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russie - Page 2

  • Vladimir Poutine est réélu triomphalement

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2024

    Thomas Joly

    Vladimir Poutine est réélu triomphalement avec un score - que certains mauvais esprits qualifieront de stalinien - de 87 %. Éradiquée ou pas par le pouvoir en place, l'opposition est inexistante en Russie. Ceux qui veulent déstabiliser le pays devront trouver autre chose.
     
    Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’POCO poccиR 2 1 3’
     
     
     
     
     
     
     
     
  • La Russie de porte bien…merci !

    Publié par Guy de Laferrière le 19 février 2024

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    Pierre Bérard

    Le narratif européen va de Charybde et Scilla et semble se précipiter vers l’abîme. Durand ce temps nos populations hébétés sont indifférentes au danger ou suivent les injonctions de la doxa.

    Tous nos dirigeants et leurs experts de plateau qui annonçaient jusqu’en novembre 2023 la défaite de la Russie et nous demandaient d’aider l’Ukraine jusqu’à sa victoire comme Macron semblent avoir enfin compris que les forces armées ukrainiennes étaient épuisées et forcées de modifier leur comportement et opter pour une stratégie défensive. Aujourd’hui ils veulent nous faire croire que la Russie menace l’Union européenne. C’est tout simplement une désinformation grossière et délirante de plus. À cela plusieurs raisons rapidement esquissées ici :

    Géopolitiques. La Fédération de Russie est un territoire grand comme 35 fois la France avec une population d'à peine plus de 2 fois celle de notre pays et avec une natalité déclinante. Les Russes ont sur ce territoire tout ce dont ils ont besoin. Leur agriculture produit plus qu’ils ne consomment et ils exportent en grande quantité des céréales et des engrais. Leur territoire regorge de pétrole (qu'ils payent 40 centimes d'euros le litre), de gaz, d’uranium et de toutes les matières premières nécessaires à une industrie performante. Quels serait leur intérêt de vouloir conquérir d’autres territoires qui leur sont totalement hostiles ? les Russes connaissent le prix de l'occupation de territoires hostiles et les pertes qu’ils ont subies en Afghanistan sont encore très présentes dans la mémoire collective.

    Militaires. Ils n’en ont tout simplement pas les moyens. Ils ont mis deux ans pour conquérir et conserver 17% du territoire de l’Ukraine pays de 35 millions d’habitants alors que les populations des 4 oblats annexés étaient majoritairement des Russes brimés et bombardés par Kiev depuis 2014. Et il se lanceraient à la conquête de 500 millions d’habitants qui leurs sont hostiles ?

    Politiques. Contrairement à ce que l’on essaie de nous faire croire la Russie est un régime autoritaire mais pas une dictature. Il y a une opinion publique et les réseaux sociaux fonctionnent comme chez nous (c’est à dire avec une censure comparable). D’ailleurs un institut américain a évalué les pertes russes en y recensant les messages de deuil et de condoléances. Et les Russes n’accepteraient pas une mobilisation générale pour se lancer dans une guerre de conquête. Pour les Russes, l’opération spéciale est la défense d’une terre et d’une population non seulement russophone mais ethniquement russe, et ils savaient ces populations sérieusement menacées, ce qui change tout.

    L’Union européenne dirigée par des Young leader s’est imprudemment engagée, à la remorque des États Unis, dans un soutien financier et militaire inconditionnel vis à vis de l’Ukraine et surtout dans une large politique de sanctions contre la Russie. Au total les sanctions se retournent contre nous : l’Allemagne privée du gaz russe très bon marché (avec l’aide active de ceux que nous prenons pour des alliés indéfectibles) est entrée en une récession appelée à durer. Dans le même temps le FMI reconnait qu’en Russie le PIB s’est accru de 3,8 en 2023 ! La Russie que l’on devait ruiner selon notre génial ministre Bruno Lemaire s’en tire plutôt bien. tandis que dans la plupart des autre pays de l’UE les problèmes s’accumulent générant un fort vote « populiste ». Sur le plan militaire les Européens ont joué le mauvais cheval comme tend à le montrer la prise d’Avdviivka par les troupes russes. Mais l’UE s’entête et promet à l’Ukraine 50 milliards de dollars sur quatre ans au mépris, par exemple, du financement de ses systèmes de santé défaillants, de ses agriculteurs poussés à la faillite de sa ré-industrialisation ou de sa propre défense qui est partout à l'os. Les 50 milliards disparaitront dans le triangle des Bermudes qu’est l’Ukraine, un des pays les plus corrompus du monde…

     

    Source : synthesenationale

  • L'histoire des étoiles de David taguées sur des immeubles parisiens

    Publié par Guy de Laferrière le 03 novembre 2023

    Thomas Joly

     
    L'histoire des étoiles de David taguées sur des immeubles parisiens, c'était bien évidemment la faute de la Russie.
    Personne n'osait le dire, mais c'était l'évidence-même.
    Donc, un type en Russie s'est dit : "et si je contactais 2 clandestins moldaves pour leur demander de peindre des étoiles de David à Paris. Je leur enverrai des pochoirs et des bombes de peinture bleue en Colissimo." C'est tellement crédible!
    On a donc 2 clandestins expulsés tout de suite, un commanditaire en Russie qu'on ne peut identifier, ni extrader, et un dossier clos. Tout cela résulte d'un malencontreux hasard et de mauvaises coïncidences.
  • « Satan 2 » : la Russie annonce la mise en service du missile balistique intercontinental « Sarmat »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 septembre 2023

     

    Le puissant missile, dont le nom de code OTAN est SS-X-30 Satan 2, peut transporter jusqu’à 15 ogives contrôlables individuellement, selon des sources russes. Les milieux militaires américains, quant à eux, penchent plutôt pour un maximum de dix ogives. Ce missile de 208 tonnes a une portée d’environ 18 000 kilomètres.

    Les forces russes avaient déjà testé le RS-28 en avril 2022. Le missile a ensuite été lancé à Plesetsk, dans le nord-est de la Russie, et les explosifs à blanc ont ensuite réussi à atteindre leurs cibles sur la péninsule du Kamtchatka, dans l’est du pays.

     

    Source : lalibre.be

  • La Russie se retire de l’accord sur les céréales, les Occidentaux ne tenant pas leurs promesses à son égard

    Publié par Guy de Laferrière le 18 juillet 2023

    La Russie se retire de l'accord sur les céréales
    La Russie se retire de l’accord sur les céréales

    L’Occident et l’Ukraine ont désespérément besoin que l’accord sur le blé soit prolongé. Ce ne sont pas les Africains affamés qui ont besoin de blé ukrainien, comme le répètent faussement nos médias ; ce sont des Européens. Mais la Russie s’est retirée aujourd’hui de l’accord et reprendra les pourparlers sur l’accord sur le blé « lorsque toutes les conditions seront remplies », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

    La Russie « reviendra immédiatement à la mise en œuvre de l’accord dès que la partie russe des accords sera satisfaite » a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov

    L’accord qui permettait jusqu’alors à l’Ukraine d’exporter des céréales depuis ses ports de la mer Noire a cessé d’avoir effet. La Russie reviendra en parler « lorsque toutes les conditions seront réunies » a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, arguant que la partie de l’accord concernant Moscou n’aurait pas été respectée. D’où le recul de la Fédération de Russie qui, a expliqué Peskov lui-même, « reviendra immédiatement à la mise en œuvre de l’accord dès que la partie russe des accords sera satisfaite ».

    « L’accord de la mer Noire a cessé de fonctionner aujourd’hui », a déclaré Peskov, après que la Russie a affirmé à plusieurs reprises ces dernières semaines que « les obstacles » à ses exportations de céréales et d’engrais n’avaient pas été levés.

    L’Initiative sur le blé de la mer Noire, ou Accord sur le blé, a été paraphé à Istanbul le 22 juillet 2022. Les Nations Unies, la Russie, la Turquie et l’Ukraine ont signé deux documents pour ouvrir un corridor céréalier à partir de trois ports ukrainiens (Tchernomorsk, Odessa et Yuzhny) et lever les restrictions sur les exportations russes de produits alimentaires et d’engrais.

    L’accord autorisait effectivement les expéditions internationales de maïs, de blé, d’orge et d’autres produits alimentaires en provenance de Kiev. Cet accord sur le grain comportait deux volets. L’un était l’accès des navires aux ports ukrainiens.

    L’autre était l’exportation normale de céréales et d’engrais de Russie. Alors que la Russie a facilité la première partie de l’accord, ‘l’Occident’ a collectivement bloqué la seconde partie.

    Face au scénario du retrait de la Russie, le secrétaire général des Nations unies a été à Moscou proposer un compromis : le raccordement de la Banque agricole russe à SWIFT

    Face au scénario du retrait de la Russie, qui serait un coup dur pour l’Occident qui a besoin de céréales ukrainiennes pour nourrir sa population, tandis que l’Ukraine a besoin de céréales pour insuffler un peu d’air dans son économie étouffée, une proposition de compromis a été faite non par Joe Biden, ni Ursula von der Leyen, ni Charles Michel ou ni Josep Borrell mais par le secrétaire général des Nations unies afin de donner à la proposition le moins de connotations politiques que possible et pour sauver la face. « Antonio Guterres, a proposé au président russe de prolonger un accord permettant l’exportation en toute sécurité de céréales d’Ukraine vers la mer Noire en échange de la connexion d’une succursale de la Banque agricole russe au système de paiement international SWIFT », ont déclaré des sources à Reuters.

    Comme on le sait, la connexion de la Russie à SWIFT a été interrompue par l’Union européenne en juin 2022 en raison de l’invasion russe de l’Ukraine. Un porte-parole de l’UE avait d’ailleurs déclaré en mai que l’UE n’envisageait pas de rétablir les banques russes. Aujourd’hui, cependant, « l’UE envisage de lier une filiale de Rosselkhozbank à SWIFT pour permettre spécifiquement les transactions de céréales et d’engrais ».

    Une grosse couleuvre que l’Occident doit avaler : l’UE était convaincue, en l’excluant de SWIFT, qu’elle avait porté un coup mortel à l’économie russe et décisif pour isoler la Russie, en en proie au monde entier. Et c’est elle qui risque gros si la Russie sort de l’accord des céréales car il s’avère que ce ne sont pas les Africains affamés qui ont besoin de blé ukrainien, comme le répètent faussement nos médias, ce sont les Européens.

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré la semaine dernière que Moscou ne serait pas satisfaite de la proposition de Guterres

    Une enquête récente du média autrichien eXXpress révèle que près de la moitié des exportations ukrainiennes de blé et de maïs vers l’UE ont fini par nourrir des porcs en Espagne pour produire son jambon de renommée mondiale. Selon eXXpress, seuls 15 % des exportations se sont retrouvées dans des pays menacés de famine, dont 167 000 tonnes en Éthiopie et 65 000 tonnes au Soudan. L’Espagne, en revanche, a reçu 2,9 millions de tonnes de blé et de maïs d’Ukraine.

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré la semaine dernière que Moscou n’était pas satisfaite de la proposition de Guterres car il faudrait « de nombreux mois » pour ouvrir une succursale et encore trois mois pour la connecter à SWIFT ». Et aujourd’hui Moscou a donc fait savoir que tant que toutes les conditions de l’accord ne seront pas réunies, la Russie se retirait.

    La Russie ne va pas pour autant affamer l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient

    Si les médias mensongers titrent que la Russie va affamer l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient souvenez-vous que la réalité est toute autre.

    Non seulement la Russie, qui intelligemment ménage ses alliés et ses soutiens, continuera à livrer gratuitement beaucoup plus de céréales aux pays des continents africains et asiatiques et du Moyen-Orient, mais l’information selon laquelle la majeure partie des céréales ukrainiennes est allée, depuis le début du conflit, aux pays de l’Union Européenne est du domaine public, l’Asie et l’Afrique n’ayant reçu que 3 à 4 % de cette “part du gâteau”.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info