ce jour, 129.000 agents supplémentaires. Il faut travailler plus, réduire notre modèle social, réduire le train de vie de l’État, repousser l’âge de la retraite, réduire les effectifs du secteur public, nonobstant le coût de l’invasion migratoire de 80 milliards d’euros et celui de la fraude des prestations sociales de 50 milliards d’euros.

    Le gouvernement français sera, un jour, obligé de sous-indexer les retraites, selon le très officiel Comité des retraites, voire de les diminuer, ou d’augmenter les impôts ou de prélever sur les dépôts bancaires, comme Giuliano Amato en Italie, en 1992, ou bien, comme l’ont déjà proposé les députés PS, de prélever sur les 1.800 milliards d’euros de l’assurance-vie pour les encours supérieurs à 30.000 euros. La dette française s’élève à environ 2.800 milliards d’euros, mais en fait à 7.000 milliards d’euros si l’on ajoute les engagements hors bilan, soit trois fois le PIB de la France.

    La BCE, qui détient déjà la moitié des obligations souveraines européennes, va continuer à financer les dettes publiques jusqu’en mars 2022, mais suite à la pression des pays sérieux tels que l’Allemagne, l’Autriche, les Pays-Bas, elle mettra alors fin à la politique des taux négatifs et de rachat des dettes publiques. Le programme d’achat pour la pandémie (PEPP) s’élève à 1.850 milliards d’euros jusqu’à mars 2022, et le « QE » est de 20 milliards d’euros par mois sans limite de temps, pour l’instant. La BCE contrôlera donc les taux d’émission de la France et de l’Italie jusqu’à mars 2022, mais ensuite, ce sera sans doute « sauve qui peut et chacun pour soi ! »

    Quant à l’Italie, c’est la France en pire, déjà au bord de l’effondrement, avec 650.000 décès et moins de 400.000 naissances, une dette publique, fin 2021, proche de 160 % du PIB, une immigration qui explose, des hôpitaux débordés, une paupérisation en cours des populations, 390.000 entreprises qui ont déjà déposé le bilan en 2020, et une coalition gouvernementale sur le point d’imploser.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

  • Italie – Dès vendredi, des restaurants ouvriront et appellent à la désobéissance civile contre la dictature sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2021

    Il n’y a pas qu’en France que les patrons de restaurants appellent à la désobéissance civile. En Italie, cela prend d’ailleurs une ampleur bien plus importante. Partout dans le pays, des appels circulent pour ouvrir les restaurants dès ce vendredi 15 janvier, indépendamment des décisions du gouvernement.

     

     

     

     

  • Le ministère italien de l’intérieur révèle que l’immigration clandestine a augmenté de plus de 300% en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2020

    Rapport alarmiste sur les sans papiers algériens en italie

    L’émigration clandestine vers l’Italie a augmenté de plus de 300 pourcents en 2020 malgré le pandémie de coronavirus (covid-19).

    Selon le rapport annuel dévoilé cette semaine par le ministère italien de l’intérieur, 34001 migrants son arrivés clandestinement en Italie durant l’année 2020, contre 11439 migrants en 2019.

    Dans le détail, 1458 sans papiers algériens (harragas) on rejoint l’Italie via le mer entre le 1er janvier et le 24 décembre 2020. Les Tunisiens représentent la majorité avec 12 847 migrants.

    […]

    Le tribunal de Milan rend une série d’ordonnances
    En effet, selon le quotidien italien « corriere delle serra », ces sans papiers pourrait bénéficier d’une protection humanitaire, suite à une ordonnance de tribunal de Milan.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Algérie 360 via fdesouche

  • Vaccination anti-covid, le nouveau rite de la religion du « monde d’après »

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2020

    L’idée vient d’Italie et on peut s’attendre à ce qu’elle passe les frontières avec autant de facilité que les clandestins qui nous arrive de l’autre côté de la Méditerranée.

    Un premier spot très convaincant, au large spectre émotionnel, a fait le tour des foyers par médias mainstream interposés pour pousser les Italiens à se faire massivement vacciner. Le slogan de la campagne est « L’Italie renaît avec une fleur ». La fleur en question, symbole de la campagne, est la primevère.

    L’architecte Stefano Boeri qui l’a conçu explique pourquoi :

    « Cette idée d’une primevère pour nous aider à sortir d’un hiver sombre est le message que nous voulons donner. La fleur est le signe du début du printemps, symbole de sérénité et de renaissance ».

    Les 1500 tentes où seront administrés les vaccins auront la forme de cette fleur. « Les places s’épanouiront alors visuellement avec une fleur », explique Boer.

    « La primevère sera donc le symbole qui accompagnera toute la campagne de vaccination explique un journaliste du quotidien bien–pensant Il Fatto Quotidiano qui analyse fort justement la portée de cette campagne :

    «  Je pense que ce serait une bonne idée que cette fleur soit portée par ceux qui se joindront à la campagne, ou qui seront vaccinés. »

    Parce que continue-t-il, cela déclenche trois « leviers de persuasion » :

    « Le premier est la preuve sociale : voyant que d’autres ont rejoint la campagne, nous sommes plus incités à faire de même. Le second est le bouche à oreille : ceux qui voient votre ruban (rose par exemple) peuvent vous demander, par curiosité, ce qu’il représente.

    « Le port de la primevère, dans le cas du vaccin, déclencherait également un troisième levier plus fin et en même temps plus efficace pour convaincre beaucoup de se faire vacciner. Si dans un lieu public, presque tout le monde porte la primevère – déclarant ainsi avoir été vacciné – ceux qui ne la portent pas seront désapprouvés et isolés. Cet embarras pourrait conduire de nombreux indécis à choisir de se faire vacciner. »

    Dans le bel pays, tout aussi cantonné que la France dans une immobilité destructrice, a été donc lancée la campagne pour la vaccination anti-covid avec fortes images affolantes, adroits spots sentimentaux et vigoureux discours gouvernementaux. Et des tentes estampillées « primevères » ont ainsi fleuri sur les places des villes italiennes devant églises et cathédrales. Comme si un but inavoué mais précis était celui de créer une symbolique de salut, dans laquelle le vaccin est le nouveau baptême libérateur du péché originel d’être un contaminateur. Un rite de la nouvelle religion de la Science qui n’aurait pas le même effet persuasif et émotionnel si réalisé dans un simple hôpital ou cabinet médical. Que cela soit dit, la religion covidesque a ses rites, ses tabous, ses temples fleuris et ses dogmes !

    Comme l’écrivent si finement les écrivains Marletta et Gulisano dans leur dernier ouvrage intitulé L’ultime religion de l’eugénisme à la pandémie, l’aube d’une nouvelle ère ? :

    « La dernière religion est l’idolâtrie universelle : la Fraternité mondiale, la bien-pensance mondiale, la déesse Santé, l’écologisme radical, le rêve d’un monde trans-humain et, finalement, anti-humain. Une religion qui s’impose aujourd’hui mais qui vient de loin. Un processus, entamé il y a longtemps, qui arrive au but grâce aussi à la pandémie, aux investissements d’industriels et entrepreneurs au niveau mondial, à la reddition de l’Église. »

    La révolution 2020 qui vise à créer un nouveau monde dystopique avec sa nouvelle religion covidesque n’est qu’une facette de la révolution arc-en-ciel globale en marche, de Malthus à l’OMS en passant par les Gates et Soros et nos tyranniques gouvernants occidentaux.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info