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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1740

  • A Budapest, des Hongrois érigent un sapin en soutien aux Bordelais qui en seront privés par leur maire : “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin”

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2020

    Le premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place pour Bordeaux… dans un arrondissement de Budapest.
    “Au premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place devant l’académie hongroise de lutte István Kozma dans le sud de Budapest, pour Bordeaux, après que le maire de gauche dure de Bordeaux a interdit la sapin sur la place principale de la ville.”

    “Le chef du groupe parlementaire du Fidesz, Máté Kocsis, a estimé qu’il était inqualifiable et inacceptable que précisément ceux qui parlent toujours de tolérance et d’acceptation en viennent à interdire les symboles chrétiens. Selon le député, il est probable que bientôt les nations considérant Noël comme une fête importante soit en minorité.”
    “C’est surréel et en même temps un honneur d’ériger ici un arbre de Noël pour une ville française. Jamais au cours des trente dernières années nous n’aurions cru, ici en Europe centrale, vivre cela, a déclaré Zsolt Bayer, le fameux éditorialiste proche de Viktor Orbán.”
    “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin. Ils parlaient de la fête du sapin au lieu de Noël et de Mikulás au lieu du Père Noël, mais jamais le sapin n’a été interdit ou empêché, rajoute-t-il. Nous savons précisément ce que cela signifie lorsque des illuminés voulant changer le monde essayent de modifier nos vies et effacer de la surface de la Terre toutes les traditions.”
    “Le publiciste Zsolt Bayer a ajouté que depuis Budapest, ce sapin envoie un message à tous les Français qui perçoivent l’effacement de leurs traditions : vous n’êtes pas seuls, chaque année il y aura ici un sapin pour vous tant que Bordeaux ne chassera pas son illuminé et changeur de monde de maire, tant que Noël ne sera pas récupéré.”
    “Selon Máté Kocsis, un petit sapin à Budapest n’aidera pas en soi la situation des Chrétiens à Bordeaux bien entendu, mais le symbole est fort, et souligne qu’il y a encore des endroits en Europe où on a pas à avoir peur en tant que chrétien.”

    Bayer Zsolt a BLM-szoborrĂłl: MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni!

    A publicistĂĄnak nem tetszik Baranyi Krisztina Ăśtlete a ferencvĂĄrosi BLM-szoborrĂłl. Baranyi Krisztina polgĂĄrmester szobrot ĂĄllĂ­tana a szĂŠlsőbalos BLM-mozgalomnak FerencvĂĄrosban. „VĂŠgre ez a nő is belefogott a lĂĄzas pĂłtcselekvĂŠsbe, idiĂłta semmittevĂŠsbe. Alig vĂĄrjuk a szoboravatĂĄst. MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni a picsĂĄba!”  – Ă­rja blogjĂĄn Bayer Zsolt.   Mi meg ÉLŐBEN fogjuk kĂśzvetĂ­teni…  

  • Prison requise contre 3 policiers : “un délinquant qui vous agresse et vous met 5 jours d’ITT n’ira pas en prison, même s’il est en situation irrégulière, même s’il a un casier long comme le bras”

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2020

     

    Source : fdesouche

  • Migrants: le maire (PS) de Saint-Denis réclame une loi qui imposerait aux communes de disposer de places d’hébergement pour « l’accueil inconditionnel de toutes et tous »

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2020

    TRIBUNE. Après l’évacuation violente de migrants lundi, place de la République, à Paris, Mathieu Hanotin, maire (PS) de Saint-Denis (93) et conseiller départemental de Seine-Saint-Denis, réclame l’élaboration d’une loi SHU (solidarité hébergement d’urgence) reprenant le modèle de la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain).

    […] Nous devons organiser le premier accueil pour que n’importe qui puisse être pris en charge de ­manière digne et rapide (sur le modèle de la bulle de la ­Chapelle, malheureusement fermée). Pour l’Ile-de-France, au moins dix points seront nécessaires. Il faut aussi plus de moyens juridiques et financiers, des efforts mieux répartis entre les territoires. […]

    Les communes ne pourront pas seules apporter des solutions à ce défi qu’est l’accueil inconditionnel de toutes et tous. Les pouvoirs publics doivent poursuivre leur collaboration avec les associations pour construire des dispositifs de halte humanitaire sur l’ensemble du territoire et garantir l’accès aux droits fondamentaux des migrants. Il faut que l’Etat joue enfin son rôle d’ensemblier des initiatives et que la réponse interrégionale se mette effectivement en œuvre. Au-delà de l’urgence, il sera nécessaire d’apporter des solutions structurelles en inscrivant à l’agenda la question des quotas, dispositifs contraignants de places réservées dans toutes les zones métropolitaines denses.

    C’est pourquoi je plaide, sur le même modèle que la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain) adoptée il y a plus de vingt ans, pour l’élaboration d’une loi SHU (solidarité hébergement d’urgence), avec un meilleur partage de la solidarité, avec des obligations et amendes pour celles et ceux qui ne respecteraient pas cette responsabilité collective. Le reste ne sera encore que des cris d’orfraie, il faut agir.”

    lejdd.fr via fdesouche

  • “Libération” n’a pas déménagé dans le 18ème arrondissement pour éviter la proximité de la colline du crack

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2020

  • Xi Jinping encourage les pays du G20 à adopter une appli sur le statut COVID – avec isolement contraint à la clef

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2020

    Le régime communiste chinois, incarnation du totalitarisme moderne, est source d’inspiration pour le reste des régimes « démocratiques » (en réalité plouto-oligarchiques).

    Coronavirus: China's Hangzhou proposes permanent health tracking app - Business Insider

    « La Chine communiste cherche à répandre son système de crédit social au niveau mondial. Le président chinois Xi Jinping a proposé aux dirigeants des pays les plus puissants de la planète, le week-end dernier, lors du sommet virtuel du G20, de mettre en place des passeports de santé numériques Covid-19 utilisant des codes QR, dans le cadre d’un plan visant à relancer les voyages internationaux et à assurer le « flux ordonné des personnes ». Le tout, bien évidemment, dans le cadre d’une « harmonisation des politiques et des normes » au niveau international.

    La Chine a donc proposé un mécanisme mondial de reconnaissance mutuelle des certificats de santé basés sur les résultats des tests d’acide nucléique sous la forme de codes QR acceptés au niveau international, et fonctionnant au moyen d’une application pour Smartphone.

    Xi a promis le soutien de la Chine au G20 « pour mener à bien une coopération institutionnalisée et construire des réseaux de coopération mondiaux pour faciliter la circulation des personnes et des biens ». Venant d’un chef d’Etat qui soumet sa propre population à des normes tatillonnes qui conditionnent leurs droits de circuler, acheter, voyager entre régions ou à l’étranger, à l’aide d’une surveillance appuyée sur l’intelligence artificielle, la proposition a de quoi inquiéter.

    Xi Jinping estime également que le Covid-19 « a mis en évidence les déficiences de la gouvernance mondiale » : traduisez, la crise du COVID sert aussi à faire progresser ce mondialisme dont la Chine affirme depuis longtemps qu’elle en prendrait volontiers la tête.

    « La communauté internationale est fortement intéressée à l’ordre international et à la gouvernance mondiale post-Covid, ainsi qu’au rôle futur du G20 », a ainsi déclaré Xi aux leaders mondiaux.

    Cela fait déjà plusieurs mois que la Chine a mis en place un système de code QR assorti de trois couleurs permettant d’ indiquer le niveau de liberté auquel peut prétendre son porteur. Le code vert permet à une personne de bénéficier d’une liberté de mouvement maximale, tandis que le code orange signifie qu’elle doit être « mise en quarantaine pendant sept jours ». Le code rouge indique qu’elle doit « être mise en quarantaine par le gouvernement ou en auto-quarantaine pendant 14 jours ». Avec possibilité de mobiliser la police pour assurer le respect de ce dernier…

    Pour obtenir un de ces codes de santé, les personnes doivent entrer leur « nom, leur numéro d’identité nationale ou de passeport et leur numéro de téléphone », ainsi que leurs antécédents de voyage, les contacts suspects avec toute personne infectée par le virus et les symptômes personnels indiquant la présence du virus.

    La version utilisée dans la ville de Pékin contraint également les utilisateurs à consentir à ce que le système opère sur la base de la reconnaissance faciale – omniprésente dans les villes chinoises.

    Le New York Times, dans un article présentant l’application lors de son lancement début mars, affirmait découvert que le système « semble partager des informations avec la police, établissant un modèle pour de nouvelles formes de contrôle social automatisé qui pourraient persister longtemps après la fin de l’épidémie ». Et ce à l’insu des utilisateurs. Le journal précise que la police a été impliquée dans le développement du système.

    Il est clair que ce type de système peut être facilement étendu à d’autres formes de surveillance et de « crédit social », notamment par la biais de l’identification des contacts : moyen rêvé pour le pouvoir de surveiller ou interdire les rassemblent de toutes sortes.

    Il n’est pas nécessaire, en outre, d’imposer téléchargement d’une telle application par la contrainte : dès lors qu’il ne peut se déplacer ou faire des achats sans elle, le citoyen ordinaire n’a guère le choix.

    Il faut savoir quelLes codes QR se répandent rapidement dans le monde entier. Ainsi, le gouvernement britannique a déjà décidé de mettre en place un code numérique permettant aux personnes d’accéder aux événements publics, selon qu’elles été ou non vaccinées contre le Covid-19.

    L’ancien Premier ministre britannique Tony Blair a lui aussi lancé un appel en faveur de l’utilisation de codes numériques pour suivre le « statut de la maladie » dans le cadre des plans de relance des voyages internationaux après la crise mondiale du coronavirus.

    Les premiers passeports numériques enregistrant le statut Covid-19 ont déjà été délivrés. Le CommonPass, développé avec le soutien du Forum économique mondial, a été lancé en octobre et permet aux passagers des compagnies aériennes de scanner un code QR afin de prouver le statut « COVID-19 négatif ».

    Rien n’empêchera demain d’y associer le statut vaccinal – à moins que ces informations ne soient carrément imprimées dans la chair comme cela se profile avec le vaccin Moderna – bientôt produit en France – qui sous sa forme patch, permet d’injecter sous la peau des informations lisibles par Smartphone sur la date de la vaccination.

    C’est dire que les injonctions de Xi Jinping ne viennent qu’entériner une réalité qui se répand déjà dans le monde dit libre. »

    Texte de Jeanne Smits,
    adapté de celui de Michael Haynes pour LifeSiteNews.

     

    Source : .contre-info