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  • Le 15 octobre, le chaos en Italie ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2021

    Le 15 octobre est un rendez-vous sous haute tension en Italie. Ce jour-là entre en vigueur l’obligation d’un passe sanitaire au travail, appelé Green pass outre-Alpes. Obligation qui incombe aussi aux policiers, le bras répressif du gouvernement.

    Or il y a des tensions dans le monde policier. Et cela est démontré par la note très dure avec laquelle le syndicat de police Fsp pointe du doigt la direction du ministère de l’Intérieur italien, Luciana Lamorgese. Le 15 octobre approchant et avec l’obligation d’un laissez-passer vert pour les travailleurs dans les rues italiennes, il y a un risque de chaos. Il existe des milliers d’agents sans vaccination, cette dernière n’étant pas obligatoire, et donc sans autorisation d’opérer en service. Des semaines ont passé, mais aucune solution n’a encore été trouvée. « Ceci étant le cas – dénonce le FSP – il n’est pas difficile de prévoir le chaos. »

    Une réunion au ministère de l’Intérieur était à l’ordre du jour aujourd’hui pour régler la question avec les syndicats mais le ministre Lamorgese attendu « pour répondre aux enjeux politiques aussi bien qu’aux fondamentaux techniques opérationnels » « n’a pas daigné être présent, attaquent les syndicats policiers, et il ne nous a pas non plus envoyé de réponse ». Les représentants des policiers dénoncent un « irrespect absolu, total, total » que le ministre réserve « à tous les hommes et femmes de la police d’Etat ». « La réunion, ajoute le syndicat FSP, s’est terminée dans une impasse car il n’y a toujours pas de directives du ministre de l’Administration publique, nécessaires pour faire face à la situation ». Sur le point « vous n’êtes pas prêt », il y a « plus de doutes que de certitudes », et « le système de sécurité est trop complexe pour improviser en termes d’équipes, de services, de fréquentation, des milliers d’heures supplémentaires qui se dessinent ». Il y aurait environ 15 à 19 milles policiers non-vaccinés. Or la filière policière est déjà en manque d’effectifs. Il y a peu de patrouilles dans les rues. « Ceci étant le cas, écrit la FSP, il n’est pas difficile de prévoir le chaos. Sans vouloir entrer dans le bien-fondé scientifique de la question, on ne peut manquer d’enregistrer comment, en l’absence d’obligation (vaccination, ndlr), le choix est donc laissé à la volonté des individus. Cependant, il est évident qu’aujourd’hui, pour notre Administration, la mise en pratique de cette décision politique est presque improbable, voire impossible ».

    La possibilité des tests PCR pour les flics n’est pas réellement envisageable. Outre le fait qu’ils sont payants, chers, et non remboursés, compte tenu des « milliers d’heures de service extraordinaire quotidien émergent et obligatoire », concilier les horaires de service avec la « validité stricte du passe vert » devient pratiquement impossible. « Dans le travail de policier, on sait souvent quand on commence et on ne sait pas quand on finit, et un service peut durer six, dix, dix-huit heures consécutives. Et si entre-temps le laissez-passer vert expire, que faites-vous ? Que faire si un policier, tout en faisant preuve de la plus grande diligence, trouve les pharmacies bouchées et ne parvient pas à réaliser un test antigénique ou à obtenir les résultats à temps ? »

    Les syndicats demandent depuis longtemps au moins le test gratuit. Mais pour l’instant, le gouvernement a répondu « non ». Le risque, au final, est que les policiers non-vaccinés contre le covid restent à la maison et que les vaccinés soient appelés « pour pallier d’éventuels dysfonctionnements organisationnels et politiques ». Les demandes sont simples : le syndicat souhaite le « report de l’entrée en vigueur du décret-loi relatif » au laissez-passer vert « car le système de sécurité, en l’absence de certitudes, n’est pas prêt ».

    L’autre danger auquel risque de faire face le gouvernement du banquier Draghi est de voir les policiers se ranger du côté des centaines des milliers de manifestants qui occupent de jour comme de nuit les rues des villes italiennes pour protester contre le passe sanitaire, et qui préparent d’autres blocages dans toute l’Italie le 15 octobre et jours suivants.

    D’ailleurs le ministère de l’Intérieur italien a déjà fait un pas en arrière en envisageant les tests gratuits pour les dockers qui bloquent les ports. Comme quoi, les manifestations dures, et qui frappent les centres économiques, comme celles qui ont eu lieu en Italie ces derniers jours payent… le chaos que les élites mondiales organisent sciemment fait quand même peur aux marionnettes politiques qu’elles ont mises aux commandes tant dans le Bel Paese qu’en France…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’explosion boursière arrive à la vitesse grand V !

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2021

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    Marc Rousset

    La BCE est déjà en train de préparer un programme d’urgence d’un QE illimité pour sauver l’Italie, voire la France.

    Ce nouveau programme permettra d’aider l’Italie avec un bazooka monétaire car il n’y aura plus de limitation maximale de la création monétaire par pays, selon des quotas maximaux prévus par les règles actuelles, en fonction du PIB, c’est-à-dire du poids de l’économie de chaque pays.

    Pour la galerie – parce que tout est censé s’arranger alors qu’en fait, tout se détériore -, on va donc en réalité accroître la création monétaire actuelle, par la BCE, de 20 milliards d’euros par mois et du maximum autorisé de 1.800 milliards d’euros du plan PEPP qui doit s’achever fin mars 2022.

    Les médias bien-pensants nous expliquent que la BCE va diminuer la création monétaire ; dans la réalité, la BCE va sans doute l’accélérer sans limite aucune, selon des décisions qui seront prises probablement fin décembre 2021 par Christine Lagarde, avec l’approbation des gouverneurs. La crainte est de voir les taux italiens s’envoler ; il s’agira de pouvoir éviter de nouveau, quoi qu’il en coûte, un crash obligataire et boursier italien. Le risque d’incendie et d’explosion en Europe, voire dans le monde, si l’on observe aussi ce qui se passe aux États-Unis et en Chine, approche sans bruit !

    Il suffit d’observer également en Bourse les premiers soubresauts. Les taux italiens sont actuellement de 0,89 %, au plus haut, avec une augmentation de 0,25 % depuis juin 2021. En Espagne, ils ne sont que de 0,49 %.

    L’or, qui végète actuellement, va s’envoler un de ces jours, comme le Bitcoin, mais sans redégringoler peu après. Le Président Macron, alors que la dette française approche les 2.800 milliards d’euros, se moque du monde sur l’état réel catastrophique de l’économie française car la faillite est d’ores et déjà inévitable à terme. L’explosion à venir de la zone euro est tout aussi inévitable, tandis que le fondateur d’« En marche vers la catastrophe » nous prêche les vertus de l’Union européenne et de la monnaie unique.

     

    Source : synthesenationale

  • Italie : un ancien maire condamné à 13 ans de prison pour avoir favorisé l’immigration clandestine, notamment avec des fonds européens

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

    L’ancien maire de Riace en Calabre, Domenico Lucano – un temps une figure emblématique de l’accueil et de l’intégration des migrants en Italie – a été condamné ce jeudi 30 septembre à plus de 13 ans de prison en première instance, notamment pour avoir organisé des mariages de convenance pour des femmes déboutées du droit d’asile, et attribué des marchés, sans appel d’offres, à des coopératives liées aux migrants

    Proche de la gauche, Domenico Lucano, qui accueillait depuis les années 2000 des migrants dans son village dépeuplé en Calabre (sud de l’Italie), dans le but de relancer le développement et les emplois, avait été arrêté à l’automne 2018 et placé en résidence surveillée.
    […]

     

    La commune de Riace avait été financée pendant des années par des fonds européens et italiens. Selon les médias italiens, Domenico Lucano a été condamné à restituer 500 000 euros de financements européens.

    Ses avocats ont annoncé qu’ils feront appel de ce jugement en première instance, en soulignant que l’ex-maire n’a tiré aucun avantage pécuniaire dans cette affaire.

    […]

     

    Sud Ouest via fdesouche

  • Un procureur inculpe trois médecins après la mort d’un ado de 14 ans à la suite de sa « vaccination » anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2021

    En Italie, un adolescent de 14 ans est mort à la suite de sa deuxième injection de pseudo vaccin contre le Covid-19. Comme cela arrive partout y compris en France dans l’indifférence médiatique qui n’y voit au mieux qu’un simple fait divers.

    Mais la différence réelle et essentielle réside précisément dans le fait qu’en Italie ce décès tragique n’a pas laissé indifférent le magistrat saisi du dossier. Bien au contraire, le procureur a inculpé trois médecins, dont celui qui a fait la deuxième injection !

    La responsabilité personnelle des médecins va commencer à en faire palpiter certains. Avis aux médecins de chez nous qui se font les promoteurs inconditionnels de cette expérimentation aux graves effets secondaires ! Leur tour pourrait venir. La dictature sanitaire ne les protégera pas éternellement. Il faudra tôt ou tard rendre des comptes.

     

    Source : medias-presse.info

  • France, Italie, et combien d’autres pays : mêmes absurdités quant au passe sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    Auteur : 

    Oyez, oyez, braves Français : si vous croyez que le banquier Macron et son gouvernement de néo-technocrates douteux et néophytes véreux, est le seul à pondre des normes absurdes quant au passe sanitaire, détrompez-vous. En Italie, sous la houlette du banquier Draghi, -et oui la banque est aux commandes dans le Bel Paese aussi-, le Green Pass, comme on l’appelle là-bas, -petite indication qu’il est là pour durer et servir à une urgence climatique qui pointe à nouveau le bout de son nez-, donne lieu à des situations ubuesques, si ce n’est tragiques ! Et vous remarquerez que c’est le même schéma normatif, autre indication que nos pays européens sont soumis à des ordres supranationaux…

    Petite compilation des absurdités listées par un quotidien italien :

    « Si les pompiers n’ont pas le Green Pass, ils ne peuvent pas prendre l’hélicoptère. Ceux qui ont un besoin urgent d’aide peuvent également mourir, la faute ne reviendra qu’à ceux qui ne se font pas vacciner ou qui ne font pas leur test à temps. En sommes-nous arrivés là ? Oui, apparemment. C’est arrivé dans le Trentin, mais ce n’est pas la seule absurdité de nos jours.

    Depuis hier 1er septembre, une série de nouvelles obligations Green Pass a été déclenchée. Le passe sera désormais obligatoire dans les restaurants et bars avec service de table en salle, spectacles, événements sportifs, piscines, gymnases, expositions, musées et autres lieux de culture, une réglementation complexe pour les mariages est introduite, il sera toujours obligatoire pour les enseignants et le personnel scolaire et à l’universitaire pour les enseignants et les étudiants, les avions, les bateaux, les trains, les bus longue distance. Le bon sens est déjà la première victime de cette campagne et les premiers événements tragi-comiques provoqués par ces nouvelles obligations sont là pour le prouver.

    Le même règlement cet été a prouvé que prendre un bus bondé ne nécessite pas de Green Pass, alors qu’il est obligatoire pour prendre un train interrégional avec un siège réservé. Où est le plus le risque de contagion ? Dans le bus pour aller au travail (surtout maintenant que tout le monde retourne en masse au travail) ou dans le train où vous êtes déjà espacé ? Vous risquez plus dans un métro bondé (pas de Green Pass) ou dans un avion (Green Pass obligatoire) avec air filtré et espacement ? Dans une église où l’on assiste à un concert, lorsqu’il y a un événement culturel : le Green Pass. Dans la même église, si une messe est célébrée : pas de Passe Vert. Dans un bar, si on consomme au comptoir, il n’y a pas besoin de Green Pass, si l’on s’assoit à table, dans la même pièce, il faut le montrer au barman. Doit-on continuer ? Oui bien sûr : même pour entrer sur une place, en cas d’événement sportif ou culturel, il faut présenter le Passe Vert, mais si l’on passe par la même place, peut-être avec plus de monde aux heures de pointe, il n’est pas nécessaire.  

    La nouvelle série d’obligations déclenchée hier a déjà provoqué une nouvelle compétition de zèle dans l’application de la norme, avec un grand mépris du ridicule. L’Université de Trieste a introduit l’obligation d’un Green Pass pour les étudiants et les enseignants également au cours des examens à distance. Vous avez bien lu : à distance. Par conséquent, deux personnes se parlant depuis une webcam, à des kilomètres l’une de l’autre, doivent être en possession du Green Pass, comme s’il y avait un risque de contagion. Le recteur, Roberto di Lenarda, a expliqué sa décision en ces termes : l’obligation de posséder le laissez-passer n’a pas été établie dans le but de “garantir à aucun vacciné de rester chez lui et de passer ses examens à distance”. En ce sens, ajoute Di Lenarda, “l’obligation sert à inciter les élèves à se faire vacciner”. Sincérité bénie, utile pour ceux qui croyaient encore que le Passe Vert était une mesure de sécurité pour protéger notre santé, pas un décret éthique de l’État pour encourager les citoyens à se comporter de manière vertueuse.

    Et maintenant nous arrivons au cas des pompiers. Cela se passe à Trente, la nouvelle est donnée par le journal localIl Dolomiti. Nous rapportons textuellement : « Une voiture au fond du lac de Garde et l’alarme pour le risque que quelqu’un soit coincé à l’intérieur de l’habitacle. Il a fallu une heure et demie aux plongeurs du Trentin pour atteindre Campione du côté de Brescia. Un voyage en van à jongler avec la circulation et les virages le long de la route nationale du Gardesan le dernier dimanche d’août. La raison ? Sans un laissez-passer vert, ils n’ont pas pu monter dans l’hélicoptère et voler en 15 minutes environ, déjà en équipement de secours, directement vers la cible. La ponctualité est la clé des opérations de secours mais les délais se sont incroyablement allongés : sans vaccination ni tampon négatif de 48h vous ne décollez pas mais vous conduisez et tout s’allonge. » Heureusement, la voiture était vide et il n’y a eu aucune victime. Toutefois, notez au moins deux choses. La première : sans le Green Pass, vous ne pouvez pas monter à bord d’un hélicoptère, mais vous pouvez voyager en van. Une heure et demie de trajet en van est donc considérée comme moins dangereuse, aux fins de l’infection, qu’un quart d’heure en hélicoptère. Et c’est la moindre des choses. Le vrai problème est le deuxième aspect : vous préférez risquer de tuer une personne en commettant le crime de mort injustifiée, afin de respecter à la lettre le règlement Green Pass. Il ne serait pas poli de recourir à des comparaisons avec des régimes totalitaires sanglants, mais des choses similaires ne se sont produites que dans les États soviétiques.

    Et la cerise sur le gâteau, en fait, c’est le commentaire du responsable local : “Cette fois, ça s’est bien passé parce qu’il n’y avait personne à sauver, déclare Raffaele De Col, le directeur général du Département de la protection civile du Trentin à Il Dolomiti. Mais il n’en demeure pas moins qu’il y a eu un retard dans l’intervention du fait d’opérateurs sans vaccination ni tampon (la rédaction souligne). L’espoir est qu’il serve à ébranler la conscience de ces gens ». La conscience de ceux qui introduisent ces règles, en revanche, est parfaitement en paix. »

    Même dictature sanitaire avec ses règles absurdes et tragi-comiques d’un côté de l’autres des Alpes, dictature qui veut s’imposer au monde entier…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : .medias-presse.info