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russie - Page 13

  • Le moustique s’agite en Roumanie face à l’ours russe.

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    La gesticulation ridicule de « notre président » est pathétique

    Si le ridicule ne tue pas, à tout le moins, la gesticulation de notre président est pathétique. Dans son rôle de chef des armées, il a envoyé 500 braves militaires français en Roumanie, bientôt 1 000, pour participer à la protection d’un territoire de l’OTAN. Et que font-ils sur place ? Officiellement de la dissuasion face aux forces russes. Le rapport de forces (500 contre…50 000 au bas mot – si les hypothétiques russes prennent le sud de l’Ukraine et un peu plus en Roumanie, mais c’est un scénario fort improbable -, 1 contre 100, voire 50 quand ils seront 10 00, un rapport de force négligeable, immensément petit, ridicule…).

    En fait, selon nos sources, pas grand-chose,  gardes de la base aérienne et petit entraînement ALI [1] car les roumains n’ont pas les installations adéquates, notamment des champs de tir à longue portée. Bon, c’est à côté de la mer, ils peuvent profiter de la saison estivale lors de leur «day off[2] » !

    Mais les militaires sont inquiets car les russes ne sont pas les enfants de cœur d’AQMI. Ils ont juste la supériorité maritime, aérienne,  terrestre avec des matériels récents et servis par des militaires aguerris depuis trois mois. Et les journaux aux ordres se sont glorifiés que Macron s’est fait présenter les magnifiques matériels par le contingent projeté : voyez plutôt : AMX10RCR (roue et canon de 105mm, revalorisé), au moins 40 ans d’âge, à roue, tout-terrain quand c’est sec ! Et pouvant être transpercé par des obus de 30mm malgré le surblindage épart (les russes possèdent au minimum du 30 mm et plus sur leurs engins d’infanterie type BMD 4, BMP 3 ou chars). VBL[3], même âge de conception (j’en avais un en Bosnie en 1995 déjà usé jusqu’à la corde[4] !), qui résiste à peine à du calibre 12,7mm. J’ai vu un VBCI, qui résiste un peu plus…mais avec même une section ou une compagnie, cela fera environ une quinzaine de VBCI à tout casser face à … 50000 russes sur ce possible front.

    La honte totale, nous sommes vraiment le moustique qui s’agite et qui espère que l’ours russe ne sorte pas la tapette à mouche pour nous pulvériser.

    Anatole Castagne

    [1] ALI : armement petit calibre

    [2] Day off en langage otanien signifie quartier libre ou permission sur place.

    [3] VBL : véhicule blindé léger. Est en train d’être revalorisé en matière de châssis, motorisation plus puissante et transmission.

    [4] Au bout de 3 semaines du côté de Sarajevo, mon chef mécano me dit : « mon capitaine, je ne recevrai jamais vos amortisseurs qui sont quasiment cassés sur votre VBL ; Utilisez la P4 Syntex dorénavant. » La P4 Syntex est une P4 Peugeot à laquelle on avait rajouté du sur blindage kevlar souple sur le bas des portières et un peu à l’arrière, les fenêtres étant toujours en plastique ! Véridique ! Autant vous dire qu’emprunter l’avenue principale de Sarajevo, appelée Sniper allée, c’était mini à 90 km/h en priant très fort qu’il nous arrive rien! »

     

    Source : medias-presse.info

  • La Russie menace de « frapper l’Occident » si des roquettes fournies par les États-Unis tombent sur son territoire

    Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2022

    lesmoutonsrebelles

    « L’un des plus proches alliés du président Poutine a averti que Moscou pourrait viser les villes occidentales si l’Ukraine utilisait des systèmes de roquettes fournis par les États-Unis pour mener des frappes sur le territoire russe »rapporte le Times du Royaume-Uni. Cet avertissement a été lancé par un proche allié de Poutine, l’ancien président Dmitri Medvedev, qui occupe actuellement le poste de vice-président du Conseil de sécurité russe.

    « Si, que Dieu nous garde, ces armes sont utilisées contre le territoire russe, alors nos forces armées n’auront d’autre choix que de frapper les centres de décision », a prévenu Medvedev dans ses nouvelles déclarations.

    C’est alors qu’il a suggéré ce qui suit pour la première fois, marquant une sévère escalade au niveau de la rhétorique :

    « Bien sûr, il faut comprendre que les centres de décision finaux dans ce cas, malheureusement, ne sont pas situés sur le territoire de Kiev » – ce qui laisse entendre que les capitales occidentales qui fournissent les armes de pointe pourraient être attaquées en réponse.

    Par le passé, la Russie a menacé de frapper des « centres de décision » en Ukraine, tels que Kiev et Lviv. Ces villes ont été visées à l’occasion, mais rarement, tout au long de la guerre qui en est à son quatrième mois.

    Les États-Unis ont confirmé la semaine dernière que l’Ukraine recevrait des systèmes de roquettes d’artillerie à haute mobilité M142, de moyenne portée, capables de frapper des cibles situées à environ 80 km.

    Le président Biden a souligné mardi que « nous n’allons pas envoyer à l’Ukraine des systèmes de roquettes qui frappent en Russie » – ce que le Kremlin a reconnu comme une décision « rationnelle », tout en condamnant le transfert des systèmes.

     

    Lire la suite : https://www.aubedigitale.com/la-russie-menace-de-frapper-loccident-si-des-roquettes-fournies-par-les-etats-unis-tombent-sur-son-territoire/

  • La Russie fait un pas vers l’interdiction des mères porteuses

    Publié par Guy Jovelin le 01 juin 2022

    La Russie fait un pas vers l’interdiction des mères porteuses

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    En première lecture, la Douma d’État russe a adopté un projet de loi qui interdit aux étrangers et aux apatrides de recourir aux services de mères porteuses en Russie.

    Le projet de loi a été soumis à la Douma d’État en décembre par un groupe de députés, dirigé par le vice-président Peter Tolstoy et la sénatrice Margarita Pavlova. Selon le vice-président Tolstoï, l’adoption de cette loi devrait mettre fin à la vente d’enfants russes à l’étranger et permettre de contrôler le sort des mineurs déplacés, ce qui fait aujourd’hui cruellement défaut, même dans le contexte des scandales liés à la mort d’enfants et à leur vente dans le but de prélever leurs organes.

    Une fois la législation modifiée, seuls les couples mariés dont au moins l’un des conjoints est un citoyen russe, ou une femme célibataire ayant la citoyenneté russe et pour qui porter et donner naissance est impossible en raison d’indications médicales, pourront utiliser les services de mères porteuses en Russie. Seul un citoyen russe peut devenir une mère porteuse.

    D’après les propos du député Nina Ostanina, on peut s’attendre à ce qu’il s’agisse de la première étape vers une interdiction totale de la maternité de substitution en Russie.

    source

  • Moscou dénonce une « guerre totale » de l’Occident contre la Russie

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2022

    « On peut dire avec certitude que cette situation est avec nous pour longtemps », a-t-il estimé, alors que les puissances occidentales ont multiplié les sanctions contre Moscou pour avoir lancé une vaste offensive militaire contre l’Ukraine. « Les Etats-Unis et leurs satellites doublent, triplent, quadruplent leurs efforts pour endiguer la Russie, en utilisant un instrumentaire très large: en commençant par les sanctions économiques unilatérales jusqu’à une propagande profondément mensongère dans l’espace médiatique mondial », a martelé le ministre, dénonçant une « russophobie sans précédent ».

    Lavrov s’en est aussi pris à la « cancel culture » en anglais), assurant que les Occidentaux interdisaient les classiques: Tchaïkovski et Dostoïevski, Tolstoï, Pouchkine.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • La Russie demande la levée des sanctions pour éviter une crise alimentaire mondiale

    Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2022

    Un haut diplomate russe a exigé mercredi la levée des sanctions visant Moscou comme condition pour éviter une crise alimentaire mondiale du fait du blocage des exportations de céréales ukrainiennes depuis le début de l’offensive du Kremlin.

    « La résolution du problème alimentaire passe par une approche coordonnée, impliquant notamment la levée des sanctions qui ont été instaurées contre les exportations russes et les transactions financières », a déclaré un ministre adjoint des Affaires étrangères, Andreï Roudenko, cité par les agences de presse russes. Il a également exigé « le déminage par Kiev » des ports de la mer Noire pour que les navires puissent exporter les céréales. À cet effet, le diplomate a affirmé que la Russie était « prête à assurer un couloir humanitaire » aux bateaux.

    Quatrième exportateur mondial de maïs

    Réputée pour ses terres noires très fertiles, l’Ukraine était avant l’offensive le quatrième exportateur mondial de maïs et en passe de devenir le troisième exportateur de blé. Mais le conflit a bouleversé la production agricole ukrainienne et la Russie est accusée par Kiev et les Occidentaux d’empêcher les exportations de céréales via la mer Noire, suscitant le risque d’une grave crise alimentaire mondiale.

    Mardi soir, l’armée russe a, elle, accusé l’Occident de chercher « à sortir le plus vite possible les céréales d’Ukraine (…) sans craindre ce qui se passera dans le pays une fois les réserves de céréales épuisées ».

    Source