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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1800

  • Le monastère Saint-Sauveur-in-Chora de Constantinople sera ouvert à la prière musulmane le 30 octobre

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Le monastère Saint-Sauveur-in-Chora de Constantinople sera ouvert à la prière musulmane le 30 octobre

    Lu sur Orthodoxie :

    Après la provocation à Sainte-Sophie, le monastère historique du Saint-Sauveur-in-Chora de Constantinople sera ouvert pour le namaz, la prière musulmane. C’est ainsi que la décision signée par le président Erdoğan entrera en vigueur. Comme l’a annoncé le service des Affaires religieuses de Turquie, le namaz aura lieu le vendredi 30 octobre au monastère du Saint-Sauveur-in-Chora et ce pour la première fois depuis 75 ans. Cet événement est préparé activement, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’édifice. Comme à Sainte-Sophie, les fresques seront masquées par des rideaux. Le président turc participera lui-même au namaz. Rappelons que le patriarche Bartholomée a rencontré Mounir Bouchenaki, conseiller spécial du directeur général de l’Unesco, le mercredi 7 octobre et a évoqué avec lui, entre autres la récente transformation de Sainte-Sophie en mosquée.

     

    Source : lesalonbeige

  • La fille de Brigitte Macron éditorialiste sur Europe 1 pour commenter les décisions… d’Emmanuel Macron

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    La fille de Brigitte Macron éditorialiste sur Europe 1 pour commenter les décisions… d’Emmanuel Macron

    Tiphaine Auzière est avocate et fille de Brigitte Macron. En 2016, elle a créé et dirigé un comité de soutien dans le Pas-de-Calais pour la campagne d’Emmanuel Macron. Lors des élections législatives de 2017, Tiphaine Auzière fut inscrite comme suppléante du candidat LREM Thibaut Guilluy pour la 4e circonscription du Pas-de-Calais, lequel a échoué.

    Elle est désormais éditorialiste sur Europe 1, où la rédaction, qui s’était bruyamment opposée à la nomination de l’ancien journaliste de Valeurs actuelles Louis de Raguenel (désormais adjoint du service politique), n’a pas réagi.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1316792468143255557

     

    Pas certain que le CSA réagisse.

     

    Source : lesalonbeige

  • Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains un 16 octobre

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Le 16 octobre 1793, à 4h30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
    Ce sera son émouvant testament.

    « C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.

    Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse! J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre ; je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra : recevez pour eus deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins.

    Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur. Que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a elle doit toujours aider son frère par des conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils, à son tour, rende a sa sœur tous les soins, les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union. Qu’ils prennent exemple de nous : combien, dans nos malheurs notre amitié nous a donné de consolation; et dans le bonheur on jouit doublement, quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais, les derniers mots de son père, que je lui répète expressément :  » qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. »

    J’ai à vous parler d’une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine; pardonnez-lui, ma chère sœur ; pensez à l’âge qu’il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu’on veut, et même ce qu’il ne comprend pas : un jour viendra, j’espère, où il ne sentira que mieux tout le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore, mes dernières pensées ; J’aurais voulu les écrire dès le commencement du procès ; mais outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche en a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le temps.

    Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; n’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop, s’ils y entraient une fois, je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu’il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant ; qu’ils sachent, du moins, que, jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfans : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. Adieu, adieu, je ne vais plus m’occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre ; mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. [1]»

    Notes

    1. La reine désigne ici les prêtres « assermentés », c’est-à-dire qui ont prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, condamnée par Rome,  et qui sont considérés comme ne faisant plus partie de l’Eglise catholique.

     

    Source : contre-info

     

  • D'un couvre-feu, l'autre.

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.
     
    Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui, peu à peu a transformé les Français en ombres asservies, fait de nos commerces, de nos restaurants, de nos bars, de nos salles de sport, de nos théâtres, de nos cinémas, des cimetières et reduit nos petites et moyennes entreprises à la condition d'antichambres de Pôle emploi. 
     
    Et puis y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge, une poudrière et un terrain de guerre.
     
    Les braves gens qui bravaient encore les dangers de la nuit, désormais menacés d'amendes pouvant aller jusqu'à 1500 euros, s'enfermeront dans le confinement de leurs logis où ils ne pourront plus recevoir les leurs que dans les limites fixées par la Sécuritate sanitaire du génie du Touquet Macronescu.
     
    La lie des cités, elle, continuera ses danses tribales, ses exactions, ses pillages, ses expériences pyrotechniques et ses trafics auxquelles aucune force de police n'est aujourd'hui en l'état de s'opposer.
  • Le couvre-feu imposé par Macron

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020

    Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.

    Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui fait des Français des ombres asservies. Il y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge.

    Combattre l'un c'est combattre l'autre.
    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : nuit, arbre, ciel et plein air