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italie - Page 6

  • Italie : un évêque conciliaire interdit aux clercs non vaccinés d’administrer la communion

    Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2022

    Auteur : 

    Comme François cet évêque croit au vaccin  « acte d’amour »

    Depuis le début de la dictature sanitaire les autorités conciliaires ont été parmi les premières à sacrifier à la nouvelle religion covidiste allant jusqu’à l’imposer dans les lieux sacrés.

    Ainsi en Italie l’évêque conciliaire de Teano-Calvi et d’Alife-Caiazzo, Monsignor Cirulli, physicien de formation à ce qu’il paraît, a interdit le 9 janvier « la distribution de l’Eucharistie par des prêtres, des diacres, des religieux et des laïcs qui n’ont pas été vaccinés. » tout en excluant également les non vaccinés de toute autre activité pastorale nécessitant une rencontre avec les fidèles (catéchisme). (1)

    Face aux critiques qu’a suscitées son oukase, Cirulli a tenté de se justifier en se référant aux prises de position de Bergoglio qui avait parlé de la vaccination comme d’un « acte d’amour ».

    Les réactions et les manifestations de scepticisme face à la propagande officielle autour des vaccins ne manquent pourtant pas même parmi le clergé conciliaire italien : le 31 décembre un prêtre d’une paroisse de la province de Pavie avait dit dans son sermon qu’il était important d’accepter des positions divergentes sur le sujet et que le secret médical devrait être respecté, ce qui avait poussé quelques fidèles à quitter l’église et à rapporter les faits à la curie de Milan. (2)

    Il est clair désormais que pour les zélotes de l’hygiénisme covidiste la nouvelle « règle de la foi » c’est le récit offert par les gouvernements, les médias et les officines soi-disant scientifiques stipendiées par les gros intérêts mondialistes. Devrait-on s’attendre bientôt à l’instauration d’une inquisition (rien à voir avec celles d’autrefois) hygiéniste ?

    Basile Favras

    Notes de bas de page

    (1)  https://www.ilmessaggero.it/vaticano/vescovo_cirulli_teano_sacerdoti_non_vaccinati_no_vax_comunione_cosa_e_successo_news_teano-6428674.html

    (2) https://www.ilmessaggero.it/vaticano/vescovo_cirulli_teano_sacerdoti_non_vaccinati_no_vax_comunione_cosa_e_successo_news_teano-6428674.html

     

    Source : medias-presse.info

  • Italie : la Justice valide la saisie d’un navire d’ONG pro-migrants, pour complicité à l’immigration clandestine et violation du code de la navigation

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021

    Italie – La Cour de cassation a validé la saisie du navire Mare Jonio, principal navire utilisé par l’ONG italienne Mediterranea Saving Humans, ordonnée par le parquet de Raguse.

    Les juges ont rejeté les recours déposés par les différents suspects, dont le militant Luca Casarini, qui contestaient la légitimité de la saisie de documents, de téléphones portables et d’ordinateurs, trouvés à bord du “Mare Jonio” et au domicile des personnes impliquées.

    La saisie, validée par le tribunal de Raguse le 26 mars, avait eu lieu dans le cadre de la procédure engagée par le ministère public pour les délits de complicité à l’immigration clandestine et de violation des règles du code de la navigation. Ces infractions ont été commises dans le cadre du transbordement sur le navire “Mare Jonio” et du débarquement ultérieur, qui ont eu lieu dans le port de Pozzallo entre le 11 et le 12 septembre 2020, de 27 migrants illégaux secourus en mer 38 jours plus tôt par le pétrolier “Maersk Etienne” battant pavillon danois.

    Selon les juges, le “secours” des migrants n’était pas fondé “en raison de l’absence d’un état de danger réel et imminent pour la vie et la sécurité des migrants, ceux-ci ayant déjà été embarqués à bord du pétrolier Maersk et ne risquant donc pas de périr en mer, n’étant pas privés d’abris et de la possibilité de se nourrir et ne se trouvant pas dans une situation de danger pour leur santé”.

    (…) Il Giornale via fdesouche

  • Plus de 600 migrants d’Afrique du Nord sont arrivés en Italie ces dernières 24 heures

    Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2021

    Plus de 600 migrants, dont beaucoup d’Égyptiens, sont arrivés dans le sud de l’Italie ces dernières 24 heures, ont annoncé dimanche les autorités italiennes.

    Pendant la nuit, les garde-côtes ont secouru quelque 300 hommes et jeunes garçons entassés sur un bateau de pêche au large de la pointe sud de l’Italie. Ils sont été débarqués dans le port de Roccella Jonica.

    Quelques heures plus tard, 212 migrants, des Égyptiens et des Syriens pour la plupart, ont été débarqués d’un deuxième bateau et emmenés eux aussi à Roccella Jonica.

    Plus au sud, 113 migrants, dont au moins huit femmes, ont atteint l’île méditerranéenne de Lampedusa à bord de deux embarcations distinctes. Selon les médias locaux, certains d’entre eux sont de nationalité tunisienne.

    (…) Midi Libre via fdesouche

  • Grand remous en Italie : Pour l’Institut Supérieur de la Santé italien, le covid a tué moins que la grippe

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021

    Les médias sont gênés, les politiciens ennuyés, l’info quasi occultée mais pas tout-à-fait :

    « selon le nouveau rapport (qui n’avait pas été mis à jour depuis juillet) de l’Institut supérieur de santé sur la mortalité du Covid, révèle le quotidien Il Tempo, le virus qui a mis le monde à genoux aurait tué bien moins qu’une simple grippe. »

    Ce ne sont pas les données publiées par un blog complotiste, mais les statistiques officielles publiées par l’Institut supérieur de Santé italien (ISS) concernant la mortalité du Covid. Un résultat qui fait réfléchir et qui souligne la différence entre « mort du Covid » et « mort avec le Covid ». Selon les données officielles publiées par l’ISS, il semblerait donc que la plupart des décès survenus au cours des deux dernières années de restrictions et de privations soient principalement dus à l’état antérieur des patients. Covid ou pas Covid.

    « Cela semble une déclaration bizarre et des no-vax, continue le journal, mais selon l’échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l’institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi sur les 130 468 décès enregistrés par statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 seraient dus à la puissance du virus lui-même » soit 2,9%.

    Tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l’ISS, leur laissaient donc déjà peu d’espoir. Même 67,7% auraient eu plus de trois maladies contemporaines ensemble, et 18% au moins deux ensemble.

    Selon l’ISS, 65,8% des Italiens qui ne sont plus là après avoir été infectés par le Covid étaient atteints d’hypertension artérielle, c’est-à-dire qu’ils avaient une pression artérielle élevée. 23,5 % souffraient également de démence, 29,3 % ajoutaient du diabète à leurs maux, 24,8 % étaient également atteints de fibrillation auriculaire. Et cela ne suffit pas : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des 5 dernières années ; 15,7% souffraient d’insuffisance cardiaque, plus d’un sur dix était également obèse, plus d’un sur dix avait subi un accident vasculaire cérébral, et d’autres encore, bien que dans des proportions moindres, souffraient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes. 

    Puisqu’il est clair, d’après les données du rapport de l’Institut supérieur de la santé, que l’incidence de Covid sur le total des décès est inférieur à 3%, « dès lors, l’alarmisme qui a conduit une certaine ligne politique à pousser avec tant d’insistance sur le vaccin et sur les restrictions considérées comme l’apanage de s’affranchir de l’urgence sanitaire ne s’explique pas, commente un autre quotidien, Il Giornale d’Italia. Données en main, la poussée anxieuse des institutions vers l’obligation vaccinale de facto et l’obligation du laissez-passer vert, ne semblent pas se refléter dans les chiffres. »

    « Le nouveau rapport de l’ISS a été long à venir, souligne Il Giornale. L’institut n’avait pas publié de mises à jour depuis juillet et les développements récents suggèrent pourquoi. Justifier près de 24 mois de restrictions et une poussée draconienne vers l’exigence de vaccin de facto à la lumière d’une statistique infinitésimale de 2,9% est au moins embarrassant pour les autorités. »

    En effet, rappelle le quotidien italien, « c’est précisément sur l’alarmisme concernant les décès, et pas seulement des contagions, que les autorités ont fondé leurs décisions qui ont parfois conduit à la privation de liberté individuelle. Beaucoup d’entre elles sont encore en vigueur aujourd’hui. (…) En fait, il semble qu’aux étages supérieurs les chiffres présentent moins d’intérêt que les décisions péremptoires concernant l’imposition du passeport vert. »

    « Si donc la situation semble ainsi moins alarmante que ce qui est parfois décrit, comment justifier les restrictions encore en vigueur ? » s’interroge le journaliste qui conclut :

    « Pour le dire comme Shakespeare, dans de nombreux cas, au détriment de la liberté de beaucoup, et s’appuyant sur le sort (quoique tragique) de quelques-uns, on a fait ‘’beaucoup de bruit pour rien’’. »

    On peut supposer qu’en France, la situation concernant la mortalité du covid ou avec le covid est sensiblement la même en pourcentage. « Beaucoup de bruit pour rien » donc. Plus vraisemblablement, comme en Italie, beaucoup de bruit pour rien selon une lecture sanitaire, à l’inverse, politiquement parlant beaucoup de bruit avantageux pour imposer un contrôle à la chinoise de la population, une gouvernance mondiale, et faire avancer l’agenda de Davos.

    Que le passe sanitaire n’ait rien de sanitaire mais tout du politique, et de la politique dictée par les cercles mondialistes, nous le savions, le rapport de l’ISS italien ne fait qu’en apporter une preuve supplémentaire.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le 15 octobre, le chaos en Italie ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2021

    Le 15 octobre est un rendez-vous sous haute tension en Italie. Ce jour-là entre en vigueur l’obligation d’un passe sanitaire au travail, appelé Green pass outre-Alpes. Obligation qui incombe aussi aux policiers, le bras répressif du gouvernement.

    Or il y a des tensions dans le monde policier. Et cela est démontré par la note très dure avec laquelle le syndicat de police Fsp pointe du doigt la direction du ministère de l’Intérieur italien, Luciana Lamorgese. Le 15 octobre approchant et avec l’obligation d’un laissez-passer vert pour les travailleurs dans les rues italiennes, il y a un risque de chaos. Il existe des milliers d’agents sans vaccination, cette dernière n’étant pas obligatoire, et donc sans autorisation d’opérer en service. Des semaines ont passé, mais aucune solution n’a encore été trouvée. « Ceci étant le cas – dénonce le FSP – il n’est pas difficile de prévoir le chaos. »

    Une réunion au ministère de l’Intérieur était à l’ordre du jour aujourd’hui pour régler la question avec les syndicats mais le ministre Lamorgese attendu « pour répondre aux enjeux politiques aussi bien qu’aux fondamentaux techniques opérationnels » « n’a pas daigné être présent, attaquent les syndicats policiers, et il ne nous a pas non plus envoyé de réponse ». Les représentants des policiers dénoncent un « irrespect absolu, total, total » que le ministre réserve « à tous les hommes et femmes de la police d’Etat ». « La réunion, ajoute le syndicat FSP, s’est terminée dans une impasse car il n’y a toujours pas de directives du ministre de l’Administration publique, nécessaires pour faire face à la situation ». Sur le point « vous n’êtes pas prêt », il y a « plus de doutes que de certitudes », et « le système de sécurité est trop complexe pour improviser en termes d’équipes, de services, de fréquentation, des milliers d’heures supplémentaires qui se dessinent ». Il y aurait environ 15 à 19 milles policiers non-vaccinés. Or la filière policière est déjà en manque d’effectifs. Il y a peu de patrouilles dans les rues. « Ceci étant le cas, écrit la FSP, il n’est pas difficile de prévoir le chaos. Sans vouloir entrer dans le bien-fondé scientifique de la question, on ne peut manquer d’enregistrer comment, en l’absence d’obligation (vaccination, ndlr), le choix est donc laissé à la volonté des individus. Cependant, il est évident qu’aujourd’hui, pour notre Administration, la mise en pratique de cette décision politique est presque improbable, voire impossible ».

    La possibilité des tests PCR pour les flics n’est pas réellement envisageable. Outre le fait qu’ils sont payants, chers, et non remboursés, compte tenu des « milliers d’heures de service extraordinaire quotidien émergent et obligatoire », concilier les horaires de service avec la « validité stricte du passe vert » devient pratiquement impossible. « Dans le travail de policier, on sait souvent quand on commence et on ne sait pas quand on finit, et un service peut durer six, dix, dix-huit heures consécutives. Et si entre-temps le laissez-passer vert expire, que faites-vous ? Que faire si un policier, tout en faisant preuve de la plus grande diligence, trouve les pharmacies bouchées et ne parvient pas à réaliser un test antigénique ou à obtenir les résultats à temps ? »

    Les syndicats demandent depuis longtemps au moins le test gratuit. Mais pour l’instant, le gouvernement a répondu « non ». Le risque, au final, est que les policiers non-vaccinés contre le covid restent à la maison et que les vaccinés soient appelés « pour pallier d’éventuels dysfonctionnements organisationnels et politiques ». Les demandes sont simples : le syndicat souhaite le « report de l’entrée en vigueur du décret-loi relatif » au laissez-passer vert « car le système de sécurité, en l’absence de certitudes, n’est pas prêt ».

    L’autre danger auquel risque de faire face le gouvernement du banquier Draghi est de voir les policiers se ranger du côté des centaines des milliers de manifestants qui occupent de jour comme de nuit les rues des villes italiennes pour protester contre le passe sanitaire, et qui préparent d’autres blocages dans toute l’Italie le 15 octobre et jours suivants.

    D’ailleurs le ministère de l’Intérieur italien a déjà fait un pas en arrière en envisageant les tests gratuits pour les dockers qui bloquent les ports. Comme quoi, les manifestations dures, et qui frappent les centres économiques, comme celles qui ont eu lieu en Italie ces derniers jours payent… le chaos que les élites mondiales organisent sciemment fait quand même peur aux marionnettes politiques qu’elles ont mises aux commandes tant dans le Bel Paese qu’en France…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info