Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020

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Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020
Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020
Les conseils départementaux chargés du RSA enregistrent une explosion des inscriptions. Une situation inquiétante qui pèse sur les finances des collectivités. Alors qu’ Emmanuel Macron a exclu mercredi soir l’éventualité d’un relèvement pérenne des minimas sociaux, le Premier ministre, Jean Castex, doit annoncer ce samedi un «acte 2 » du plan pauvreté.
Des intérimaires, des jeunes en CDD, des saisonniers, des commerçants… Les huit départements d’Ile-de-France que nous avons interrogés voient depuis mars, et le début de la crise du Covid, les demandes pour toucher le RSA exploser. […]
Dans le Val-de-Marne, ils sont ainsi 45 809 en août à y être inscrits contre 41 449 en mars, et le nombre d’allocataires attendu fin décembre pourrait avoisiner, selon une estimation « prudente », les 46 900. Soit une hausse de 12 % sur l’année. Du jamais-vu. De même, en Seine-Saint-Denis, où le nombre d’allocataires est déjà très élevé — 87 000 en juin —, c’est une hausse de 4,7 % qui est relevée par rapport à juin 2019, « la plus forte hausse en un an jamais enregistrée depuis sept ans ». Le président (PS) Stéphane Troussel avait dès le mois de mai alerté Emmanuel Macron sur le sujet. […] Avec désormais 68 838 foyers allocataires du RSA à Paris (+ 14 %), la ville doit trouver 30 millions d’euros pour débourser ces aides.[…]
Le Parisien via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2020
Thomas Joly, Président du Parti de la France
L'observation des réseaux sociaux, juste après un nouvel attentat au nom d'Allah, est toujours édifiante. Ça l'est encore plus suite au nouvel acte de barbarie islamique commis hier à Conflans-Sainte-Honorine.
Déjà, il faut rappeler le contexte de cette exécution : une campagne de lynchage du professeur de collège qui avait montré des caricatures de Mahommet à ses élèves était orchestrée depuis deux semaines par des parents d'élèves musulmans, avec la complicité d'autres professeurs qui leur avaient fourni toutes les coordonnées personnelles de leur collègue ainsi que ses heures de sortie de cours !
Habituellement, du bout des lèvres, imams et Mahométans condamnent avec gravité les attaques terroristes islamiques en précisant qu'elles n'ont rien avoir avec l'Islam. Un grand classique. La Taqîya de base.
Mais cette fois-ci, au-delà de très molles indignations d'usage, on assiste à des commentaires extrêmement virulents et agressifs justifiant quasiment l'égorgement et la décapitation du professeur qui a outragé, selon eux, leur « prophète ».
Les messages du style « il l'avait bien cherché », « on ne blasphème pas Mahommet » ont fleuri partout sur la toile, par milliers. Avec également des avertissements virulents, intimant de ne pas stigmatiser l'Islam et de ne pas faire de récupération politique « raciste » et « d'extrême-droite »...
L'avantage, c'est que cela fera peut-être comprendre à nos compatriotes que les auteurs potentiels d'attentat sont bien plus nombreux que médias et gouvernants ne veulent le faire croire, que des afro-musulmans enragés prêts à céder, au moindre prétexte, à leurs pulsions haineuses anti-occidentales sont des milliers, et qu'ils en croisent chaque jour dans notre pays en phase de colonisation avancée.
Nous ne pourrons inverser le cours des événements qu'en réalisant trois choses :
1 - Écarter du pouvoir tous ceux qui ont la responsabilité de la colonisation migratoire et islamique de la France.
2 - Mettre en place une remigration massive et irréversible des immigrés afro-musulmans, Français de papier compris, dans leur pays d'origine.
3 - Réaffirmer l'identité européenne et spirituelle de notre civilisation en envoyant au diable l'universalisme républicain qui nous a amené au désastre actuel.
Tout le reste n'est que littérature.
Blog de Thomas Joly cliquez ici
Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2020
La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.
Aussi abominable soit-il cet acte commis par un immigré tchétchène n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.
Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc".
Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs.
Jean-François Touzé.
Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2020
Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui…
A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.
« La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]
Vers 17 heures, à Eragny (Val d’Oise) une équipage de la brigade anticriminalité de Conflans Sainte-Honorine a repéré un individu portant un couteau. Quand les policiers lui ont demandé de mettre à terre son arme, ce dernier a refusé. « Agressif et menaçant», il a été abattu par la police. A ses côté, ils ont découvert le corps d’un homme décapité.
Les fonctionnaires n’ont pas pu s’en approcher immédiatement car l’assaillant serait porteur d’un gilet explosif et une opération de déminage était en cours en fin de journée. » (source)
Un Tchétchène a revendiqué l’attaque sur les réseaux sociaux :
Source : contre-info