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noël - Page 2

  • La mairie de Saint-Denis efface Noël des festivités pour ne pas heurter les « communautés non chrétiennes ».

    Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2020

    lafautearousseau

    En ces fêtes de fin d’année, la municipalité de Saint-Denis, dans le 9.3, avance à pas feutrés. Comment festoyer sans faire allusion à  ? La crèche, le petit Jésus, les sapins… Des communautés non chrétiennes pourraient mal le prendre. Les bouddhistes, par exemple.

    Les champions du monde de la tartuferie qui gèrent la sainte ville parlent ainsi de « communautés non chrétiennes » pour justifier leur évitement du mot « Noël ». Un slalom lexical qui amène l’équipe municipale à lancer les « Festivité du bel hiver ». Ah, qu’il est beau ! Ah, la belle trouvaille ! Mais ne risque-t-elle pas de choquer les membres de la secte du Temple solaire qui ont voué leur vie à l’adoration de cet astre si peu présent au mois de décembre ?
     
    Pour la fine équipe dirigée par le maire PS Mathieu Hanotin, il y a des mots qui fâchent et on n’ose les imprimer sur les prospectus, ni les prononcer dans les vidéos de promotion de l’événement. Musulm… isla… ? Il y avait pourtant la possibilité de ne pas les écrire en entier. De laisser planer le doute. Une coquille, une erreur de l’imprimeur, une langue qui a fourché. Non. Trop risqué. La communauté non chrétienne, très présente à Saint-Denis, en question n’aurait pas supporté d’être montrée du doigt.
     
    Susceptibilité tous azimuts. Du non-dit de toutes parts. Cernée par ces effarouchements en chaîne, la mairie se rabat sur la saison. Par chance, l’hiver tombe le 22. Sans cet heureux hasard, Dieu sait quelles appellations auraient fleuri sur les murs de la ville : « La fête des beaux marrons chauds », « Les festivités du radiateur » ? Un vrai casse-tête.
     
    À l’inverse, les croyants en rien, athées de conviction, semblent passer Noël sans encombre. Nulle dépression ne les atteint, nulle vexation. Souffriraient-ils en silence ou bien ont-ils la politesse d’apprécier le folklore sans adhérer à ses origines ? Ah, le bel exemple en ce bel hiver ! Pour la municipalité de Saint-Denis, la soumission s’annonce comme un long chemin de croix. Gommer toute trace chrétienne de la ville ne sera pas une mince affaire. Démolition de la basilique, transformation du nom de la ville en «Sans-Denis ».
     
    Il est à craindre que nous soyons entrés dans un hiver interminable. Et pas très beau, celui-là.
     
  • Noël. Québec : la crèche est-elle en voie de disparition ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2020

    L’achat d’une crèche de Noël se complique alors que de moins en moins de marchands tiennent la «Nativité» en inventaire. Avec le déclin continu de la pratique religieuse au Québec, il s’agit là de la suite logique d’une tendance bien ancrée, estiment des experts.

    Un rapide coup d’œil sur les sites web des grands détaillants de la province permet de voir que les scènes de nativité qui habillaient autrefois les dessous d’arbre de Noël sont de plus en plus rares. Seule une poignée de marchands vendent des crèches et bien souvent, un ou deux modèles seulement sont disponibles et les quantités, limitées.

    Questionnée à cet effet, la chaîne Canac admet ne plus tenir de crèches en inventaire depuis plus de 10 ans. Positionnement laïque dans une société où l’accommodement a fait couler beaucoup d’encre? «Pas du tout. Nous, on est en affaires, si ça se vend, on va en avoir», lance avec franchise le directeur marketing de la chaîne, Patrick Delisle. «C’est vraiment une question de demande. Notre modèle d’affaires est basé sur les items à volume et ces produits étaient de moins en moins en demande avec les années.» […]

    «Quand on regarde les années 90, les gens étaient à distance des institutions religieuses, parfois même critiques, mais il y avait une culture commune qui demeurait, un liant social. On allait à la messe à Noël et à Pâques, puis les funérailles étaient catholiques parce qu’on ne savait pas faire autrement. […] Mais de génération en génération, l’effritement continue et ces dernières années, on a vu un emballement de ce phénomène», analyse M. Perreault qui étudie l’évolution de la religion sous un angle sociologique.

    Journal de Montréal via fdesouche

  • Covid : à Noël, “on coupe la bûche en deux et papy et mamie mangent dans la cuisine”, préconise le professeur Salomon

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2020

  • Confinement : La ministre belge de l’Intérieur met en garde la population. “Si nécessaire, la police sonnera aux portes à Noël”

    Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2020

    Annelies Verlinden rappelle que les autorités veilleront au respect des mesures sanitaires.

    La ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden a prévenu, auprès de nos confrères du Zondag, que les autorités veilleront au respect des mesures sanitaires à la Noël. Alors qu’un Belge sur trois affirme qu’il ne fêtera pas Noël en cercle très restreint selon une étude de l’Université d’Anvers, les autorités ont mis en garde les citoyens à l’approche des fêtes de fin d’année.

    « Si nécessaire, en cas de nuisances sonores par exemple, la police sonnera aux portes. Mais entrer dans les maisons n’est pas une priorité. La loi ne le permet d’ailleurs pas non plus » explique Annelies Verlinden.

    (…) Concrètement, « la police contrôlera le respect de ces mesures » conclut-elle.

    Le Soir via fdesouche

  • Chez Disney, les princesses célèbrent Hanoukkah…

    Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2020

    Elena d’Avalor est une série de dessins animés réalisée par Disney pour la télévision. Fin décembre, un épisode a été entièrement dédié à la fête juive d’Hanoukkah. Chez Disney, les princesses ne connaissent par contre pas de crèche de Noël…