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repentance

  • Repentance : Macron “reconnait officiellement” que la France a mené une guerre au Cameroun. Il espère que cette reconnaissance permettra de « continuer à bâtir l’avenir » et de renforcer les liens entre les deux pays.

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2025

    Selon BFMTV, Emmanuel Macron a officiellement reconnu, dans un courrier au président camerounais Paul Biya, que la France a mené « une guerre » contre des mouvements insurrectionnels au Cameroun avant et après l’indépendance de 1960. Cette expression, jusque-là absente du discours officiel français, reprend les conclusions d’un rapport d’historiens remis en janvier. Le document, basé sur des archives, témoignages et enquêtes de terrain, indique que cette guerre, menée avec des violences répressives « de nature multiple », s’est poursuivie au-delà de 1960 avec l’appui de Paris aux autorités camerounaises indépendantes. Elle aurait fait « des dizaines de milliers de victimes » entre 1956 et 1961. Macron espère que cette reconnaissance permettra de « continuer à bâtir l’avenir » et de renforcer les liens entre les deux pays. Le président camerounais Paul Biya, 92 ans, est candidat à un huitième mandat pour l’élection du 12 octobre prochain, après l’exclusion de son principal opposant Maurice Kamto.

  • Esclavagisme, repentance et ethno-masochisme du roi des Pays-Bas

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

    La repentance du roi des Pays-Bas
    La repentance du roi des Pays-Bas

    Samedi, le roi des Pays-Bas Willem-Alexander, très impliqué dans le club Bilderberg, a fait acte de repentance lors d’une cérémonie commémorant les 150 ans de l’affranchissement des esclaves dans les anciennes colonies, en présence d’immigrés et de descendants de personnes du Suriname et des îles caribéennes d’Aruba, Bonaire et Curaçao.

    Les commémorations – appelées “Keti Koti” (“briser les chaînes” en sranantongo, l’une des langues du Suriname) – marquant la fin de l’esclavage dans les colonies néerlandaises ont lieu chaque année à Amsterdam.

    En décembre, le gouvernement des Pays-Bas avait déjà présenté des excuses officielles pour le passé esclavagiste de ce pays.

    Le discours du roi des Pays-Bas prononcé depuis l’Oosterpark d’Amsterdam a été retransmis en direct à la télévision nationale.

    Depuis l’émergence du mouvement Black Lives Matter financé par George Soros, les Pays-Bas se sont lancés dans une repentance publique sur son passé colonial qui en a fait l’un des pays les plus riches du monde.

    Selon un rapport commandé par le ministère néerlandais de l’Intérieur et publié en juin, entre 1675 et 1770, les colonies ont rapporté à la famille royale l’équivalent de 545 millions d’euros, à une époque où l’esclavage était très répandu.

    Mais certains milieux immigrés, peu concernés par le sujet, estiment que leur couleur de peau devrait maintenant leur donner droit à des “indemnités”…

    Quant à certains autres esclavagistes, personne n’en parle.

     

     

    Source : medias-presse.info

  • Stop ! Repentance! JFT.

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2021

    L'action mitterrandienne en Afrique ne fut certes pas un modèle de géopolitique opérationnel. Mais... Comment dire? Le "génocide" des Tutsi en 1994, les Français n'en ont pas plus à cirer que celui des Cananéens à la fin de l'âge de bronze.
    Le rapport Duclert sur les responsabilités de la France dans les massacres commis au Rwanda, sera, en revanche, l'occasion pour Macron de s'aplatir bientôt devant Paul Kagame à Kigali comme le rapport Stora conduit à le faire devant Abdelmadjid Tebboune à Alger.
    Stop ! Repentance!
    JFT.
    Peut être une image de une personne ou plus, personnes debout et plein air
     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Mission sur la mémoire? Non! Mission sur la repentance.

    Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2020
     
    Jean-François Touzé délégué général de Parti de la Franc

    Mission sur la mémoire? Non! Mission sur la repentance.

    Emmanuel Macron vient de confier à l'historien militant Benjamin Stora une "mission sur la mémoire de la guerre d'Algérie".

    En choisissant Stora le Président de la République dont on se souvient de la déclaration sur les "crimes contre l'humanité de la France en Algérie" a désigné celui qu'il considère, selon son coeur, comme "the right man at the right place" pour finaliser le processus de repentance déjà largement entamé par ses prédécesseurs, contrition exigée par Alger, imposée par le progressisme planétaire et réclamée chez nous par les tenants de l'humiliation nationale.

    Rappelons que Benjamin Stora dont la dense bibliographie et les prises de positions anti-coloniales témoignent de sa proximité avec le régime d'Alger, fut, dès 1968, un militant particulièrement actif de l'Organisation communiste internationaliste (OCI), mouvement lénino-trotskiste dit lambertiste particulièrement influent dont il fut permanent et dirigea l'appareil pendant dix ans de 1974 à 1984. Rappelons également que sa thèse de doctorat était consacrée à l'immigration algérienne en France et qu'il présida le Conseil d'orientation du musée de l'immigration jusqu'en 2019.

    L'homme de la situation donc...

    Benjamin Stora a été officiellement missionné par Emmanuel Macron. Il aurait tout aussi bien pu l'être par le Président Algérien Abdelmadjid Tebboune. Les choses auraient été plus claires.

    Le jour venu, la France nationale rétablira dans sa vérité ce que fut l'œuvre française en Algérie, rendra hommage à ceux qui l'ont faite et ont du, un jour, se résigner au départ (la valise ou le cercueil) du fait de la trahison d'une République félone. Notre France retrouvée célébrera alors ceux qui se sont battus et ceux qui sont tombés pour l'Algérie française.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France.

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  • A propos de l'Algérie : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux »

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2019

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    Bernard Lugan

    Cette phrase d’Etienne de la Boétie résume la relation franco-algérienne. A chaque fois qu’il est en difficulté, le « Système » algérien sort en effet le joker-martingale de l’accusation de la France, sachant qu’il sera immédiatement relayé par les héritiers des « porteurs de valises », ethno-masochistes buvant goulûment au calice de la repentance et de la contrition.

    Le 15 juillet dernier, montrant en cela qu’il n’est pas encore mentalement décolonisé, Mohand Ouamar Bennelhadj, membre essentiel du « Système » algérien puisqu’il est le secrétaire général par intérim de l’ « Organisation nationale des moudjahidines », les « anciens combattants », a ainsi appelé le parlement algérien à voter une loi criminalisant la colonisation française. Il a en outre demandé que cette loi ouvre la voie à des « compensations », osant écrire que les Français ont « génocidé » les Algériens et que, après avoir pillé le pays, ils « n’ont laissé ici que des broutilles, des choses sans valeur».

    Ces accusations ne relèvent pas de l’anecdote. Ce n’est pas de sa propre initiative que ce pâle apparatchik dont l’association constitue le pivot du « Système » et dévore 6% du budget de l’Etat -plus que ceux des ministères de l’Agriculture (5%) et de la Justice (2%)-, a lancé ces accusations gravissimes. Depuis deux ou trois semaines, acculé par la rue, le général Gaïd Salah a en effet ordonné qu’une offensive anti-française destinée à tenter de faire dévier la contestation populaire soit lancée. Face à cette véritable déclaration de guerre, le président Macron garde un étourdissant silence…

    Alors, puisque, comme ils en ont hélas l’habitude, les « lapins de coursive » qui dirigent la France se tairont, il est donc nécessaire que les « réseaux sociaux » s’emparent de l’affaire, à la fois pour exiger une réponse officielle des autorités françaises, et pour « remettre les pendules à l’heure ».

    En 1962, la France a légué à l’Algérie un héritage exceptionnel et non des « Broutilles » et des « choses sans valeur », à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes (soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…

    Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. Daniel Lefeuvre a montré qu’en 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

    Tous les arguments permettant de réfuter la fausse histoire de l’Algérie écrite par les profiteurs du « Système » se retrouvent dans mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.

    Source cliquez ici via synthesenationale