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russie - Page 4

  • L'histoire des étoiles de David taguées sur des immeubles parisiens

    Publié par Guy de Laferrière le 03 novembre 2023

    Thomas Joly

     
    L'histoire des étoiles de David taguées sur des immeubles parisiens, c'était bien évidemment la faute de la Russie.
    Personne n'osait le dire, mais c'était l'évidence-même.
    Donc, un type en Russie s'est dit : "et si je contactais 2 clandestins moldaves pour leur demander de peindre des étoiles de David à Paris. Je leur enverrai des pochoirs et des bombes de peinture bleue en Colissimo." C'est tellement crédible!
    On a donc 2 clandestins expulsés tout de suite, un commanditaire en Russie qu'on ne peut identifier, ni extrader, et un dossier clos. Tout cela résulte d'un malencontreux hasard et de mauvaises coïncidences.
  • « Satan 2 » : la Russie annonce la mise en service du missile balistique intercontinental « Sarmat »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 septembre 2023

     

    Le puissant missile, dont le nom de code OTAN est SS-X-30 Satan 2, peut transporter jusqu’à 15 ogives contrôlables individuellement, selon des sources russes. Les milieux militaires américains, quant à eux, penchent plutôt pour un maximum de dix ogives. Ce missile de 208 tonnes a une portée d’environ 18 000 kilomètres.

    Les forces russes avaient déjà testé le RS-28 en avril 2022. Le missile a ensuite été lancé à Plesetsk, dans le nord-est de la Russie, et les explosifs à blanc ont ensuite réussi à atteindre leurs cibles sur la péninsule du Kamtchatka, dans l’est du pays.

     

    Source : lalibre.be

  • La Russie se retire de l’accord sur les céréales, les Occidentaux ne tenant pas leurs promesses à son égard

    Publié par Guy de Laferrière le 18 juillet 2023

    La Russie se retire de l'accord sur les céréales
    La Russie se retire de l’accord sur les céréales

    L’Occident et l’Ukraine ont désespérément besoin que l’accord sur le blé soit prolongé. Ce ne sont pas les Africains affamés qui ont besoin de blé ukrainien, comme le répètent faussement nos médias ; ce sont des Européens. Mais la Russie s’est retirée aujourd’hui de l’accord et reprendra les pourparlers sur l’accord sur le blé « lorsque toutes les conditions seront remplies », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

    La Russie « reviendra immédiatement à la mise en œuvre de l’accord dès que la partie russe des accords sera satisfaite » a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov

    L’accord qui permettait jusqu’alors à l’Ukraine d’exporter des céréales depuis ses ports de la mer Noire a cessé d’avoir effet. La Russie reviendra en parler « lorsque toutes les conditions seront réunies » a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, arguant que la partie de l’accord concernant Moscou n’aurait pas été respectée. D’où le recul de la Fédération de Russie qui, a expliqué Peskov lui-même, « reviendra immédiatement à la mise en œuvre de l’accord dès que la partie russe des accords sera satisfaite ».

    « L’accord de la mer Noire a cessé de fonctionner aujourd’hui », a déclaré Peskov, après que la Russie a affirmé à plusieurs reprises ces dernières semaines que « les obstacles » à ses exportations de céréales et d’engrais n’avaient pas été levés.

    L’Initiative sur le blé de la mer Noire, ou Accord sur le blé, a été paraphé à Istanbul le 22 juillet 2022. Les Nations Unies, la Russie, la Turquie et l’Ukraine ont signé deux documents pour ouvrir un corridor céréalier à partir de trois ports ukrainiens (Tchernomorsk, Odessa et Yuzhny) et lever les restrictions sur les exportations russes de produits alimentaires et d’engrais.

    L’accord autorisait effectivement les expéditions internationales de maïs, de blé, d’orge et d’autres produits alimentaires en provenance de Kiev. Cet accord sur le grain comportait deux volets. L’un était l’accès des navires aux ports ukrainiens.

    L’autre était l’exportation normale de céréales et d’engrais de Russie. Alors que la Russie a facilité la première partie de l’accord, ‘l’Occident’ a collectivement bloqué la seconde partie.

    Face au scénario du retrait de la Russie, le secrétaire général des Nations unies a été à Moscou proposer un compromis : le raccordement de la Banque agricole russe à SWIFT

    Face au scénario du retrait de la Russie, qui serait un coup dur pour l’Occident qui a besoin de céréales ukrainiennes pour nourrir sa population, tandis que l’Ukraine a besoin de céréales pour insuffler un peu d’air dans son économie étouffée, une proposition de compromis a été faite non par Joe Biden, ni Ursula von der Leyen, ni Charles Michel ou ni Josep Borrell mais par le secrétaire général des Nations unies afin de donner à la proposition le moins de connotations politiques que possible et pour sauver la face. « Antonio Guterres, a proposé au président russe de prolonger un accord permettant l’exportation en toute sécurité de céréales d’Ukraine vers la mer Noire en échange de la connexion d’une succursale de la Banque agricole russe au système de paiement international SWIFT », ont déclaré des sources à Reuters.

    Comme on le sait, la connexion de la Russie à SWIFT a été interrompue par l’Union européenne en juin 2022 en raison de l’invasion russe de l’Ukraine. Un porte-parole de l’UE avait d’ailleurs déclaré en mai que l’UE n’envisageait pas de rétablir les banques russes. Aujourd’hui, cependant, « l’UE envisage de lier une filiale de Rosselkhozbank à SWIFT pour permettre spécifiquement les transactions de céréales et d’engrais ».

    Une grosse couleuvre que l’Occident doit avaler : l’UE était convaincue, en l’excluant de SWIFT, qu’elle avait porté un coup mortel à l’économie russe et décisif pour isoler la Russie, en en proie au monde entier. Et c’est elle qui risque gros si la Russie sort de l’accord des céréales car il s’avère que ce ne sont pas les Africains affamés qui ont besoin de blé ukrainien, comme le répètent faussement nos médias, ce sont les Européens.

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré la semaine dernière que Moscou ne serait pas satisfaite de la proposition de Guterres

    Une enquête récente du média autrichien eXXpress révèle que près de la moitié des exportations ukrainiennes de blé et de maïs vers l’UE ont fini par nourrir des porcs en Espagne pour produire son jambon de renommée mondiale. Selon eXXpress, seuls 15 % des exportations se sont retrouvées dans des pays menacés de famine, dont 167 000 tonnes en Éthiopie et 65 000 tonnes au Soudan. L’Espagne, en revanche, a reçu 2,9 millions de tonnes de blé et de maïs d’Ukraine.

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré la semaine dernière que Moscou n’était pas satisfaite de la proposition de Guterres car il faudrait « de nombreux mois » pour ouvrir une succursale et encore trois mois pour la connecter à SWIFT ». Et aujourd’hui Moscou a donc fait savoir que tant que toutes les conditions de l’accord ne seront pas réunies, la Russie se retirait.

    La Russie ne va pas pour autant affamer l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient

    Si les médias mensongers titrent que la Russie va affamer l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient souvenez-vous que la réalité est toute autre.

    Non seulement la Russie, qui intelligemment ménage ses alliés et ses soutiens, continuera à livrer gratuitement beaucoup plus de céréales aux pays des continents africains et asiatiques et du Moyen-Orient, mais l’information selon laquelle la majeure partie des céréales ukrainiennes est allée, depuis le début du conflit, aux pays de l’Union Européenne est du domaine public, l’Asie et l’Afrique n’ayant reçu que 3 à 4 % de cette “part du gâteau”.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La Russie disposera bientôt d’une base militaire en Centrafrique

    Publié par Guy de Laferrière le 01 juin 2023

    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain
    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain

    L’ambassadeur centrafricain à Moscou a fait savoir que son pays était prêt à accueillir une base militaire russe. Celle-ci pourrait rassembler jusqu’à 10.000 soldats russes. Le président Touadéra fera un déplacement à Saint-Pétersbourg pour le sommet Russie-Afrique.

    C’est un véritable camouflet pour Emmanuel Macron qui confirme l’échec de sa politique africaine marquée par une arrogance déplacée. La coopération entre la Centrafrique et la Russie fait l’objet d’un entretien accordé par l’ambassadeur centrafricain à Moscou au quotidien russe Izvestia, dans lequel il évoque une augmentation considérable de l’aide militaire russe à son pays. L’ambassadeur Léon Dodonu-Punagaza a clairement évoqué la construction d’une « base militaire » russe sur le territoire centrafricain.

    Selon le diplomate, cette base militaire pourrait accueillir, à terme, « 5 à 10 000 soldats russes ». « Si nécessaire, ces troupes pourraient être utilisées dans d’autres pays » d’Afrique centrale, a-t-il ajouté. Le Soudan, voisin de la Centrafrique, vit depuis un mois et demi au rythme du conflit opposant les troupes d’Abdel Fattah al-Burhane et Mohamed Hamdan Dagalo, tandis que la situation dans l’est de la RDC a aussi alerté Moscou.

    Le prochain sommet Russie-Afrique promet d’être un grand moment à suivre, avec une redistribution des cartes géopolitiques.

    Nsango ya Bisu ia medias-presse.info

  • Attaque de drones sur le Kremlin : la Russie accuse les États-Unis d’être les commanditaires

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mai 2023

    La présidence russe accuse ce jeudi les États-Unis d’avoir commandité l’attaque présumée de drones ukrainiens contre le Kremlin, que Moscou affirme avoir déjouée la veille, et dans laquelle Kiev nie toute implication.

    « Les efforts de Kiev et de Washington pour nier toute responsabilité (dans l’attaque présumée) sont totalement ridicules », dénonce devant la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

    « Les décisions concernant de telles attaques ne sont pas prises à Kiev, mais à Washington. Kiev ne fait qu’appliquer ce qu’on lui demande. Washington doit comprendre que nous le savons », affirme-t-il.

    […]

    Au lendemain de cette attaque présumée, deux drones ont frappé ce jeudi des raffineries de pétrole dans le sud-ouest de la Russie, près de l’Ukraine, selon des médias et autorités locales.

    Un premier feu, désormais éteint, s’est déclaré dans le réservoir d’une installation pétrolière située dans la région de Krasnodar. Environ une heure plus tard, Vassili Goloubiev, le gouverneur de la région de Rostov, frontalière de l’Ukraine, a annoncé qu’un drone s’était abattu sur une raffinerie locale, causant une explosion et un incendie rapidement éteint.

    […]

    Lire l’intégralité de l’article sur bfmtv.com