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  • Une fois de plus, les peuples européens découvrent au petit matin que leur avenir se décide sans eux, contre eux et à leurs dépens.

    Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2025

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    En pleine nuit, dans l’opacité la plus totale, des dirigeants hors-sol engagent 90 milliards d’euros pour financer une guerre étrangère, sans jamais avoir demandé l’avis des peuples qu’ils prétendent représenter. Aucun référendum, aucun débat démocratique digne de ce nom : seulement des oukases technocratiques et une fuite en avant idéologique.
    Cet argent, c’est celui des classes moyennes européennes déjà étranglées par l’inflation, la dette et l'assistanat de l'immigration. Et il est destiné à soutenir un régime ukrainien dont la corruption endémique est documentée depuis des années, y compris par les institutions occidentales elles-mêmes. Voilà donc la nouvelle priorité de l’Union européenne : la guerre plutôt que la paix, Kiev plutôt que nos hôpitaux, nos agriculteurs et nos familles.
    Quant au pillage des avoirs russes gelés, heureusement qu’il n’a pas eu lieu. Ce vol pur et simple aurait constitué un casus belli évident avec une puissance nucléaire, mais aussi un précédent juridique désastreux. Qui investirait encore en Europe si la propriété privée peut être confisquée au gré des rapports de force géopolitiques ? Ce serait la fuite massive des capitaux, l’effondrement de notre crédibilité et la ruine économique à long terme.
    Assez de dogmatisme, assez d’aveuglement. Cette guerre a déjà fait trop de morts, trop de destructions, trop de veuves et d’orphelins. Il est temps de sortir de la logique de l’escalade et de travailler enfin à une solution de paix réaliste, qui n’humilie aucun des deux belligérants. L’Europe n’a pas vocation à être le carburant d’une guerre sans fin. Place à la paix, place aux peuples.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Poutine prévient l'UE : si elle veut la guerre, "nous sommes prêts"

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2025

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  • De 2013 à 2022, près de 29 millions d’immigrés, dont une écrasante majorité d’hommes, sont entrés sur le territoire de l'Union Européenne.

    Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2025

    De 2013 à 2022, près de 29 millions d’immigrés, dont une écrasante majorité d’hommes, sont entrés sur le territoire de l'Union Européenne. Comment peut-on croire un instant que l’importation de millions d’hommes au sommet de la production de testostérone sera sans conséquence ?
    Attendu qu’il est scientifiquement établi que l’abstinence et la frustration sexuelles augmentent les risques de comportements agressifs et violents, une grande partie de ces individus esseulés et frustrés peuvent représenter un danger pour les femmes. À l’instar du Centrafricain Jordy Goukara, le violeur de Mathilde et Claire Gironimi, qui a déclaré lors de son procès avoir agi parce qu’il « avait faim », évoquant un « besoin de rapports sexuels ».
    Mais saisis par la peur de ne pas « stigmatiser », les observateurs d’un phénomène qui coule de source, se taisent. Et puis tant pis si les femmes et les filles d’Europe devront en subir les conséquences.
  • Le Parlement européen impose des permis de conduire à durée limitée

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2025

    Le Parlement européen s'opposera-t-il à l'utilisation d'embryons pour les produits pharmaceutiques ?

    Le mardi 21 octobre, les parlementaires européens ont émis un vote qui va radicalement changer la vie des automobilistes dans toute l’Union Européenne.

    Désormais, les décisions de retrait de permis qu’un pays prononce s’appliquent automatiquement partout dans l’UE. Cela concerne également les suspensions et restrictions de permis. Lorsqu’un État impose un retrait, il informe le pays émetteur du permis dans le cadre d’un certificat européen standard. Le pays émetteur devrait alors retirer le permis dans un délai de 15 jours. De la sorte, le contrevenant ne pourra plus conduire nulle part dans l’UE.

    Les infractions graves concernées incluent : l’utilisation du téléphone au volant, la conduite en état d’ivresse, la conduite sous stupéfiants, les excès de vitesse d’au moins 50 km/h et, bien entendu, les infractions ayant causé la mort ou des blessures graves. L’utilisation du téléphone au volant sera aussi visée.

    Permis de conduire pour 15 ans maximum

    D’autre part, la durée de validité du permis se limitera à 15 ans maximum pour les voitures et motos. Cette durée pourra être réduite à 10 ans dans les États où le permis sert de pièce d’identité. Quant au permis pour les véhicules lourds, sa durée reste fixée à 5 ans.

    Des contrôles médicaux comprenant un contrôle de la vue et un examen cardiovasculaire seront obligatoires pour obtenir le permis de conduire. Lors des échéances de renouvellement du permis de conduire, chaque Etat membre de l’UE décidera des critères d’évaluation.

    Les conducteurs de plus de 65 ans seront particulièrement mis sous pression. La durée de validité de leur permis sera plus réduite avec des contrôles imposés fréquents. Quant aux conducteurs novices, leur permis sera soumis à une période probatoire harmonisée de deux ans durant lesquels ils encourent des sanctions renforcées en cas d’infractions graves, comme la consommation d’alcool, de stupéfiants ou le non-port de la ceinture de sécurité.

    Nouveaux critères d’examen et meilleure formation
    L’examen du permis de conduire devra comprendre la maîtrise des risques liés aux angles morts et les dangers de l’ouverture des portières en présence de cyclistes, la conduite sur neige et terrain glissant ainsi que… les enjeux environnementaux.

    Le permis de conduire numérique partout d’ici 2030

    Le permis numérique deviendra progressivement la norme d’ici 2030 et sera accessible sur smartphone via le portefeuille d’identité numérique européen. Il restera cependant possible de demander un permis physique, notamment pour les personnes sans smartphone ou pour se rendre dans des pays tiers.

    Mise en œuvre de ces nouvelles règlementations en France entre 2026 et 2028

    Les nouvelles réglementations entreront en vigueur 20 jours après leur publication au Journal officiel de l’UE, probablement en décembre 2025. Après quoi les États membres disposeront de trois ans pour les transposer dans leurs législations respectives et d’une année supplémentaire pour préparer l’application.

    En ce qui concerne la France, la mise en œuvre de ces nouvelles règlementations se fera donc entre 2026 et 2028, avec une réforme des épreuves du permis, l’intégration du permis numérique dans France Identité, l’adaptation du suivi médical, et l’accès aux bases de données européennes pour les forces de l’ordre.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • La Hongrie ne laissera pas l’UE l’entraîner dans le conflit ukrainien (Premier ministre Orban)

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2025

    La Hongrie ne laissera pas l'UE l'entraîner dans le conflit ukrainien (Premier ministre Orban)

    « Nous ne donnerons pas notre argent, nous ne donnerons pas nos armes et nous n’irons pas à la guerre pour mourir pour l’Ukraine », a déclaré le Premier ministre hongrois.

    La Hongrie ne permettra pas aux dirigeants de l’Union européenne de l’impliquer dans le conflit militaire en Ukraine et n’a toujours pas l’intention de fournir une assistance militaire à ce pays, a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orban lors d’un rassemblement devant le Parlement à la suite de la Marche pour la paix contre la guerre à Budapest.

    « Nous ne donnerons pas notre argent, nous ne donnerons pas nos armes et nous n’irons pas en guerre pour mourir pour l’Ukraine », a déclaré le Premier ministre. « La guerre russo-ukrainienne n’est pas notre guerre », a souligné Orban.

    Il a souligné que les dirigeants de l’UE continuaient de soutenir les opérations militaires en Ukraine et avaient déjà formé une « alliance militaire » baptisée « Coalition des volontaires ». « Ceux qui sont prêts à envoyer d’autres personnes mourir et à fournir encore plus d’armes et d’argent à l’Ukraine », a ajouté le Premier ministre, rappelant que l’UE avait déjà dépensé 180 milliards d’euros en aide militaire à Kiev.

    Selon lui, si Bruxelles n’avait pas entravé les efforts de paix du président américain Donald Trump, le conflit aurait été résolu depuis longtemps. Orban a réaffirmé que la Hongrie soutiendrait ces efforts pour instaurer la paix en Europe.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info