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"Pas de Belattar au Bataclan ! Yassine Belattar, « l’humoriste » communautaire proche des réseaux islamistes a annoncé il y a quelques jours qu’il se produirait au #Bataclan le 15 juin prochain pour conclure la tournée de son spectacle. Depuis des années, Yassine Belattar entretient des rapports privilégiés avec les réseaux islamistes : en 2019, il défilait lors de la marche contre l’islamophobie aux côtés de Marwan Muhammad, le directeur du CCIF, une organisation islamiste dissoute à la suite de l’assassinat de Samuel Paty. Belattar n’hésite pas non plus à menacer physiquement ceux qui enquêtent sur lui, en 2021, il menace physiquement deux journalistes du média @Livrenoirmedia présents à la fin de son spectacle. Parce que la présence de Yassine Belattar au Bataclan est une provocation et une insulte à la mémoire de toutes les victimes du terrorisme islamiste, les Natifs appellent à la mobilisation ! Face à Belattar et aux complices des islamistes, partagez notre hashtag (ndlr : on préfère dire "mot dièse") : #PasDeBelattarAuBataclan"
Deux députés transsexuels élus au parlement allemand, Tessa Ganserer et Nyke Slawik
La coalition centre-gauche-Vert allemande n’aime pas la nature, la vraie, mais le progressisme contre-nature : 374 députés, principalement des partis de la coalition au pouvoir, ont voté pour le soi-disant « acte d’autodétermination » au Bundestag. Ainsi, à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.
Les députés allemands n’ont vraiment pas de considération pour les fonctionnaires des services d’Etat Civil : en votant à une large majorité, -374 pour, 251 voix étaient contre, 11 abstentions-, pour le soi-disant « acte d’auto-détermination » au Bundestag, ils permettent aux citoyens à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.
La loi d’autodétermination de genre : les citoyens allemands pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale
Trêve de plaisanterie, qui d’ailleurs n’en est pas une, vendredi dernier le parlement allemand s’est prononcé en faveur du projet de loi controversé, qui concerne principalement la simplification du processus de changement de nom et de mention de sexe. Le Bundestag, la chambre basse du parlement allemand, a voté majoritairement pour la loi d’autodétermination de genre (Selbstbestimmungsgesetz), relatent, entre autres, le Tagesschau et le Stern. La loi entrera en vigueur le 1er novembre 2024.
Cette loi arc-en-ciel vise principalement à faciliter la procédure administrative pour changer de mention de sexe et de nom. Cette loi remplacerait le Transsexuellengesetz, la loi sur les transsexuels, qui considère de facto la transidentité comme un trouble psychique.
Jusqu’à présent, les personnes voulant changer de sexe devaient fournir un certificat médical et passer devant un tribunal afin d’expliquer leur décision. Cela sera rendu caduque à partir de la mise en vigueur de la loi d’autodétermination.
Désormais, ce changement sera aussi facile que de mettre une lettre à la poste : il suffira de faire une déclaration à l’état civil pour modifier la mention de sexe ou son nom. La nouvelle loi inclut également les personnes non-binaires, ainsi que, partiellement, les personnes mineures à partir de 14 ans. Selon, la ministre de la famille Lisa Paus, 14 ans serait l’âge approprié pour choisir son sexe et son prénom car c’est l’âge à partir duquel on pourrait choisir sa religion : « C’est donc simplement conforme à la logique de la législation allemande ».
Les féministes s’opposent à cette loi : après avoir dévirilisé l’homme, elles le voient revenir… déguisé en femme mais légalement reconnu comme tel
Le délégué ministériel chargé des droits LGBTQIA+ Sven Lehmann, du parti des Verts, assure que cette loi constituera un soulagement massif pour les personnes concernées. Selon lui, cette loi va « faciliter et améliorer considérablement la vie des personnes transgenres, intersexuées et non-binaires », relate-t-il au Redaktionsnetzwerk Deutschland. Selon lui, « la loi sur les transsexuels porte atteinte à la dignité humaine ».
Cette folie dictée par la culture woke, synonyme de déconstruction, destruction, qui met à mal un peu plus les familles et la société, ne fait pas l’unanimité en Allemagne.
Etonnement, et excepté les personnes de bon sens, et il y en a encore en Allemagne, c’est un autre courant idéologique ‘minoritaire’, celui des féministes, qui s’oppose à cette loi qui permettra, par exemple, à des hommes ‘transgenres’ de concourir dans des compétitions féminines. C’est un triste retour de bâton pour les plus radicales de ces féministes, qui imposèrent à une époque pas si éloignée, leur diktat sociétal de dévirilisation de la société, d’annulation de la masculinité, de discrimination positive en faveur des femmes, de famille matriarcale, d’invisibilisation des hommes… N’ayant plus leur place, certains hommes que la société féministe a rendu honteux d’être homme croient qu’être femme leur permettra de retrouver une digne place dans la société.
Le quotidien Bild a ainsi écrit : le 12 avril 2024 est « le jour le plus noir pour les femmes de l’histoire allemande d’après-guerre ». Des décennies de lutte pour les droits des femmes, des espaces sûrs et l’égalité des droits seraient « effacées d’un seul coup », indique le commentaire. « C’est la victoire ultime des hommes sur les femmes. » Car : « Quand les hommes définissent ce qui constitue être une femme et peuvent se déclarer femmes par des actes de parole, s’appropriant leurs droits et leurs espaces de protection, c’est exactement ce dont il s’agit. » Et de conclure : Les quotas pour les femmes sont désormais « abolis de facto ».
Bientôt l’auto-détermination de son espèces animale ?
Mais cette loi permettra aussi bien pire que d’abolir des quotas artificiels : « Obliger les femmes à partager leurs espaces sûrs, comme les vestiaires, avec des personnes qui se sont déclarées femmes mais ne veulent pas renoncer à leur barbe et à leur pénis. Forcer ensuite les femmes à percevoir les hommes comme des femmes dans leur vestiaire. Ce n’est rien d’autre qu’une soumission » souligne Bild.
L’idéologie du genre est plus qu’une folie : c’est un danger, non pour les femmes uniquement, mais pour l’ensemble de la société. Et les députés progressistes allemands sont des criminels. On peut d’ailleurs se demander combien de temps leur faudra-t-il pour voter pour l’auto-détermination de son espèce animale. Ce sera juste un plus compliqué de changer d’état civil en aboyant ou miaulant… mais bon, dans un monde de fou, un peu plus ou moins de folie n’est pas un critère pris en considération.
On comprend, à la lecture de telle nouvelle, pourquoi la Russie est si acharnée à rejeter la folie occidentale et à préserver ses valeurs traditionnelles. Car ce n’est pas qu’uniquement l’intelligence qui est en péril de mort aujourd’hui, c’est l’Occident tout entier.
Giovanni Gentile (1875-1944), figure de la vie intellectuelle italienne de la première moitié du vingtième siècle, se décrivait lui-même comme le « philosophe du fascisme ». Il a en grande partie rédigé pour Benito Mussolini le livre La Doctrine du fascisme en 1932.
Durant le ventennio fasciste (1922-1945), il occupa de nombreuses responsabilités dont celle de ministre de l'Éducation.
Resté fidèle jusqu'au bout à l'idéal fasciste et à la République sociale, il fut assassiné à Florence le 15 avril 1944 par des terroristes communistes.
Aujourd'hui, en publiant ce timbre, l'Italie honore ce grand personnage de son Histoire.
Thomas Joly, Président du Parti de la France : « La flamme olympique a été embrasée et débute son périple qui va la mener de l'Acropole jusqu'à Paris. Nul doute que climato-tarés, enragés pro-Palos et autres illuminés vont tenter de l'éteindre pendant son parcours. Espérons que les coups de matraques pleuvront. »
Le traité de Maastricht imposait aux pays de la zone Euro de respecter deux critères :
– Déficit public inférieur à 3 % du PIB, – Dette publique inférieure à 60 % du PIB. Ce sont là des critères de bon sens. Si plusieurs amis décident de faire bourse commune, la prudence élémentaire leur impose de vérifier, tant que dure leur association, que chacun d’eux : – contrôle ses dépenses en fonction de ce qu’il gagne (critère de déficit), – n’est pas endetté au-delà d’un certain seuil en fonction de ce qu’il possède (critère de dette). Le critère de dette est indispensable pour empêcher une accumulation excessive de déficits. Or les critères de Maastricht n’ont pas freiné la folie dépensière de nos dirigeants. Qu’on en juge par l’évolution de la dette publique de la France : 1978 : 21 % du PIB – 75 Mds € 1988 : 34 % – 300 Mds € 1998 : 60 % – 800 Mds € 2008 : 70 % – 1 400 Mds € 2018 : 100 % – 2 300 Mds € 2023 : 112 % – 3 100 Mds €
Dans ce palmarès de cancres, la palme revient à Emmanuel Macron avec un alourdissement de notre dette de 1 000 milliards d’euros depuis le début de ses mandats. Bravo l’artiste ! Depuis 1974, la France n’a connu que des budgets en déficit qui, année après année, sont venus gonfler la dette. De plus, ces déficits n’ont pas servi à financer des investissements porteurs d’avenir, mais essentiellement à couvrir les dépenses courantes. Au-delà des chiffres, examinons la signification concrète des notions de déficit et de dette. Le déficit mesure le volume d’impôts supplémentaires qu’il aurait fallu prélever pour assurer l’équilibre des comptes publics. Le déficit est donc un impôt différé, reporté sur l’avenir. La dette est le reflet du cumul des déficits au cours des années. La dette représente donc la somme des impôts reportés sur les générations futures. Dans une démocratie, les impôts exigés des citoyens sont votés par leurs représentants élus. Or, par la dette, les générations futures héritent d’un cumul d’impôts impayés par leurs aînés. Ce sont des impôts que les générations futures auront à subir sans les avoir votés. Les déficits – et leur conséquence, la dette – sont donc des dénis de démocratie. Mais on peut encore s’attendre à pire. Certains économistes (notamment les économistes atterrés, mais pas qu’eux !) estiment que le montant de la dette n’est pas un problème car, selon eux, il est gagé sur l’ensemble des patrimoines français, État et particuliers confondus. En cas de difficulté pour honorer la dette, l’État pourra donc mettre à contribution le patrimoine des citoyens. Cela veut dire qu’en cas de difficulté financière, l’État pourra nationaliser ou, en d’autres termes, spolier tout ou partie des patrimoines privés. Or le respect de la propriété privée fait partie des droits fondamentaux énoncés dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen depuis 1789. Une telle mesure serait identique aux spoliations décidées par les Soviets après la 1ère guerre mondiale. La France, pays déjà le plus marxiste d’Europe, deviendra le premier pays soviétisé. Bel avenir en perspective ! Merci, M. Macron, vous resterez dans l’Histoire !