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  • L’Ukraine et Israël rivalisent pour attirer l’attention au sommet de l’UE

    Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2024

    L'Ukraine et Israël rivalisent pour attirer l'attention au sommet de l'UE

    Mercredi, les dirigeants de l’UE se sont réunis à Bruxelles pour un sommet de deux jours visant à discuter de l’Ukraine et du Moyen-Orient. Kiev, qui a toujours désespérément besoin de systèmes de défense aérienne, passe au second plan face à la dernière escalade entre Israël et l’Iran, estiment les experts.

    Les ministres des Affaires étrangères du G7 discuteront également d’un soutien supplémentaire à l’Ukraine lors d’une réunion plus tard dans la journée. Pendant ce temps, des projets de loi distincts sur l’aide à l’Ukraine, à Israël et aux alliés des États-Unis dans la région Asie-Pacifique ont été présentés mercredi à la Chambre des représentants des États-Unis, et le président américain Joe Biden est prêt à approuver chaque programme d’aide séparément.

    Alors que le budget de l’UE jusqu’en 2027 prévoit déjà d’allouer plus de 64 milliards d’euros à l’Ukraine, Bruxelles pourrait revoir la facilité pour l’Ukraine à la fin de cette période, a déclaré Natalia Eryomina, professeur à l’Université d’État de Saint-Pétersbourg, à Izvestia. « Plus l’Ukraine s’effondre rapidement, moins l’UE sera disposée à soutenir Kiev après 2027, lorsque la « facilité financière pluriannuelle » expirera », a-t-elle expliqué.

    Se préparer à de nouvelles vagues migratoires

    Parallèlement, les questions liées au Moyen-Orient sont au premier plan de l’ordre du jour du sommet. Les événements au Moyen-Orient ont perturbé les chaînes d’approvisionnement, et la décision de l’UE d’exclure les exportations russes et biélorusses sur son marché a des répercussions sur les sociétés de logistique transnationales basées dans l’UE, car les dix plus grands prestataires de services en subissent désormais tous les conséquences.

    En outre, toute détérioration de la situation au Moyen-Orient entraînera inévitablement de nouvelles vagues migratoires, estiment les experts. “L’UE est confrontée à un afflux très important de migrants illégaux”, a déclaré Vladimir Olenchenko, chercheur principal à l’Institut de l’économie mondiale et des relations internationales (IMEMO).

     

    Source : medias-presse.info

  • Vote sur l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’UE : absence des LR, abstention du RN

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2024

    Vote sur l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’UE : absence des LR, abstention du RN

    Le vote sur cette résolution avait lieu aujourd’hui au Parlement européen. Le résultat des votes est à la page 357 de ce pdf. Une résolution adoptée à 336 voix pour, 163 contre et 39 abstentions.

    • Reconquête (Nicolas Bay) : contre (comme la quasi totalité du groupe ECR)
    • RN : abstention (alors que presque tout le groupe ID a voté contre)
    • LR : absence volontaire des députés, dont FX Bellamy, qui étaient présents lors des autres votes mais ont quitté l’hémicycle juste avant ce vote. Seule Laurence Saillet est restée et… elle a voté pour !

    Voici le détail des élus qui ont voté contre et ceux qui se sont abstenus :

    La résolution portée par les groupes Socialistes et démocrates (S&D), Renew Europe (centristes et libéraux), les Verts et The Left (gauche radicale) souhaite que l’article 3 de la Charte soit modifié pour stipuler que

    “toute personne a le droit à l’autonomie physique, à un accès libre, informé, complet et universel aux droits sexuels et génésiques et à tous les services de santé connexes sans discrimination, y compris l’accès à un avortement sûr et légal”.

    Pourtant, cette modification n’a aucune chance d’aboutir puisqu’elle nécessiterait l’accord unanime des États membres.

     

    Source : lesalonbeige

  • La Russie de porte bien…merci !

    Publié par Guy de Laferrière le 19 février 2024

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    Pierre Bérard

    Le narratif européen va de Charybde et Scilla et semble se précipiter vers l’abîme. Durand ce temps nos populations hébétés sont indifférentes au danger ou suivent les injonctions de la doxa.

    Tous nos dirigeants et leurs experts de plateau qui annonçaient jusqu’en novembre 2023 la défaite de la Russie et nous demandaient d’aider l’Ukraine jusqu’à sa victoire comme Macron semblent avoir enfin compris que les forces armées ukrainiennes étaient épuisées et forcées de modifier leur comportement et opter pour une stratégie défensive. Aujourd’hui ils veulent nous faire croire que la Russie menace l’Union européenne. C’est tout simplement une désinformation grossière et délirante de plus. À cela plusieurs raisons rapidement esquissées ici :

    Géopolitiques. La Fédération de Russie est un territoire grand comme 35 fois la France avec une population d'à peine plus de 2 fois celle de notre pays et avec une natalité déclinante. Les Russes ont sur ce territoire tout ce dont ils ont besoin. Leur agriculture produit plus qu’ils ne consomment et ils exportent en grande quantité des céréales et des engrais. Leur territoire regorge de pétrole (qu'ils payent 40 centimes d'euros le litre), de gaz, d’uranium et de toutes les matières premières nécessaires à une industrie performante. Quels serait leur intérêt de vouloir conquérir d’autres territoires qui leur sont totalement hostiles ? les Russes connaissent le prix de l'occupation de territoires hostiles et les pertes qu’ils ont subies en Afghanistan sont encore très présentes dans la mémoire collective.

    Militaires. Ils n’en ont tout simplement pas les moyens. Ils ont mis deux ans pour conquérir et conserver 17% du territoire de l’Ukraine pays de 35 millions d’habitants alors que les populations des 4 oblats annexés étaient majoritairement des Russes brimés et bombardés par Kiev depuis 2014. Et il se lanceraient à la conquête de 500 millions d’habitants qui leurs sont hostiles ?

    Politiques. Contrairement à ce que l’on essaie de nous faire croire la Russie est un régime autoritaire mais pas une dictature. Il y a une opinion publique et les réseaux sociaux fonctionnent comme chez nous (c’est à dire avec une censure comparable). D’ailleurs un institut américain a évalué les pertes russes en y recensant les messages de deuil et de condoléances. Et les Russes n’accepteraient pas une mobilisation générale pour se lancer dans une guerre de conquête. Pour les Russes, l’opération spéciale est la défense d’une terre et d’une population non seulement russophone mais ethniquement russe, et ils savaient ces populations sérieusement menacées, ce qui change tout.

    L’Union européenne dirigée par des Young leader s’est imprudemment engagée, à la remorque des États Unis, dans un soutien financier et militaire inconditionnel vis à vis de l’Ukraine et surtout dans une large politique de sanctions contre la Russie. Au total les sanctions se retournent contre nous : l’Allemagne privée du gaz russe très bon marché (avec l’aide active de ceux que nous prenons pour des alliés indéfectibles) est entrée en une récession appelée à durer. Dans le même temps le FMI reconnait qu’en Russie le PIB s’est accru de 3,8 en 2023 ! La Russie que l’on devait ruiner selon notre génial ministre Bruno Lemaire s’en tire plutôt bien. tandis que dans la plupart des autre pays de l’UE les problèmes s’accumulent générant un fort vote « populiste ». Sur le plan militaire les Européens ont joué le mauvais cheval comme tend à le montrer la prise d’Avdviivka par les troupes russes. Mais l’UE s’entête et promet à l’Ukraine 50 milliards de dollars sur quatre ans au mépris, par exemple, du financement de ses systèmes de santé défaillants, de ses agriculteurs poussés à la faillite de sa ré-industrialisation ou de sa propre défense qui est partout à l'os. Les 50 milliards disparaitront dans le triangle des Bermudes qu’est l’Ukraine, un des pays les plus corrompus du monde…

     

    Source : synthesenationale

  • L’Intelligence Artificielle pour nous surveiller : une commissaire de l’UE s’en réjouit

    Publié par Guy de Laferrière le 26 janvier 2024

    A Davos, la commissaire de l'Union européenne Stella Kyriakides prend exemple du passeport vaccinal pour justifier le recours à l'Intelligence Artificielle

    A Davos, la semaine dernière, Stella Kyriakides, la commissaire de l’Union européenne chargée de la santé et de la sécurité alimentaire, a salué le « certificat numérique COVID » comme un exemple de ce à quoi l’intelligence artificielle (IA) et la technologie peuvent être utilisées.

    Stella Kyriakides a tenu ces propos le mercredi 17 janvier au Forum économique mondial de Davos, lors de la table ronde intitulée « Réparer les soins de santé par le numérique ».

    Les intervenants ont commencé par se concentrer principalement sur la manière dont l’IA pourrait être utilisée pour aider à détecter des maladies ou à lire des radiographies, avant de s’orienter vers l’utilisation d’un partage et d’une conservation plus larges des données de santé.

    Stelle Kyriakides a pris la parole après la déclaration du président de la Mayo Clinic, Gianrico Farrugia, qui considérait que « à l’échelle mondiale, nous allons avoir besoin que les gouvernements intensifient leurs efforts » pour résoudre les problèmes d’infrastructure numérique.

    « Je suis très heureuse que vous ayez soulevé ce point, car je pense que c’est vraiment l’un des défis énormes, et presque un défi éthique auquel nous sommes tous confrontés », a déclaré la commissaire européenne Stella Kyriakides.

    Le commissaire Kyriakides a déclaré que l’UE « travaille très étroitement avec les États membres » pour « renforcer leurs systèmes de santé ». Elle a déclaré que la « numérisation » est également la « pierre angulaire de notre stratégie mondiale en matière de santé ».

    Tout en affirmant qu’il y a « beaucoup » à faire, Kyriakides a révélé qu’elle était optimiste en raison du travail passé de l’UE sur les certificats numériques COVID.

    « Je veux juste prendre un moment pour citer un exemple de ce qui s’est passé pendant la pandémie… Ce n’était pas là avant », mais le « certificat COVID numérique » est rapidement devenu un « mode de vie » après seulement quelques mois, a-t-elle souligné avec fierté.

    Le certificat européen vérifiait le statut de  « vaccination » contre le COVID, ou si le titulaire avait été testé négatif en tant que voyageur international non vacciné. Il a été utilisé pour exclure de divers lieux publics ceux qui refusaient les injections et ainsi inciter les citoyens de 27 pays à se faire vacciner.

    « Cela a ouvert les économies et les sociétés, car nous avons utilisé les soins de santé numériques pour permettre que cela se produise », a-t-elle poursuivi.

    Elle a ensuite mentionné comment l’OMS avait « pris en charge » la nouvelle technologie et qu’« il y avait plus de 80 pays à bord ».

    « Nous devons sortir des sentiers battus. Nous devons avancer. Nous devons être conscients des dangers, mais ne perdons pas de vue le potentiel », a-t-elle déclaré.

    Toujours plus d’outils pour nous contrôler

    Stelle Kyriakides a également appelé à un logiciel de données de santé internationales plus étendu.

    Plus tôt dans la session, Kyriakides avait déclaré que « nous pouvons disposer de tout le potentiel que l’IA nous offre et avoir tous les garde-fous en place » pour protéger les données des patients, mentionnant la réglementation de l’IA dans l’UE.

    Elle a déclaré que « la pandémie a révolutionné la façon dont nous voyons les soins numériques, les soins de santé et l’IA de tant de manières différentes ».

    Dans ce contexte, elle a évoqué une « proposition » visant à « construire l’espace européen des données de santé ».

    L’« Union européenne de la santé » inclurait ce « projet » utilisant les « données personnelles » pour « rejoindre les systèmes de données de santé des États membres » afin que les citoyens puissent avoir leur « dossier de santé à disposition » avec eux lorsqu’ils voyagent.

    Mais il y aurait une « deuxième partie » qui permettrait aux responsables d’« extraire » des données à des fins de « recherche ».

    « Nous devons réellement exploiter tout ce potentiel afin de bénéficier aux citoyens », a-t-elle déclaré, prenant ceux-ci pour des naïfs.

    Aie confiance, crois-en Davos

    Au cours de la table ronde, elle a déclaré que les citoyens doivent faire confiance au système.

    Elle a déclaré que l’utilisation « anonyme » des données à des fins de recherche est un sujet différent.

    Stella Kyriakides a déjà travaillé avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour, selon les termes de cet organisme, « établir un système mondial qui contribuera à faciliter la mobilité mondiale et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces sanitaires actuelles et futures, y compris les pandémies ».

    Alignement entre l’UE et l’OMS

    « En utilisant les meilleures pratiques européennes, nous contribuons aux normes de santé numérique et à l’interopérabilité à l’échelle mondiale – au bénéfice de ceux qui en ont le plus besoin », avait déjà déclaré Stella Kyriakides l’été dernier.

    « Il s’agit également d’un exemple frappant de la manière dont l’alignement entre l’UE et l’OMS peut améliorer la santé pour tous, dans l’UE et dans le monde. En tant qu’autorité directrice et coordinatrice du travail international en matière de santé, il n’y a pas de meilleur partenaire que l’OMS pour faire avancer le travail que nous avons commencé au sein de l’UE et développer davantage de solutions mondiales de santé numérique.»

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Sondage : 73% des Français estiment que les étrangers hors UE ne doivent pas avoir les mêmes droits sociaux que les citoyens français

    Publié par Guy de Laferrière le 16 décembre 2023

    Un sondage exclusif de l’institut CSA pour CNEWS, rendu public ce samedi 16 décembre, indique que 73% des Français estiment que les étrangers non européens ne doivent pas avoir les mêmes droits sociaux que les citoyens français. C’est du côté de l’âge et des opinions politiques que l’écart se creuse réellement Inversement, 27% des personnes interrogées pensent qu’étrangers non-européens et nationaux français doivent bénéficier des mêmes droits sociaux. Si les personnes proches de la droite sont unanimes,celles proches de gauche sont divisées.

     

    Selon ce sondage, ce sont l’âge et les opinions politiques qui creusent réellement l’écart. Seuls 37% des moins de 35 ans estiment que les personnes étrangères doivent avoir les mêmes droits sociaux que les Français. Ce chiffre se réduit presque de moitié pour les 50 ans et plus, qui ne sont que 23% à partager cette opinion.

    Dans le détail, ce sont les 18-24 ans et les 25-34 ans (37%) qui sont les plus favorables à l’idée que les étrangers non-européens aient les mêmes droits sociaux que les Français. Parmi les 35-49 ans, ils ne sont plus que 24%.

    Lorsque l’on arrive à l’analyse politique, l’écart est plus creusé que jamais. Au total, 88% des sondés de droite sont contre l’égalité des droits sociaux entre étrangers non européens et Français, contre 45% des répondants de gauche.

    cnews via fdesouche

    * Sondage réalisé par questionnaire auto-administré en ligne, du 11 au 12 décembre, auprès d’un échantillon représentatif de 1.012 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.