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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1650

  • Contrôle et chantage : L’idée du passeport vaccinal se met en place en France

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    Des pays comme le Danemark, la Suède ont été parmi les premiers pays à faire le pas pour mettre en place un passeport vaccinal numérique. Cette idée s’étale maintenant rapidement sur l’ensemble des pays occidentaux. La France lance une étude le site participez.lecese.fr sur l’avis de ses citoyens sur cette question. Le monde de l’industrie pousse aussi dans cette voie pour remettre en marche les échanges commerciaux.

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    Le gouvernement suédois a déclaré qu’il espérait disposer de l’infrastructure nécessaire pour émettre des certificats numériques en chargeant trois autorités d’établir un certificat de vaccination en ligne qui devrait être mis en place d’ici le 1er juin 2021. La Suède a annoncé qu’elle allait commencer à développer des certificats de vaccins numériques, à utiliser pour les voyages et potentiellement plus, à la suite d’une initiative similaire du Danemark un jour plus tôt.

    Commentaire : Pourtant les Danois n’aiment pas l’idée d’un passeport vaccinal. Alors ?
    Lire : Les Danois manifestent contre le passeport vaccinal et les restrictions

    Le ministre des Finances par intérim, Morten Boedskov, a confirmé que la création de ce permis immunitaire permettrait de lever progressivement les restrictions sanitaires dans le pays. Cela a ,donc, lancé les premiers pas officiels vers le passeport vaccinal. Le Danemark, qui a annoncé son programme de « passeport corona », compte dans une première étape publier un registre en ligne pour vérifier le statut vaccinal d’un individu. Selon le gouvernement, après la création de ce registre prévu d’ici la fin février, une solution technique plus poussée doit être mise en place « d’ici trois à quatre mois ».

    Commentaire : Pourquoi cette acceleration ?

    Ouest-France titrait dès le début du mois de février « Un passeport vaccinal mis en place dans plusieurs pays, voici comment ça va se passer? », en avertissant que « l’idée d’un passeport immunitaire se met également en place en Israël » et que « le projet, annoncé par les autorités [israéliennes] mi-janvier, vise à délivrer »un passeport vert » aux personnes ayant reçu deux doses du vaccin ». Et, ce « passeport vert » permettra également aux détenteurs d’accéder aux grands rassemblements publics, aux restaurants, aux centres commerciaux, aux hôtels, aux lieux culturels ou sportifs ».

    Commentaire : Une bonne forme de chantage.

    Même si Dominique Le Guludec, la présidente de la Haute autorité de santé (HAS), expliquait le 12 janvier dernier que le passeport vaccinal « n’a pas de sens » dans la mesure où « on ne sait pas si ce vaccin bloque la transmission du virus » et même si ce argument a été repris par Emmanuel Macron le 22 janvier en déclarant qu’il fallait traiter la question du passeport vaccinal avec « une grande prudence », la France a fait un grand pas en avant dans l’idée de mettre en place le passeport vaccinal.

    Suivant, peut être l’avis d’Angela Merkel qui a annoncé dans un entretien dans l’émission Farbe Bekennen, un jour avant l’annonce du Danemark, la possibilité de donner plus de droits aux gens vaccinés, les autorités en France vont dans ce sens. Mieux encore, Clément Beaune, le secrétaire d’Etat aux Affaires européennes déclarait sur le fait que la vaccination n’ayant pas encore été proposée à toute la population française, que le projet de passeport vaccinal risque également de créer des inégalités. Celui-ci disait que « nous sommes très réticents […] C’est un débat qui n’a pas lieu d’être et ce serait choquant, alors qu’on débute encore partout cette campagne de vaccination en Europe, qu’il y ait des droits plus importants pour certains que pour d’autres. Ce n’est pas notre conception de la protection et de l’accès aux vaccins ». Maintenant, le discours change en France.

    Au début du mois de février BFMTV, la chaîne qui ouvertement fait la promotion du vaccin contre la Covid-19 , indique que « six Français sur dix sont favorables », précisant qu’en France l’idée fait son chemin en se référant à un récent sondage où six Français sur dix se disent favorables au passeport vaccinal, « qu’il s’agisse de voyager à l’étranger ou de rendre visite aux personnes vulnérables dans les hôpitaux et les Ehpad. Un peu plus de la moitié des Français envisage même cette piste pour accéder aux transports en commun ».

    C’est maintenant l’Association internationale du transport aérien (Iata) qui a fait savoir que son passeport numérique, le Travel Pass, sera prêt pour la fin du mois de mars alors que le débat fait rage en France et dans le monde. Le politique mais aussi des patrons d’entreprise comme Guillaume Faury, patron du groupe aéronautique Airbus, estime qu’il faut avant tout accélérer sur les tests et la vaccination pour atteindre l’immunité collective car « l’Europe est clairement la zone la plus impactée. Les mesures prises de façon assez peu coordonnées rendent les voyages difficiles. L’impact économique est très très sévère par rapport au reste du monde» et que «la situation vu d’Europe est particulièrement préoccupante ».

     

    Source : leblogalupus

  • Les deux ados de 13 et 14 ans morts dans des rixes dans l’Essonne indiffèrent les merdias, trop occupés à traiter les affaires de victimes imaginaires du racisme

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    Les meurtres et assassinats d’enfants dans la rue en France en 2021 ne sont pas le problème. Le problème, c’est le racisme de la police et des Français

     

    Pierre Sautarel
    @FrDesouche
    Les 2 gamins de 13 et 14 ans morts dans des rixes dans l' #Essonne auront occupé l'actualité à peine une soirée. 1000 fois moins de retombée que l'affaire #zecler et 10000 que l'affaire #theo ou #adama. Il y a une forme de sociopathie collective qui est effrayante.
     
     
     
     
    Source : nd

     

  • Tuerie de Chevaline : l’enquête relancée par un lien avec la cellule franc-maçonne qui organisait des assassinats

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    Peut-être un nouveau rebondissement dans l’affaire de la tuerie de Chevaline en Haute-Savoie. Plus de huit ans après le quadruple assassinat, une nouvelle piste est étudiée par les enquêteurs après le démantèlement d’une loge franc-maçonne.

    […] Cette cellule franc-maçonne a été découverte l’été dernier en région parisienne par la brigade criminelle. Elle est composée d’anciens fonctionnaires des services secrets français, de policiers et d’anciens journalistes. Tous arrêtés alors qu’ils s’apprêtaient à assassiner une coach sportive et hypnotiseuse. Jusqu’ici, aucun rapport avec la tuerie de Chevaline. Mais le Canard Enchaîné qui révèle cette affaire, indique que la perquisition menée au domicile de l’un des membres de cette loge, a permis de découvrir un type de munitions bien particulier. 

    Des munitions utilisées notamment pour le Luger P 06 : une arme de fabrication suisse utilisée lors de la tuerie de Chevaline pour abattre de deux balles dans la tête un cycliste savoyard et trois membres d’une famille britannique d’origine irakienne. C’était le 5 septembre 2012 sur le route de la combe d’Ire.  […]

    France Bleu via fdesouche

  • Scandaleux et fou : faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié !

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    Auteur : 

    Ils sont devenus fous ou suicidaires ! En tout cas, il vaut mieux être un Tchétchène bénéficiant du droit d’asile qu’un pauvre Français de souche dénonçant l’invasion migratoire. C’est la conclusion que l’on peut tirer de cette nouvelle affaire abracadabrantesque comme aurait dit feu Jacques Chirac, le dernier de nos “rois fainéants” (sic dixit Macron 1er, empereur de la ploutocratie triomphante).

    En effet, dans une décision rendue publique le 19 février 2021, le Conseil d’Etat a estimé qu’un réfugié tchétchène condamné pour apologie du terrorisme pouvait conserver son statut de réfugié. La plus haute juridiction administrative a ainsi désavoué l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) – l’office chargé de statuer sur les demandes d’asile – qui avait retiré son statut à un réfugié tchétchène. L’Ofpra avait motivé sa décision en arguant que sa présence sur le territoire français  «constituait une menace grave pour la société». La CNDA (Cour nationale du droit d’asile) avait ensuite annulé cette décision, soulignant que les faits d’apologie publique «ne constituaient pas un acte de terrorisme», l’un des motifs nécessaires pour enclencher la révocation du statut de réfugié.

    Venant au secours du CNDA, le Conseil d’Etat, ayant été saisi, considère désormais que “faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié“. Quand on sait que le refugié tchétchène au cœur de cette affaire a fait l’objet de quatre condamnations pénales dont une, le 18 février 2015 à Nice, «pour des faits d’apologie publique d’un acte de terrorisme», on en reste bouche bée !

    Pour justifier sa décision, la Cour relève que les délits ayant donné lieu aux condamnations du réfugié tchétchène, et notamment celui d’apologie publique du terrorisme, ne sont pas suffisants pour le priver de ses droits en France. Selon la CNDA, pour mettre fin au statut de réfugié, « la personne doit avoir été condamnée pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme ». Mieux, pour enlever le droit d’asile à un ressortissant étranger sa présence doit être jugée comme une menace grave pour la société une fois condamné pour des actes de terrorisme, comme l’a fait l’OFPRA en 2017. Or, l’apologie du terrorisme n’est pas reconnue comme un acte de terrorisme…

    A l’évidence, il est plus facile, et moins dangereux, désormais d’approuver les actes de terrorisme que de barrer, symboliquement, une frontière pour montrer l’impéritie des pouvoirs publics en matière d’immigration.

    Jamais l’adage “quos vult perdere Jupiter dementat” [Ceux qu’il veut perdre, Jupiter les rend fous] ne s’est autant appliqué qu’en ces circonstances.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’humiliation des catholiques en Chine se poursuit

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2021

    L’humiliation des catholiques en Chine se poursuit

    Le 23 juillet 1921 est la date de la fondation du Parti communiste chinois. L’événement s’est produit à Shanghai dans ce qui était autrefois la concession française. Cent ans après cette date, en 2021, les catholiques de Chine organiseront un colloque « en mémoire du centenaire de la fondation du Parti communiste chinois » et approfondiront leur compréhension des « événements émouvants de la période de la longue marche « , qui a jeté les bases de la victoire définitive de Mao Zedong sur Chiang Kai Shek.

    L’information est rapportée dans un article publié dans le magazine d’État catholique « L’Église en Chine », par un certain Hui Jing, citant une réunion préparatoire entre les évêques chinois et les dirigeants de l’Association patriotique, tenue début février.

    Le colloque et l’étude de la longue marche ne sont que quelques-uns des événements qui caractériseront le programme d’engagements ecclésiaux élaboré par le Conseil des évêques et l’AP pour cette année. L’article énumère «des cours de formation en collaboration avec l’Institut central du socialisme»; cours préparatoires à la réunion nationale de la « Conférence consultative politique du peuple chinois » (tenue en mars); la « construction de l’Association patriotique », et bien plus encore.

    Les catholiques sont d’abord tenus d’approfondir «les orientations du 19e Congrès national du Parti communiste chinois et de la 5e session plénière du 19e Congrès national», ainsi que d’assimiler «la pensée de Xi Jinping sur le socialisme aux caractéristiques chinoises pour une nouvelle ère », renforçant« notre conscience de la nécessité de maintenir l’intégrité politique, de penser en termes généraux, de suivre le cœur de la direction et de rester en ligne avec la direction centrale du Parti ».

    2021 sera une période où l’Église catholique en Chine devra «assimiler» la vision d’une «Église d’État», soumise en tous points aux ordres de l’Association patriotique et à la vision du Parti. Et malgré l’accord provisoire entre la Chine et le Vatican, avec la soi-disant reconnaissance du Pape comme chef de l’Église, le principe de « l’Église indépendante et autonome » et de « gestion démocratique » est réaffirmé, ce qui signifie en fait la soumission des évêques à l’Association patriotique.

     

    Source : lesalonbeige