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italie - Page 4

  • Les patriotes gagnent en Italie. Pas d’inquiétude pour les juifs italiens et en Israël.

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

    Giorgia Meloni prochaine Première ministre a déclaré il y a quelques jours : « Je vais tout faire pour développer les relations Israël-Italie » (‘I believe that the existence of Israel is vital and I will make every effort to invest in greater cooperation between our countries’)
    Les israéliens, qui s’attendaient à la victoire de Giorgia Meloni, voient un bel avenir des relations bilatérales, surtout sur le plan militaire.
    Le parti Fratelli d’Italia (FdI) de Giorgia Meloni a remporté près d’un quart des voix lors des élections législatives. La coalition qu’elle forme avec Matteo Salvini et Silvio Berlusconi devrait obtenir la majorité absolue au Parlement. Berlusconi est très pro-Israël. Il l’a dit de nombreuses fois.
    Alors chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi avait déclaré qu’il « se sentait Israélien » lors d’une manifestation bi-partisane de soutien à l’Etat hébreu organisée à Rome.
    « La visite au camp d’extermination d’Auschwitz – de même que l’horreur pour la barbarie de l’holocauste – a fait naître en moi un sentiment de solidarité ineffaçable: depuis, je me sens Israélien », avait déclaré le président du conseil.
    « La sécurité d’Israël dans ses frontières et son droit à exister comme Etat juif sont pour nous Italiens un choix éthique et un impératif moral contre tout retour à l’antisémitisme et au négationnisme et contre les menaces récentes, pour nous intolérables, d’agresser et de détruire l’Etat d’Israël », avait ajouté le Cavaliere.
    L’exercice d’une semaine a vu la participation de quatre avions de combat furtifs italiens F-35 volant aux côtés de plusieurs avions israéliens F-35i Adir du 116e Escadron Lions du Sud et du 140e Escadron Golden Eagle de la base aérienne de Nevatim ».
    Déclaration claires de Giorgia Meloni sur Mussolini

    « Moi je crois que Mussolini, c’était un bon politicien, c’est-à-dire que tout ce qu’il a fait, il l’a fait pour l’Italie. »
    (Entretien à France 3, avril 1996)
    « J’ai un rapport serein avec le fascisme. Je le considère comme un chapitre de notre histoire nationale. (Mussolini) a commis plusieurs erreurs : les lois raciales, l’entrée en guerre, et son régime était autoritaire. Historiquement, il a aussi beaucoup accompli, mais cela ne l’exonère pas. »
    (Entretien au Corriere della Sera, décembre 2006)
    « Il n’y a pas de place pour les nostalgiques du fascisme, ni pour le racisme et l’antisémitisme, qui sont à des années-lumières de notre ADN. »
    (Entretien à la chaîne privée Rete 4, octobre 2021)

     

    Source : liguedefensejuive

  • Giorgia Meloni l’emporte largement en Italie : cinq leçons d’une incroyable victoire

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    26 Septembre 2022, 06:44am | Publié par Thomas Joly

    À l'heure où nous mettons sous presse (à 23 h 15 ce 25 septembre), la coalition de droite menée par Giorgia Meloni l'emporterait avec 41 % à 45 % des voix aux élections législatives italiennes, selon les sondages sortie des urnes. Le parti de Meloni Fratelli d'Italia arriverait en tête du scrutin. L’Italie franchit aujourd’hui un cap décisif. Pour la première fois, une femme pourrait accéder au pouvoir exécutif. Elle montrerait aux Italiens et à l’Europe entière que le centrisme mondialiste et européen peut être battu.

    Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les cinq leçons de ce séisme.

    1 – L’immigration est devenue insupportable aux peuples d'Europe

    Les Italiens ont longtemps suivi les sirènes de l’Europe mondialiste et de ses serviteurs. Les faits l’ont emporté. Comme en France, l’explosion des crimes et délits, les menaces culturelles, le coût délirant de l’immigration, ses effets délétères sur la culture et le mode de vie du pays ont retourné l’opinion. Un peuple peut donc se dresser et refuser le destin que d’autres ont écrit pour lui, même après des années d’immigration intensive.

    2 – La mainmise sur les médias de masse ne suffit plus

    La droite italienne l’emporte contre un système médiatique verrouillé depuis des décennies, notamment par les médias publics. Inlassablement décrite comme une fasciste mussolinienne incontrôlable et dangereuse, Giorgia Meloni a rendu coup pour coup et renvoyé les assaillants à leurs études. La propagande européenne, généreusement financée par les peuples, est impuissante face à la délinquance migratoire et aux échecs des gouvernements du système sur le plan sécuritaire. Le discours médiatique univoque en faveur du melting-pot a vécu, balayé et dénoncé par les réseaux sociaux et par quelques médias de droite qui ont réussi à émerger. Les temps s’annoncent difficiles pour les maîtres à penser du politiquement correct en Europe.

    3 – Le mondialisme et l’Europe fédérale ne sont pas des fatalités

    C’était, pour les bergers européo-mondialistes et leurs moutons, le sens de l’Histoire. Les nations appartenaient au passé, au temps où les Européens se faisaient la guerre, basculaient dans le racisme et fermaient leurs frontières. Avec la subtilité qu’on leur connaît, nos grands donneurs de leçons ont expliqué dans tous les pays que le passé, c’était le mal, quand l’avenir qu’ils dessinaient représentait le bien. Les peuples se débarrassent les uns après les autres de ce chloroforme idéologique.

    Aujourd’hui, l’Italie reprend en main les rênes de son destin. Hier, le Royaume-Uni boutait l’Europe supranationale hors de ses frontières. Quoi qu’ait pu dire et prédire notre presse bien-pensante, nos voisins anglais n’ont pas vu venir les effrayants cataclysmes qu’on leur annonçait. Et même le Parti travailliste n'envisage plus le retour en Europe.

    4 – Le lobby mondialiste et européen est plus faible que jamais

    La vague qui déferle sur l’Italie n’est qu’une énième réplique du tsunami de retour des nations qui touche l’Europe et au-delà.

    L’Italie suit en effet l’exemple de la Hongrie. Persécuté par l’Europe de Bruxelles, Viktor Orbán y occupe le pouvoir depuis 2010 sans discontinuer. Et il n’est pas près d’en partir puisque son parti, le Fidesz, a emporté 59 % des sièges au Parlement lors des législatives d’avril 2022. En Pologne, le parti conservateur Droit et Justice (PiS) est au pouvoir depuis 2015. En 2019, il a à nouveau raflé 51 % des sièges du Parlement polonais, la Diète. En Suède, la droite nationale des Démocrates de Suède vient de l’emporter, mi-septembre, là aussi dans une coalition, sur un programme d’arrêt de l’immigration. Au Danemark, le parti anti-immigration est à 20 % des sièges. En Autriche, le FPÖ représente 17 % des députés. La droite patriote monte en France, où le RN représente désormais 15 % des sièges de députés à l’Assemblée nationale, au même niveau que le parti patriote espagnol Vox. Aux États-Unis, les conservateurs, à la suite de Trump, tiennent un discours de plus en plus ferme vis-à-vis de l’immigration incontrôlée. De quoi inquiéter nos progressistes dépassés par la vague qui monte.

    5 – Vers un conflit dur entre mondialistes et patriotes

    Le scrutin italien va jeter la panique dans les couloirs de l’Europe supranationale. Pour les mondialistes européens (Emmanuel Macron en tête), les résultats italiens s’apparentent à une menace systémique. La peur va braquer les positions. Mais les sanctions jadis brandies contre le Royaume-Uni, aujourd’hui déployées contre la Hongrie de Orbán et la Pologne de Kaczyński, ont des limites. Impossible de sanctionner la moitié des pays européens. Le retour des vieilles nations met l’Europe bureaucratique et antidémocratique au pied du mur. Le vote italien restera dans l’Histoire comme une étape marquante dans la lutte des peuples contre l’idéologie mondialiste qui leur a fait tant de mal.

    Marc Baudriller

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Vers un « modèle Amish ». Plan de rationnement d’énergie en Italie. En France bientôt ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Auteur : 

    « Oui, la France va prendre le tournant de la 5G parce que c’est le tournant de l’innovation. (…) J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile ! Je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine » et « Je suis pour une société écologique mais pas Amish » ironisait Emmanuel Macron lors de son premier quinquennat.

    Une ironie à l’effet boomerang aujourd’hui : la stratégie des énergies renouvelables et anti-nucléaire de l’Union Européenne, de l’Allemagne, de la France, de l’Italie, sous la pression des khmers verts, couplée avec leurs sanctions contre la Russie, pourraient obliger bien des Européens, du moins ceux qui veillent, à sortir les lampes à huile de grand-mère des greniers. Les nations européennes se dirigent vers un hiver froid et des coupures massives d’électricité.

    L’Italie donne le « la » de ces futurs rationnements en instaurant un programme énergétique sur le chauffage qui préconise des règles d’économies quotidiennes et des sacrifices sous l’égide du ministre de la Transition écologique italien. Le Plan prévoit l’introduction de limites de température dans les pièces, d’heures d’allumage quotidiennes et de durée de la période de chauffage : 1°C de moins pour le chauffage des habitations et des bâtiments tertiaires, 19°C pour l’ensemble des bâtiments, et 17°C pour les bâtiments à usage industriel, artisanal et assimilé, avec 2°C de tolérance pour les deux ; 15 jours de chauffage en moins en un an (c’est-à-dire que la date de début est reportée de 8 jours et la date de fin avancée de 7 jours), et 1 heure de radiateurs allumés en moins par jour, selon les différentes zones climatiques de l’Italie. Il a été décidé aussi qu’en cas d’urgence la baisse pourrait être de deux degrés au lieu d’un et, par conséquent, les températures maximales seraient fixées à 18 degrés en hiver.

    La division en zones climatiques de la péninsule n’est pas d’aujourd’hui, cette pratique prend clairement en compte la diversité climatique de la botte, du Nord au Sud. En revanche, ces 3 mesures évoquées sont nouvelles, et lancées pour faire face à la flambée des prix de l’énergie et à la pénurie de gaz et pétrole venant de Russie.

    La péninsule s’attend donc à un hiver de rationnement et de contraintes énergétique pour le chauffage des bureaux publics et des maisons privées, avec comme conséquence première de lourdes amendes pour ceux qui augmentent trop la température du thermostat. Ces nouvelles règles ne pourront être efficaces qu’accompagner d’un système de contrôle garantissant leur respect. Et que compte faire le ministère pour s’assurer que les limites de température et de temps fixées pour le chauffage dans les bâtiments ne soient pas contournées ? Selon ce qui est ressorti, ce sera la police locale qui se chargera des contrôles – au hasard – qui concerneront les bureaux de l’administration publique, les écoles et les domiciles privés (notamment ceux disposant du chauffage central). Dans le cas des copropriétés, ce sera l’administrateur qui devra s’assurer que les nouveaux horaires de rationnement énergétique et la température fixée pour le chauffage des appartements individuels sont conformes aux directives gouvernementales mises à jour. Mais attention, les administrateurs devront se charger de réguler la température, mais la responsabilité incombe également à l’individu en cas de non-respect des règles. Aucun protocole n’a encore été défini ni aucune circulaire définissant le concours de culpabilité, mais dans ces cas, il a déjà été indiqué que dans les copropriétés, il existe un risque d’amende pouvant aller jusqu’à 3 000 si des irrégularités sont constatées.

    Après les restrictions et les contraintes covidiennes, voici venu le temps des rationnements et des contraintes énergétiques. Et comme au temps de la pseudo-pandémie, l’Italie ouvre la voie des mesures de contrôle pour l’hiver que la France imitera, les mêmes cabinets de conseil payés des ponts d’or vendant la même feuille de route aux diverses nations européennes…

    Nul doute : selon le plan de la Grande Réinitialisation de Davos, crise du covid et crise de l’énergie font basculer le Vieux Continent dans une société de surveillance et de contrôle, avec un résultat premier, l’appauvrissement des Européens… Le retour au « modèle Hamish » moqué par Macron pourrait bien être le système que ce même Macron nous prépare, en collaboration avec l’UE, conséquence des rationnements et contraintes énergétiques qu’ils évoquent sans honte.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Italie viole les sanctions contre le gaz russe, gare aux procédures d’infraction de Bruxelles ! (2:26′)

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2022

    Gaz russe: L'Italie n"en peut plus des sanctions contre la Russie

     

    Source : lesobservateurs

  • L’Italie se révolte contre l’Union Européenne et refuse de réduire sa consommation de gaz de 15%

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022

    La fronde gagne l’Union Européenne. Moins d’une semaine seulement après l’annonce de la décision de l’UE de réduire la consommation de gaz de 15%, plusieurs pays du Sud de l’Europe ont ouvertement fait part de leur désaccord. Jusqu’ici, les réfractaires étaient l’Espagne, le Portugal et la Grèce. Ils viennent d’être rejoints par l’Italie.

    En effet, d’après l’agence de presse italienne Ansa.it qui cite des sources diplomatiques, le gouvernement italien s’est, lui aussi, fermement opposé à l’idée de réduire sa consommation de gaz de 15%. D’après la même source, Rome s’oppose au 15% fixé par l’UE, au caractère obligatoire de la décision et à sa généralisation à tous les membres.

    Il convient de rappeler que l’Espagne a également catégoriquement rejeté cette décision, estimant qu’elle allait avoir des conséquences drastiques sur son économie. “Je suis vraiment désolée de devoir dire que l’Espagne ne soutient pas cette proposition. Nous considérons qu’elle se pose sans débat au préalable, sans débat d’orientation générale au Conseil de l’Europe, surtout lorsque les conséquences économiques sont particulièrement importantes”, a d’ailleurs fait savoir Teresa Ribera, ministre espagnole de l’Energie.

    En ce qui concerne le Portugal, notre média a appris du site d’information portugais, Observador.pt, que le gouvernement portugais a totalement rejeté cette proposition. D’après ce média, le ministre portugais de l’Environnement, Duarte Cordeiro, juge cette décision “inacceptable” et estime qu’elle ne sert pas les intérêts de son pays. Apparemment, il n’est pas le seul membre du gouvernement portugais à s’opposer à cette décision. Joao Galamba, secrétaire d’Etat pour l’Environnement et l’Energie, n’est pas non plus favorable à une réduction de 15% de la consommation en gaz du pays.

    En Grèce également, même son de cloche. La décision de l’Union Européenne fait grincer des dents. C’est du moins ce que nous apprend le média grec Ekathimerini. En effet, d’après cette source, le porte-parole du gouvernement grec, Yiannis Economou, a été très clair sur cette question.

    “Le gouvernement n’est pas d’accord en principe avec la proposition de la Commission d’une réduction de 15% de la consommation du pays en gaz naturel”, a-t-il fait savoir, ajoutant que son pays a soumis des propositions à Bruxelles espérant qu’elles porteront leur fruit. Pour le gouvernement grec, toute réduction du gaz aura un impact non négligeable sur son économie.

     

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