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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 642

  • Covid-19 : la filière française de masques, voulue par Macron, vire au fiasco “La France pourrait bientôt se retrouver dans la même situation qu’avant le Covid”

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2022

    Alors que l’épidémie fait son grand retour pour les fêtes, le président du Syndicat des fabricants français de masques lance un appel au secours. La France pourrait bientôt se retrouver dans la même situation qu’avant le Covid.

    À l’heure où la France traverse une neuvième vague épidémique de Covid-19, les appels à un retour du port du masque obligatoire, notamment dans les transports, se multiplient. Cela pourrait paradoxalement être une bonne nouvelle pour les fabricants français de masques, dont beaucoup sont à l’agonie, à en croire Christian Curel, le président du Syndicat des fabricants français de masques (F2M). Celui-ci va même plus loin : selon lui, c’est toute la filière française, qui s’est développée à vitesse grand V en 2020 à l’appel d’Emmanuel Macron, qui est désormais menacée de disparition.

    Le figaro via fdesouche

  • Hérouville-Saint-Clair (14) : institutrice à la retraite, Catherine vivait depuis trois mois sous une tente, Quentin, un ancien élève de CP, lui vient en aide

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2022

    Alors que l’Observatoire des inégalités vient de dévoiler, ce mardi 6 décembre 2022, ses données sur la pauvreté en France et dans les départements, Catherine, elle, dévoile son quotidien. Cette ancienne institutrice de 60 ans surendettée a été expulsée de son logement à Hérouville-Saint-Clair, près de Caen (Calvados). Elle se retrouve à la rue et dort sous une tente depuis près de trois mois. Elle a régulièrement la visite de la police municipale qui passe pour s’assurer de sa sécurité. Mais, passé minuit, il ne reste que le numéro d’urgence 17. Elle attend désespérément que son dossier social avance.

    Il y a quelques années, Catherine travaillait comme institutrice près de Lisieux. Comme le racontent nos confrères de chez Ouest-France, la sexagénaire avait étudié l’histoire de l’art, à l’université de Caen, dans ses jeunes années. Elle par la suite travaillé comme formatrice pour adultes, avant d’intégrer les bancs de l’école. Pendant 20 ans, elle enseigne, mais explique avoir progressivement perdu la confiance de sa direction. En 2017 , elle finit par quitter son mari et tombe en dépression. À 55 ans, Catherine abandonne l’Éducation Nationale, et se retrouve sans travail.

    Quelques années plus tard, la crise liée à la pandémie de Covid-19 aggrave la situation de l’ancienne institutrice. Catherine se fait diagnostiquer un cancer du sein. Avec 20 000 euros d’impayés, elle est priée de quitter son logement. Un huissier lui demande de plier bagage : Catherine ne prend que quelques affaires et son chien. Le braque allemand est déposé dans un refuge, pour quelque temps. Catherine elle, trouve une chambre dans un foyer d’urgence. L’ancienne institutrice a alors seulement droit à l’Allocation de solidarité spécifique (ASS). Catherine passera plusieurs mois dans ce foyer, mais en septembre, elle se fracture la clavicule. Après un séjour à l’hôpital, elle apprend qu’elle a perdu sa place dans son foyer.

    On lui trouve alors une chambre à l’hôtel Ibis Budget d’Hérouville-Saint-Clair qui accepte les chiens, et qui héberge déjà des sans-abri. Mais au bout d’une semaine, elle est priée de quitter les lieux, à cause du chien : “Mon chien a gratté la peinture, on m’a dit qu’il était trop gros. Pourtant, je payais un supplément pour lui“, explique la retraitée. Depuis, Catherine attend désespérément que son dossier social avance.

    La Dépêche

    Accablée par les dettes, la sexagénaire a été expulsée de son logement en septembre dernier. La retraitée plante désormais sa tente au pied d’un hôtel Ibis Budget et vit au gré des gestes pleins de solidarités de passants et habitués du quartier. Une tente étanche achetée par un salarié de l’hôtel, des couvertures financées par un architecte qui n’habite pas très loin, un accès libre aux sanitaires de l’établissement hôtelier…

    Après son témoignage dans nos colonnes (édition du mercredi 7 décembre 2022), Catherine, l’ex-institutrice qui vivait sous une tente à Hérouville-Saint-Clair depuis trois mois a reçu beaucoup de visites, de messages de soutien et d’aides. Ce vendredi 9 décembre, un ancien élève est venu la chercher pour la mettre à l’abri.

     « Je ne vais pas vous revoir lundi, je pars en gîte ! Ce soir, je passe la nuit au chaud », lance-t-elle au couple d’entrepreneurs qui auront été ses plus proches voisins, durant ses trois mois de camping sauvage dans la zone artisanale d’Hérouville-Saint-Clair. Catherine, institutrice à la retraite, a vécu sous une tente à Hérouville-Saint-Clair pendant trois mois. Elle avait témoigné de sa situation, plus que difficile, dans les colonnes de Ouest-France, mercredi 7 décembre 2022. Depuis la parution de l’article, très relayé sur les réseaux sociaux, « c’est de la folie », raconte Catherine, dont le téléphone sonne à chaque nouvelle notification.

    D’anciens amis et collègues ont repris contact et de nombreux inconnus ont témoigné leur soutien.

    Ouest-France

  • "LFAR, média diffuseur de peur (nouvelle catégorie inventée par Manu) mais avec un peu d’humour quand même..."

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2022

    lafautearousseaul

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  • Prix de l’électricité : Un boulanger en liquidation judiciaire alors que son carnet de commandes est plein à craquer

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2022

     

    Macron a rendu hommage à la baguette, inscrite au patrimoine immatériel de l’Unesco, pendant que les boulangers mettent la clé sous la porte, endettés par le prix de l’énergie dû à sa politique. Une nouvelle catégorie professionnelle est en cours de destruction et la France est une nouvelle fois tournée en ridicule par cette autopromotion.

    « Avant, je payais 4 500 € annuellement. Alors là, maintenant, je suis passé à 13 000 € – 14 000 € annuels. C’est un scandale. Moi je veux dénoncer tous ces ministres, tous ces élus qui font de la propagande sur tous les médias. La semaine dernière, on a vu Bruno Le Maire sur BFM qui a dit qu’il ne laisserait crever personne, aucune entreprise, aucun commerçant. Moi, je suis scandalisé, je suis révolté, j’en ai envie de tout brûler, je suis en colère, je suis… je suis en liquidation judiciaire. Je suis endetté. Mais putain ! mais les boulangers sont en train de crever à petit feu et on va mettre la baguette au patrimoine de l’Unesco. »

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1600582232598802434

     

  • Contrôle des médias : 140 millions d’euros d’argent public pour l’AFP

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2022

    Auteur : 

    Les détails du projet de loi des finances pour 2022-2023 permettent de constater que l’Etat augmente encore son effort en faveur de l’AFP, comme l’indique un document du Sénat.

    « L’Agence France Presse (AFP) devrait bénéficier en 2022 d’une dotation équivalente à celle accordée en loi de finances pour 2021, soit 139,48 millions d’euros (AE = CP). Celle-ci intègre le paiement des abonnements commerciaux de l’État, soit 21 655 380 euros et la subvention accordée à l’agence, au titre de la compensation de ses missions d’intérêt général (MIG), soit 117,82 millions d’euros ».

    Il convient de rappeler à ce stade que le montant des crédits de paiement versés à l’AFP au titre de ses missions d’intérêt général a progressé de près de 8 % entre 2015 et 2021. Cette augmentation des crédits s’est accompagnée, en outre, d’une modification du calendrier de versement : la subvention est désormais versée en une fois, en début d’année ». 

    Cependant le périmètre de l’agence va continuer à se réduire – elle emploie aujourd’hui 2600 personnes dont 1700 journalistes, en 2023, ce sera 95 de moins, dont 23 journalistes, principalement au siège parisien. La doxa libérale du toujours plus avec moins est respectée.

    Le confort des dirigeants aussi, motivé par de vagues économies déjà absorbées par l’inflation : « le regroupement des équipes parisiennes sur le seul site de la Place de la Bourse pourrait générer, à terme, des économies de l’ordre de 2,5 millions d’euros, via notamment la fin du bail rue Vivienne. Reste que le préalable à celui-ci passait par des travaux dans le siège historique de l’agence estimés fin 2019 à 8 millions d’euros. Le coût a été réévalué depuis pour atteindre 8,8 millions d’euros, afin de prendre en compte le coût de travaux de désamiantage« .

    L’on remarquera au passage que l’AFP a des biais idéologiques toujours plus présents… mais réussit à se maintenir en Afghanistan malgré le régime taliban : « le changement de pratiques – articles plus longs et plus fouillés, axe mis sur les incidences du changement climatique, utilisation des plateformes comme Facebook – et le maintien d’une présence dans certains pays, à l’image de l’Afghanistan ont également permis à l’Agence de renouveler son modèle et de conserver, en large partie, la fidélité de ses abonnés. Ce faisant, l’AFP reste moins dépendante des revenus publicitaires que ses concurrentes« .

     

    Source : medias-presse.info