Publié par Guy de Laferrière le 19 mars 2023

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Publié par Guy de Laferrière le 19 mars 2023

Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

Les enlèvements en plein jour suivis de séquestration ont considérablement augmenté ces derniers mois dans l’Hexagone. Ils concernent généralement des personnes impliquées dans le trafic de drogue et n’épargnent aucune région du pays.
Un jeune homme frappé, brutalisé et sous la menace d’une arme, jeté de force dans le coffre d’une voiture par quatre agresseurs masqués. La scène se déroule en plein jour, le 8 janvier dernier, à Villeparisis (Seine-et-Marne). Au cours de l’enquête, les policiers retrouvent la victime à son domicile à l’autre bout de la région parisienne. Elle n’a pas souhaité déposer plainte. À Marseille (Bouches-du-Rhône), mais aussi un peu partout en France, les affaires de séquestration se sont multipliées ces dernières années. 128 ont été comptabilisées en 2022, soit une tous les trois jours en moyenne.
L’enlèvement est une violence souvent destinée à régler des conflits dans le milieu des narco-trafiquants. “Le mobile d’un enlèvement-séquestration est, dans la très grande majorité des cas, lié au trafic de stupéfiants. Il s’agit de recouvrer une dette, de régler un contentieux au sujet de marchandises qui n’ont pas été livrées, qui n’ont pas été payées ou qui ont été volées“, explique Yann Sourisseau, chef de l’Office centrale de lutte contre la criminalité organisée. Pour les victimes, ces méthodes peuvent parfois s’avérer de simples avertissements, visant à leur faire peur.
Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

Alors que plusieurs milliers de tonnes de déchets jonchent les trottoirs de la capitale, laissant craindre l’apparition de risques sanitaires, une association de défense de la cause animale va manifester samedi 18 mars pour défendre les rats, rapporte Le Parisien. “Baroque”, “ridicule”, “hors sol”… L’initiative de PAZ, organisée “bien avant” le début de la grève des éboueurs, fait tiquer les acteurs locaux.
À 13h30, Paris animaux zoopolis organise un “petit happening pour défendre les rats et les animaux liminaires”, place Saint-Sulpice, dans le VIe arrondissement de Paris. Les militants ont prévu de “sensibiliser les passants“, de “brandir des silhouettes de rats pour faire changer le regard que l’on porte sur eux” ou encore de faire des discours.
“Il est grand temps de cesser d’empoisonner massivement les rats, exige auprès du Parisien Amandine Sanvisens, cofondatrice de PAZ. Il faut expérimenter d’autres méthodes.” Objectifs : “interpeller la mairie de Paris“, “mettre le sujet rat sur la table” et “obtenir une réponse sur le groupe de travail que nous avons demandé“.
L’association dénonce également les “méthodes cruelles” utilisées par la ville pour tuer ces “animaux étonnants, intelligents, sociaux et même rieurs, dotés de surprenantes capacités d’empathie“.
“Je ne suis pas sûr que leur manifestation de ce samedi, en pleine grève des éboueurs, soit bien comprise. Ça paraît un peu baroque en ce moment ! C’est peut-être d’ailleurs un coup de com“, s’interroge le maire LR du VI arrondissement, Jean-Pierre Lecoq, interrogé par le Parisien. “On a fait notre demande auprès de la préfecture de police bien avant la grève des éboueurs, répond Amandine Sanvisens. Ça n’a aucun rapport. Et ça fait depuis 2008 qu’on a lancé notre campagne sur les rats.”
En attendant, la manifestation n’est pas du goût des spécialistes de la question. “Cette manifestation est ridicule et complètement hors sol, s’insurge Romain Lasseur, biologiste, spécialiste des rats, doctorat de toxicologie animale. Ce n’est ni le lieu ni le moment, en plein milieu de ce mouvement social qui fait souffrir les Parisiens, avec des rats et un risque sanitaire.”
Interrogé par le Parisien, Christophe Farinet, figure syndicale chez les éboueurs et encadrant et secrétaire général adjoint à la CGT propreté assainissement, minimise la portée du sujet. “Il n’y a pas plus de rats que d’habitude. D’ailleurs, après les grosses grèves comme en 2010, quand les éboueurs avaient repris le travail, on n’avait pas remarqué de pics des populations de rats“, explique-t-il.
actu.orange via fdesouche
Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

Rayane a pris un avocat et il a bien fait. Ce dernier va soulever plusieurs points contestables à son procès, cette semaine, pour « violences aggravées », « refus d’obtempérer », « conduite sous stupéfiants » et « détention de stupéfiants ». Les faits paraissent graves, mais au final l’affaire va un peu se dégonfler.
Retour en arrière : le 20 septembre 2022, Rayane est sur sa trottinette électrique boulevard Thiers. Des policiers veulent le contrôler mais il refuse de s’arrêter. « Pourquoi ? », demande la juge. « J’ai eu de mauvaises expériences avec la police dans le passé, j’ai eu peur. » « Ce n’est pas parce que vous aviez du cannabis sur vous ? » « Oui, aussi… »
Rayane décide d’accélérer sur sa trottinette. Il fait des pointes à 60 km/h, selon les policiers qui le prennent en chasse dans leur voiture. Un autre équipage est prévenu et, à l’intersection avec la rue Barrouin, trois fonctionnaires à pied lui barrent le chemin. Rayane affirme qu’il ne les a pas vus : « Je regardais mon téléphone, c’est en relevant la tête que je les vois au dernier moment. »
[…]
Son mea culpa et la procédure bâclée vont amener les juges à se montrer cléments : le parquet avait requis entre six et huit mois de prison avec sursis, Rayane écope finalement de 90 jours-amendes à 10 euros.
Le Progrès via fdesouche
Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

Gérald Darmanin a annulé son déplacement en Gironde et convoqué tous les préfets de France ce vendredi matin à 10h30 pour une visio-conférence sur la situation sociale après le recours au 49-3 pour imposer la réforme des retraites. La participation de tous les préfets était obligatoire, selon Mediapart. L’ampleur et la violence des manifestations de mécontentement d’hier soir inquiète les services de police.
Tous les députés Renaissance sont placés sous protection policière par peur de représailles. Ne parlons pas des ministres invités à réduire leurs déplacements au strict nécessaire et sous haute protection. Combien coûte une telle mesure ?
Source : medias-presse.info