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nîmes - Page 5

  • Le drôle de parcours de Yoann Gillet, candidat RN à Nîmes

    Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2019

    La classe politique a soutenu presque unanimement l’élu RN Yoann Gillet lorsqu’il s’est fait agresser il y a quelques jours à Nîmes…
     
    Même Schiappa est montée au créneau pour défendre Gillet. La police a trouvé les présumés coupables en quelques jours. Mais pourquoi tout ce zèle et cet empressement à retrouver les coupables ?
     
    La réponse est peut-être dans cet article qui suit, daté de 2016, envoyé par un fidèle lecteur…
     

    Ils sont beaux comme des légionnaires les p’tits gars gardois de la Marine
    Yoann Gillet Truillet est très précoce dans beaucoup de domaines… et dans la politique en particulier.
    En mai 2006 tout juste âgé de 19 ans, poète, il publie un manifeste sur son blog, véritable cri du coeur et d’amour à la chose publique qu’il chérit tant.

    “Politique, je t’aime, moi non plus…
    Je me suis engagé en politique à l’âge de 16 ans en rejoignant l’Union pour un Mouvement Populaire. Un bel Union imaginé et créé par Alain Juppé. Il y a un an et demi, j’ai pris la fonction de Délégué Général de « Aujourd’hui, Autrement », parti politique créé par Jean-Luc Romero. Je suis également devenu Vice président de « Jeunes Autrement ». Mais aujourd’hui, la politique me tourne le dos…
    J’ai 19 ans et je suis dans la vie active (gérant d’un magasin et jeune attaché de presse indépendant). De nos jours, comment faire de la politique sans être fonctionnaire, avocat ou médecin ? Tout le problème est là. Du temps, je peux en trouver, mais à l’heure où je suis disponible, la politique est dans un profond sommeil.
    Alors que faire? Dois-je démissionner de mes responsabilités politiques ? Je n’en ai aucune envie, mais la réalité me rattrape. La question est posée…”

    À défaut de se faire rattraper par la réalité Gillet va essayer de rattraper la gamelle politique.
    Pourquoi lui Yoann Gillet Truillet qui incarne la perfection au masculin n’aurait-il pas droit lui aussi à sa gamelle ? Alors Gillet Truillet essaye et essaye encore.
    A l’UMP comme fan de Sarkozy. En 2007 Gillet Truillet se jette à corps perdu dans la campagne présidentielle espérant secrètement que la victoire de sa nouvelle idole lui ouvre la porte d’une petite gamelle… Makash walou !

    Déçu mais pas abattu le petit Yoanń rompt avec l’UMP et pousse la porte du Nouveau Centre. Il se prend de passion pour Duncombe, tête de liste Nouveau Centre soutenu par le Modem aux municipales de Caen. Au beau milieu de cette tambouille  à la mode de Caen, Gillet Truillet se prend pour le Caïn de Caen et tente de tuer ses frères de l’UMP !
    Avec un superbe 6%, le candidat de Gillet Truillet se brise sur le mur du premier tour.
    Pour Gillet Truillet c’est retour à la case départ et toujours pas de gamelle en vue !

    Après le fan club de Romero, après l’UMP et le Nouveau Centre Gillet Truillet ne désarme pas et va tenter la gamelle au Front National. Adhérent du FN avec la ferveur des nouveaux convertis au Lepenisme, Gillet Truillet en profite pour abandonner Truillet, il se fera désormais appeler Yoann Gillet.
    C’est au FN, à défaut, que Gillet rencontre son Pygmalion Julien Sanchez qui va faire de lui sa Galatée en lui promettant gîte, couvert et gamelle façon Bygmalion.
    Gillet s’expatrie sous le soleil du Gard, département sur lequel Sanchez a jeté son dévolu.

    C’est chez les gars de la Marine qu’enfin on reconnaît la valeur de Gillet.
    Pour faire genre je travaille, Gillet monte une société bateau pour se déclarer Conseil en relations publiques et communication : ça fait bien sur la carte de visite.
    Gillet décroche enfin un poste comme secrétaire départemental adjoint du FN du Gard. Il suce la roue de Sanchez le patron du FN du Gard qui se fait élire à la gamelle régionale en 2010.

    Arrivent les municipales de 2014, Gillet est aux anges, il est nommé tête de liste à Nîmes et va enfin pouvoir se voir en haut de l’affiche. Il se fait élire au conseil municipal à Nîmes et à l’agglo, et hop 460 € par mois de plus dans la gamelle qui vont lui servir à payer ses cafés car c’est du côté de Beaucaire que Gillet va remplir copieusement sa gamelle. Son Pygmalion Sanchez remporte la ville de Beaucaire et fait appel à Galatée Gillet qu’il nomme directeur de cabinet.

    Homme à tout faire du nouvel homme fort de Beaucaire, ça paye pas trop mal (un peu plus de 3000 €/mois) et surtout cela permet enfin à Gillet de se livrer corps et âme à la politique, sa dévorante passion dont il veut faire son métier.

    Gillet, nommé par la Marine secrétaire départemental du FN30, s’autodésigne candidat aux départementales sur le canton de Marguerittes. Les nuits du petit Gillet sont ces jours-ci agitées… Il se rêve le 29 mars prochain gamelleur au département du Gard, de quoi doubler son train de vie et vivre d’amour et de fraiche.

    Et après ?
    Gageons que vu qu’il n’a que 28 ans, les gardois vont devoir se “taper” Gillet pendant au moins les 25 prochaines années…

    Gillet salive d’avance en songeant aux gamelles qui vont s’offrir à lui… Une belle gamelle régionale en décembre (si la départementale lui échappait), tenter la députation (et ses très confortables frais d’indemnités et de représentations de mandats non contrôlés…) en 2017.
    Gillet rigole en voyant ses électeurs gogos tomber dans le panneau de la politique autrement, alors que comme tous les nouveaux gars de la Marine il n’aspire qu’à reproduire la technique UMPS pour gameller toujours plus.
    “Jeune homme, m’écoutes-tu
    J’ai dit jeune homme, que veux-tu être
    J’ai dit jeune homme, tu peux réaliser tes rêves
    Mais tu dois savoir cette seule chose
    Aucun homme ne fait tout ça par lui-même
    J’ai dit jeune homme, met ta fierté de côté
    Et va simplement là-bas, au Y. M. C. A.
    Je suis sûr qu’ils peuvent t’aider aujourd’hui”

     

    Source : medias-presse.info

  • Agression raciste à Nîmes (30): plusieurs personnes blessées à coups de couteau aux cris de « sales blancs… sales Français » (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2019

    Par  le 22/10/2019

    22 octobre 2019

    […]

    Trois personnes ont été blessées par des coups de couteau, le jeudi 17 octobre

    […]

    Selon les policiers, ces jeunes gens auraient insulté les passant, les traitant de « sales blancs » ou de « sales français ».

    […]

    Midi Libre


    21 octobre 2019

    Une information judiciaire confiée à un juge d’instruction de Nîmes a été ouverte pour « tentative de meurtre en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion ».

    À ce stade des investigations, le caractère raciste est retenu, notamment accrédité par plusieurs témoignages de personnes présentes lors de cette agression survenue jeudi soir à Nîmes, près de la Maison carrée. Des témoins qui déclarent que les deux mis en cause ont prononcé à plusieurs reprises « sale Français ».

    Le soir des faits, un couple de marginaux demandait de l’argent et des cigarettes aux clients des cafés, attablés en terrasse. Lorsque le couple est arrivé près de la Maison carrée, la situation est montée d’un cran avec l’homme âgé d’une vingtaine d’années qui a sorti un couteau. Il a blessé trois clients qui essayaient de le calmer et de le raisonner. Deux ont été touchés plus légèrement. Un autre est encore hospitalisé après une blessure au niveau du foie.

    La femme qui a participé aux événements a été appréhendée quelques minutes après l’agression. Elle est mise en examen et écrouée. Son compagnon était parvenu à s’échapper. Il s’est rendu trois jours plus tard, dimanche en soirée, au commissariat de Nîmes. Il est depuis en garde à vue et devrait être déféré dans la soirée au tribunal de grande instance de Nîmes en vue de sa probable mise en examen.

    www.objectifgard.com 

  • Quand des élus LR préfèrent voter Front de gauche plutôt que RN

    publié par Guy Jovelin le 28 mai 2019

    Auteur : Philippe Carhon

    Quand des élus LR préfèrent voter Front de gauche plutôt que RN

    Et après, ils s’étonnent d’être jugés incohérents et non crédibles par les électeurs. Cela se passe au conseil municipal de Nîmes pour désigner un élu pour siéger à Nîmes Métropole. Les élus LR ont préféré voter pour le Front de gauche pour éviter que ce soit un élu RN :

    Depuis que le LR Anthony Chaze s’est retrouvé dans l’impossibilité de siéger à l’Agglo, du fait de son recrutement dans l’une des communes de Nîmes métropole, l’un des 104 sièges étaient vacants. La Ville a pensé un temps qu’il n’était pas nécessaire de renvoyer quelqu’un, le préfet a finalement donné une autre interprétation.

    Les LR étant déjà au complet à l’Agglo, les conseillers municipaux nîmois ont eu à choisir entre trois candidats. L’UDI Nathalie Bousquet, la FG Janie Arnéguy et le RN Olivier Rolland.

    Alors que le chef du groupe LR Julien Plantier donnait (publiquement) une consigne de vote blanc à son groupe, une grande partie de ses membres faisaient un autre choix, votant pour la FG Janie Arnéguy (17 voix), tandis que Nathalie Bousquet ne récupérait que les voix de son groupe, les centristes (9 voix) de même que le RN (7 voix).

     

    Source : lesalonbeige