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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 149

  • Israël largue des bombes à uranium appauvri sur le Liban

    Publié par Guy de Laferrière le 09 octobre 2024

    Israël largue des bombes à uranium appauvri sur le Liban

    Officiellement, des « bombes anti-bunker »

    Les forces aériennes israéliennes larguent par dizaines des « bombes anti-bunker » sur le Liban. Ces bombes sont conçues pour exploser après avoir pénétré profondément dans le sol.

    Les explosions décalées, qui font trembler les murs à des kilomètres à la ronde, produisent également d’importantes colonnes de fumée, signe de la puissance des explosifs utilisés.

    Il existe plusieurs types de «bunker busters», comme on appelle ces armes dans le jargon militaire, mais l’armée israélienne n’a pas officiellement dévoilé le type de munitions utilisées. Cependant, plusieurs indices laissent penser que les bombes utilisées par l’aviation israélienne contiennent une petite charge radioactive : de l’uranium appauvri.

    Alors que de sérieuses inquiétudes apparaissent ces derniers jours sur une possible radioactivité issue de ces bombardements israéliens, le professeur Raif Reda, président de l’Association libanaise de médecine sociale, a appelé à « prélever des échantillons sur les sites de bombardements et à envoyer des rapports aux Nations Unies afin que le monde puisse témoigner de l’histoire sanglante et criminelle de l’ennemi sioniste », selon des déclarations rapportées par l’Agence nationale libanaise de l’information (NNA).

    Comme le souligne le New York Times, une vidéo diffusée par l’armée israélienne montrant le décollage de l’escadrille pour le raid du 27 septembre confirme que ces appareils étaient chacun équipés de six missiles « BLU-109 ». Ces munitions de fabrication américaine pèsent chacune un peu moins d’une tonne, selon l’article, et sont équipées d’un kit « JDAM » (joint direct attack munitions), un système de guidage de précision fixé aux projectiles.

    Un rapport de l’Institut naval américain indique que le type d’explosif le plus courant à l’intérieur de ces missiles sont des bombes classées « GBU-31 ». Ces munitions guidées sont connues pour leur capacité à pénétrer des structures en béton ou en acier fortement renforcées grâce à une enveloppe en uranium appauvri (UA), utilisé pour sa haute densité, qui renforce la résistance des bombes à l’impact au sol.

    L’utilisation de ce type d’armement particulier à Beyrouth est d’autant plus plausible que l’armée israélienne avait déjà utilisé des bombes à uranium en 2023 lors de frappes dans la bande de Gaza. Un rapport soumis à la Commission des droits de l’homme de l’ONU a documenté le largage de bombes GBU-31, GBU-32 et GBU-39 lors d’au moins six frappes aériennes distinctes de l’armée de l’air israélienne sur des immeubles résidentiels, une école, des camps de réfugiés et un marché entre le 9 octobre et le 2 décembre 2023.

    En mai, l’administration Biden a annoncé la suspension d’une livraison de ces bombes de près d’une tonne à Israël en raison de « préoccupations concernant la sécurité des civils à Gaza ».

    Effets pathogènes et mortels

    Bien que l’uranium appauvri ne soit pas aussi radioactif que son homologue enrichi utilisé dans les armes nucléaires, il reste légèrement radioactif et peut libérer des particules dangereuses lors de l’impact, contaminant les populations et les sols exposés à ces faibles niveaux de radiation.

    «Lorsque l’uranium est inhalé ou ingéré par l’intermédiaire des aliments et des boissons, ses effets pathogènes et mortels se manifestent pleinement. Une fois dans l’organisme, il est absorbé par le sang, qui le transporte vers les organes (…) et peut provoquer des problèmes respiratoires et des risques rénaux. Il peut également atteindre un enfant à naître par le placenta», selon un rapport de l’International Physicians for the Prevention of Nuclear War (IPPNW).

    Les caractéristiques de l’uranium appauvri et ses conséquences sur la santé humaine et l’environnement sont plus amplement documentées dans un rapport publié par la Commission européenne en 2010.

    Ce type de bombes avait également été utilisé lors de l’invasion américaine de l’Irak, ce qui avait entraîné une augmentation massive des taux de cancer en Irak après les guerres américaines contre ce pays. La chercheuse Souad al-Azzawi, professeur agrégé de génie de l’environnement à l’Université canadienne de Dubaï et ancienne directrice du programme de doctorat en génie de l’environnement à l’Université de Bagdad, cite des études montrant que les cas de leucémie chez les enfants ont augmenté de 60 % entre 1990 et 1997 et que les malformations congénitales ont triplé entre 1990 et 1998 à Bassorah, en Irak.

    L’Organisation mondiale de la santé a publié un rapport en 2003 intitulé « Impact potentiel du conflit sur la santé en Irak », qui suggérait que l’uranium appauvri pourrait être lié à des rapports faisant état d’une augmentation des cancers, des malformations congénitales, des problèmes de santé reproductive et des maladies rénales dans la population irakienne depuis 2003.

    Le Projet de recherche et d’information sur le Moyen-Orient (MERIP) a rapporté que l’uranium appauvri pourrait être l’une des causes d’une augmentation massive des malformations congénitales chez les enfants à Fallouja, que les forces américaines ont lourdement bombardée lors des combats avec les insurgés en avril et novembre 2004.

    Le MERIP a noté que la page Facebook des malformations congénitales de l’hôpital de Fallouja, où le personnel médical répertoriait les cas, a révélé de nombreuses anomalies congénitales différentes. Les bébés de Falloujah naissent régulièrement avec une hydrocéphalie, des fentes palatines, des tumeurs, des têtes allongées, des membres envahis par la végétation, des membres courts et des oreilles, un nez et une colonne vertébrale malformés.

    Bombes au phosphore blanc

    Comme le révélait L’Orient-Le Jour en octobre 2023, l’armée israélienne a déjà été reconnue coupable à plusieurs reprises d’avoir utilisé au Sud-Liban des bombes contenant du phosphore blanc, ce qui est interdit contre des civils ou des biens civils par le droit international.

    Léo Kersauzie

     

    Source : medias-presse.info

  • Manifestation contre les “martyrs” de l’immigration

    Publié par Guy de Laferrière le 08 octobre 2024

    lafautearousseau

     Infos Bordeaux communique : 

    Brèves

    Manifestation contre les “martyrs” de l’immigration

    Mobilisés sur les réseaux sociaux, plusieurs dizaines de jeunes ont manifesté aujourd’hui dans les rues de Bordeaux pour protester contre l’immigration qui fait régulièrement des victimes dans la jeunesse française. Les noms des « martyrs » récemment tués par des migrants ont été scandés, que cela soit Philippine ou Kilian.

    Réunis derrières deux bannières « l’immigration tue nos enfants” et “État coupable, Justice complice – La France est un coupe-gorge”, les jeunes bordelais ont demandé l’expulsion de tous les OQTF. Si les passants qui se promenaient dans le centre-ville ont été surpris par cette manifestation « dynamique », il n’y a pas eu de réactions hostiles.

    [cc] Infos Bordeaux, 2010-2023, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d´origine [www.infos-bordeaux.fr].
  • Haute-Garonne : trois individus, dont deux migrants afghans, arrêtés par le Raid et la DGSI. «ils préparaient une action violente sur le territoire français»

    Publié par Guy de Laferrière le 08 octobre 2024


    Les deux Afghans étaient liés, a précisé une des sources, selon laquelle «ils préparaient une action violente sur le territoire français». Leur interpellation est intervenue à la suite de la réception d’un renseignement.

     

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Le Parti de la France : persécution politico-judiciaire

    Publié par Guy de Laferrière le 08 octobre 2024

    Thomas Joly
    Jérôme Bourbon, dans son éditorial du n°3631 de l'hebdomadaire Rivarol, évoque la persécution politico-judiciaire du Parti de la France. Juste un correctif : personne n'est à ce jour mis en examen !
    Extraits : « [...] On l’a vu encore lors des dernières législatives où un candidat du Parti de la France en Meurthe-et-Moselle, Pierre-Nicolas Nups, ainsi que son suppléant, Alexandre Hinger, le président du mouvement, Thomas Joly, et deux autres cadres du parti (Maxime Morlon et Thomas Petit), ont été mis en examen puis, le jeudi 3 octobre, placés en garde à vue pendant neuf heures pour avoir simplement conçu et placardé une affiche électorale où l’on voyait un garçonnet blond aux yeux bleus avec ce slogan : « Donnons un avenir aux enfants blancs ». Cela n’impliquait objectivement aucune haine envers les autres races, aucun rejet des autres peuples et ethnies, mais faire sienne une telle profession de foi, vouloir défendre, sauver, protéger les enfants blancs, leur donner un avenir, un espoir, leur permettre des conditions de vie et de travail décentes et un développement harmonieux est considéré aujourd’hui comme de l’incitation à la haine raciale. Le mouvement Black Lives Matter peut défendre avec énergie voire agressivité la cause noire et s’en prendre ouvertement aux Blancs, ce n’est pas considéré comme du racisme ou de la haine mais que des Français de souche entendent « donner un avenir aux enfants blancs » dans le cadre d’une campagne législative est jugé insupportable. Dès qu’il a pris connaissance de l’affiche incriminée, Pascal Schneider, le maire d’une des communes de la circonscription, Neuves-Maisons, a même déposé plainte et saisi le procureur de la République, qui a ouvert aussitôt une enquête confiée à la brigade de recherches de Nancy. Laquelle enquête a pour motif « provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à raison de l’origine ou de l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». Comme si cela ne suffisait pas, une seconde plainte a également été déposée à l’encontre de Pierre-Nicolas Nups par la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) de Nancy. Via un communiqué de presse, la Licra — qui soutient sans sourciller le génocide palestinien à Gaza perpétré par l’entité sioniste, mais la contradiction ne la gêne pas ! — annonce « condamner fermement l’odieuse affiche titrée “Donnons un avenir aux enfants blancs” » estimant qu’un tel slogan « est contraire aux valeurs de la République et constitue un appel à la haine à caractère raciste ».
    Pour la LICRA, tuer ou mutiler des dizaines de milliers de civils palestiniens, ce n’est pas du racisme ni de la haine mais l’affiche du Parti de la France avec un blondinet dessus et une campagne verte derrière lui, c’est en revanche de la haine raciale caractérisée. Voilà les misérables pharisiens auxquels nous avons affaire ! Le Parti de la France a publié ces derniers jours un bref communiqué dénonçant les odieuses persécutions politiques et judiciaires dont il est victime : « Le jeudi 3 octobre, Thomas Joly, Pierre-Nicolas Nups, Maxime Morlon, Alexandre Hinger et Thomas Petit étaient convoqués dans plusieurs gendarmeries suite à une enquête, diligentée par le Parquet de Nancy, en rapport avec l’affiche du Parti de la France “Donnons un avenir aux enfants blancs”. La garde à vue a duré pas moins de 9 heures alors que les 5 auditionnés ont usé de leur droit à garder le silence et qu’ils ont chacun remis une déclaration libre sur papier réfutant tout caractère illégal de l’affiche incriminée et démontrant l’interprétation malveillante qui en a été faite par des adversaires politiques. Ces persécutions politico-judiciaires resteront sans effet sur la volonté des cadres du Parti de la France de dire la vérité et de défendre le peuple français envers et contre tout. »
    On le voit, le gouvernement change mais la persécution des patriotes, des nationaux, des nationalistes et des dissidents demeure intacte. Il ne suffit pas que Gérald Moussa Darmanin ne soit plus à l’Intérieur ni Eric Dupond-Moretti à la Justice pour que la répression cesse ou diminue soudainement. C’est tout un Système cosmopolite qui reste en place et étend ses monstrueux tentacules. [...] »
    Source :
    Rivarol n°3631 du 9/10/2024 (Papier)
     
     
    rivarol.com
    Rivarol n°3631 du 9/10/2024 (Papier)
  • En raison d’un important “trou” dans les caisses, la gendarmerie n’est plus en mesure de payer les loyers de ses locaux et de ses logements de fonction

    Publié par Guy de Laferrière le 08 octobre 2024

    Faute de trésorerie, la gendarmerie ne paye plus ses loyers partout en France

    En raison d’un important “trou” dans les caisses, la gendarmerie n’est plus en mesure de payer les loyers de ses locaux et de ses logements de fonction. Conséquence : des centaines de communes se retrouvent en difficulté. Exemple dans les Pyrénées-Orientales.

    www.francebleu.fr via fdesouche