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Après sept ans de testostérone et plusieurs opérations chirurgicales, à 26 ans, elle veut retrouver son corps de femme. Mais c’est trop tard. À l’état civil, elle est encore un homme.
«J’ai détruit mon corps, mais on m’y a aidée. J’ai détruit mon corps en pensant que ça irait mieux. (…) Je n’ai plus de seins. Je n’ai plus d’utérus. Je n’ai plus d’ovaires…
Dans une tribune publiée dans L’Express, 52 personnalités parmi lesquelles Elisabeth Badinter, l’épouse de celui qui a défendu l’abrogation de la peine capitale, se prononce en faveur de l’assassinat des personnes désespérées (ou pas).
Une tribune pour promouvoir “Un combat humaniste”, parue le 9 décembre, journée de la laïcité et de la franc-maçonnerie.
Le groupe Cofigeo (William Saurin, Garbit, Raynal et Roquelaure et Zapetti) va stopper 80 % de sa production à partir du 1er janvier 2023 en raison du coût délirant (et artificiel) de l'énergie en France. Ce n'est sûrement que le début d'une longue série, que ce soit dans le domaine agro-alimentaire ou ailleurs.
Il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que l'obstination de l'Union Européenne à aligner le prix de vente de l'électricité sur le marché sur le coût marginal de production des centrales thermiques allait aboutir à l'effondrement de la production.
En effet, aucune entreprise ne peut produire à perte. Donc elles vont stopper - provisoirement ou définitivement pour les moins solides - leurs activités.
L'engrenage est inéluctable et va entraîner un effondrement économique aux conséquences probablement dramatiques pour les Français.
Les rayons vides, les queues devant tous les magasins et les tickets de rationnement risquent de devenir notre quotidien dans les mois à venir. Et je vous laisse imaginer le comportement de la population immigrée dans ce contexte de pénurie générale...
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été nommé « personnalité de l’année » par le magazine américain Time, qui a aussi rendu hommage à l' »esprit de l’Ukraine ».
« Que la bataille pour l’Ukraine suscite de l’espoir ou de la peur, Volodymyr Zelensky a galvanisé le monde d’une manière que nous n’avions pas vue depuis des décennies », a écrit le rédacteur en chef du Time Edward Felsenthal.
Mercredi, le président russe Vladimir Poutine a fait le point sur la guerre en public lors d’une séance télévisée du Conseil des droits de l’homme. Selon au moins un média régional indépendant, les questions posées par les responsables du Kremlin étaient étroitement contrôlées.
Parmi les sujets les plus importants qu’il a abordés en rapport avec l' »opération militaire spéciale » menée en Ukraine depuis maintenant dix mois, citons les plans futurs de mobilisation plus large et la perspective de déploiement de moyens nucléaires. Sur ce dernier point, M. Poutine s’en est pris aux États-Unis et à l’OTAN, déclarant que « la Russie n’a pas d’armes nucléaires tactiques dans d’autres pays, contrairement aux États-Unis ».
Il faisait ainsi référence au fait que certains membres de l’OTAN en Europe, y compris jusqu’en Turquie, accueillent de nombreuses armes nucléaires tactiques américaines dans le cadre du parapluie de défense de l’OTAN. « Nos forces nucléaires sont dans un état plus avancé que n’importe quel autre pays du monde », s’est-il vanté à un moment donné.
Poutine : « Nous avons les armes les plus avancées, mais nous ne voulons pas les brandir ».
Il est important de noter que, compte tenu de l’augmentation de la quantité d’armes fournies par les États-Unis et l’OTAN aux forces ukrainiennes, qui ont récemment transféré des missiles de plus en plus sophistiqués et de plus longue portée, M. Poutine a averti que « le risque de guerre nucléaire dans le monde augmente ».
Il a également profité de l’occasion pour réaffirmer la doctrine nucléaire « défensive » de la Russie, en soulignant que les armes nucléaires seraient envisagées comme une réponse à une attaque contre le territoire russe, tout en déclarant qu’il est prêt à défendre le territoire russe « en utilisant tous les moyens disponibles ».
Selon une traduction des propos de Poutine dans Sky News :
« Nous n’avons pas parlé de l’utilisation d’armes nucléaires ». Puis, il a déclaré : « La Russie n’est pas devenue folle. »
« Nous avons les armes les plus avancées, mais nous ne voulons pas les brandir ».
Mais en s’en prenant aux déploiements nucléaires de Washington en Europe, il a semblé suggérer que c’est précisément la partie américaine qui fait le coup de sabre nucléaire.
« Oui, nous le ferons de différentes manières et par différents moyens. Tout d’abord, bien sûr, nous nous concentrerons sur les moyens pacifiques, mais si rien d’autre ne subsiste, nous nous défendrons avec tous les moyens à notre disposition », a déclaré M. Poutine.
Les grands médias occidentaux vont plus que probablement interpréter ces commentaires comme une nouvelle « menace » selon laquelle la Russie est prête à mener une attaque nucléaire si elle est acculée en Ukraine. Pourtant, comme la fois précédente où il a fait des déclarations similaires, le dirigeant russe a en fait expliqué la nature défensive de la politique nucléaire officielle du pays contre les menaces « existentielles » pour le territoire russe.