Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2022


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Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2022
Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2022
Mercredi soir était diffusé « L'Événement », émission de France 2, premier numéro d'une série d'interviews politiques. À tout seigneur tout honneur, cette première était consacrée à un entretien avec Emmanuel Macron. En deux parties, nous précise-t-on : la seconde sera diffusée dans deux semaines.
Le thème choisi était « le monde en crise ». Ukraine, carburant, Iran, Arménie, climat : le Président a fait le job, à sa manière, c'est-à-dire avec pédagogie, mais en oubliant systématiquement plusieurs points importants. Sur l'Ukraine, nous allons continuer à armer le régime de Zelensky, tout en nous tenant loin de l'escalade, afin de ne pas devenir cobelligérants. Nous allons également continuer à livrer des canons, et quand il n'y en aura plus, ma foi, on se débrouillera. La coalition montée par la Russie et la Biélorussie arrache au Président une formule : le président biélorusse, dit-il, se prépare à mener une guerre « contre l'avis d'une bonne partie de son peuple ». Je ne me souviens pas qu'on nous ait demandé le nôtre.
Sur le carburant, lié au contexte, évidemment, comme les pénuries d'huile et de moutarde, par exemple, la France s'en tire bien. Comme sur les prix de l'énergie, d'ailleurs. Les graphiques le prouvent. Le reste, y compris la disparition de l'État dans les stations-service de banlieue, relève probablement du ressenti. Le Président souhaite la poursuite du dialogue social mais veut réquisitionner les salariés. En même temps.
Sur l'Arménie, ma foi, malgré les mises en garde de Sylvain Tesson, Emmanuel Macron estime avoir fait ce qu'il fallait : n'a-t-il pas reçu les chefs d'État arménien et azerbaïdjanais à Paris pour leur dire de faire la paix ? Et puis, on ne va quand même pas livrer des canons à l'Arménie. Ce n'est pas pareil.
Sur l'Iran, un petit mot sur l'universalité de la laïcité, preuve que les sorties de la gauche sur l'aveuglement occidental sont parfois vraies. Aveuglement double, d'ailleurs, puisque le Président se garde bien d'émettre un avis sur le port du voile en France.
Un détour par la récitation du catéchisme sur le climat et son urgence... et surtout, incidemment, de lourds appels du pied à une gouvernance européenne. On sait qu'Emmanuel Macron hésiterait entre le « coup de Medvedev », c'est-à-dire se représenter en 2032 après avoir trouvé un homme de paille pour l'intérim (la Russie a parfois du bon), et briguer la présidence d'hypothétiques États-Unis d'Europe. Avance-t-il ses pions ? Peut-être.
Au bilan, un numéro de voltige déjà vu mille fois, mais qui contient - une fois n'est pas coutume - une leçon macronienne pleine de sagesse : les Français, dit-il, attendent tout du chef de l'État. Il n'a pas dit ça comme ça, mais en creux, cela veut un peut dire ça : « Ce n’est pas au président de la République de faire les négociations d’entreprises », a-t-il dit exactement. C'est pas faux. Comme les Français attendent d'ailleurs beaucoup de l'État tout court. C'est même cela qui les anesthésie et doit les empêcher de se révolter. Et c'est d'ailleurs cela que vise sans doute le Président, en fin de compte, quand il aura vaincu les crises. En effet, son avant-dernière prise de parole définit bien son véritable objectif : financer notre modèle social. Celui-là même dont profitent des centaines de milliers d'étrangers qui arrivent chaque année sur notre sol, et qui maintient les Français pauvres dans un état de dépendance presque végétatif. Chapeau, l'artiste !
Arnaud Florac
Source : http://bvoltaire.fr
Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022
Une famille tchétchène occupe illégalement une belle demeure quartier de la Cépière. Le propriétaire a tenté de les faire partir en vain. Il a peur qu’ils détériorent cette belle demeure du quartier de la Cépière à Toulouse hérité de son père mort en 2021.
Accompagné d’une femme portant un tchador aux couleurs pâles, Asrab, 20 ans, né à Goudermès, la deuxième plus grosse ville de Tchétchénie, franchit la porte d’entrée de la maison qu’il squatte depuis le 7 octobre, sans presser le pas. Il aperçoit Bruno le propriétaire de cette belle bâtisse située chemin d’Abadie, quartier de la Cépière.
Sûr de lui, Asrab lâche cette phrase lourde de sens: « Vous vous souvenez de ce qu’a dit la police ? Cela fait plus de 48 heures(*) que nous sommes ici. Ils ne peuvent plus nous déloger.»
Le ressortissant tchétchène renchérit : « Moi, je n’ai absolument peur de rien. Depuis que je suis petit, j’ai vu beaucoup de choses. Ce n’est pas le coup de pression de vos voisins qui va me faire bouger. S’ils recommencent, je vais les attraper. »
(…) « Avec mes sœurs et notre avocat Me Laspalles, on va lancer une action en justice pour récupérer notre bien mais on sait que cela va prendre du temps. Cette maison, c’était celle de mes grands-parents puis de mon père. C’est terrible de la voir occupée par des inconnus. Maintenant, je n’espère qu’une chose, c’est qu’ils ne fassent pas de dégâts, que le bien ne perde pas trop de valeur…», soupire Bruno.
La Dépêche via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022
Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2022
Les policiers romanais enquêtaient depuis la fin du mois d’août sur des vols commis dans une entreprise. Grâce aux images de vidéosurveillance, ils étaient parvenus à identifier le suspect comme étant un étranger en situation irrégulière se déclarant SDF sur Romans. Finalement, lors d’une patrouille, l’homme a été repéré et interpellé ce lundi 10 octobre dans le quartier de la Monnaie.
Placé en garde à vue, il a reconnu les faits. Faute de place en centre de rétention administrative en vue d’une expulsion, l’homme a été remis en liberté en attendant un jugement en novembre 2023.
Le Dauphine via fdesouche