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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 820

  • Lyon : des professionnels de la restauration et de l’hôtellerie dénoncent l’insécurité «dans la capitale de la gastronomie» et «le manque d’action et de réactivité des élus»

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2022

    C’est un constat “sans appel” que dresse ce lundi la section du Rhône de l’Union des métiers et de l’industrie dans un communiqué : “Les Lyonnais et les touristes ne se sentent plus en sécurité dans la capitale de la gastronomie”. L’UMIH dénonce par la même occasion “le manque d’action et de réactivité des élus face au problème grandissant d’insécurité” à Lyon. Une pique directement adressée aux écologistes lyonnais.

    Depuis plusieurs mois, l’inquiétude grandit face à l’insécurité réelle et constatée chaque jour par les professionnels du secteur. De plus en plus d’agressions et d’actes de violences sont relevés. Les professionnels craignent pour la sécurité de leurs collaborateurs et de leurs clients. (…) Les salariés font part de leur crainte et peur à travailler dans ce secteur aux horaires décalés qui les confrontent directement à ce sentiment d’insécurité“, commente l’UMIH du Rhône qui met en avant “une image fortement dégradée” de Lyon.

    Les représentants de l’organisation réclament par conséquent “des discussions et solutions urgentes” avec les autorités. “Le secteur de l’hôtellerie et de la restauration fait partie de l’image de la capitale de la gastronomie, il est le reflet de son accueil, de son éclat. Les professionnels veulent pouvoir exercer leur métier dans de bonnes conditions et dans un esprit convivial à l’image de leur métier“, conclut l’UMIH du Rhône.

    Lyon Mag via fdesouche

  • 400 000 étudiants étrangers en France : augmentation de 8 % au cours de l’année 2021-2022, six pays africains se retrouvent dans le top 10

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2022

    A la veille de la rentrée universitaire, la France affiche une augmentation record du nombre d’étudiants internationaux. Six pays africains se retrouvent dans le top 10. Après une année universitaire 2020-2021 de relative stagnation, marquée par la crise pandémique, le nombre d’étudiants étrangers en France a augmenté de 8 % au cours de l’année 2021-2022, selon Campus France. C’est « la croissance interannuelle la plus forte depuis 2005 », indique le communiqué publié par l’agence chargée de l’accueil des étudiants étrangers, qui précise qu’« en incluant les apprentis du supérieur, le seuil des 400 000 étudiants étrangers en France vient tout juste d’être franchi (400 026) ». Les projections de Campus France sur les cinq prochaines années laissent présager que la mobilité des étudiants africains augmentera davantage.

    Ce rebond semble se confirmer cette année. D’après Campus France, qui s’appuie sur des chiffres fournis par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et la sous-direction des systèmes d’information et des études statistiques, « fin 2022, plus de 140 000 étudiants issus de 70 pays dans le monde entier avaient déposé une candidature via [la plateforme] Etudes en France. Un nombre record, en hausse de 18 % par rapport à la situation pré-Covid ».

    La progression la plus importante concerne les zones Amériques (avec 15 % d’étudiants supplémentaires) et Europe (+ 13 %). L’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, en tête pour ce qui est du nombre d’élèves accueillis, connaît une hausse de 10 % des mobilités. Et pas moins de six pays africains figurent dans le top 10 des pays d’origine des étudiants étrangers inscrits dans l’enseignement supérieur français en 2021-2022 : le Maroc, l’Algérie, le Sénégal, la Tunisie, la Côte d’Ivoire et le Cameroun.

    En ce qui concerne les filières choisies, les étudiants subsahariens sont près d’un tiers à être inscrits dans des formations en sciences. Les Mauritaniens (pour 50 % d’entre eux) et les Ethiopiens dominent dans ce cursus. « 25 % des étudiants subsahariens suivent des formations en lettres, langues et sciences humaines et sociales, contre 30 % pour l’ensemble des étudiants étrangers. A l’inverse, ils sont surreprésentés dans les cursus en droit et science politique (16 %) et en économie et administration économique et sociale (22 %), en particulier avec les Malgaches (31 %) et les Centrafricains (30 %) », détaille Judith Azema, chargée de communication de Campus France.

     « En cinq ans, la plus forte hausse concerne les étudiants venus d’Afrique subsaharienne (+ 41 %), estime le rapport ‘Chiffres clés’, qui sera publié dans les prochains jours. Les étudiants de cette zone représentaient un étudiant étranger sur cinq en 2015, ils en représentent un sur quatre en 2020. » « Ce qui évoque plutôt une évolution positive dans le parcours des candidats, note Judith Azema. Pour ce qui concerne la mobilité étudiante, les chiffres indiquent que l’attractivité de la France augmente constamment et fortement sur une période significative. »

    Le Monde via fdesouche

  • Depuis juillet, il est possible de changer son nom de famille sur simple demande. Patrick, qui porte le nom de famille africain de son père, songe à y adjoindre celui de sa mère, d’origine française, “pour ne plus subir le racisme qui y est rattaché”

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2022

    Depuis le 1er juillet 2022, il est possible de changer son nom de famille par simple déclaration à l’état civil. À Paris et en Île-de-France, certains ont déjà passé le cap.

    Avant le 1er juillet 2022, changer son nom de famille devait être justifié par un motif légitime, tel qu’un nom difficile à porter, ridicule ou rendu célèbre dans les médias et porteur d’une mauvaise réputation.

    Pouvoir changer son nom de famille fait souvent partie d’un processus de reconstruction personnelle. Pouvoir le faire sans avoir à se justifier, c’est « une façon de relancer les dés ».

    Pour certains, le passage de la loi permet au moins de se poser la question, d’envisager ce que pourrait permettre un changement de nom. Patrick Ndiaye ne veut pas particulièrement se défaire du nom de son père, seulement ne plus subir le racisme qui y est rattaché. « Je voudrais y ajouter le nom de ma mère, Bellaud. Juste pour être tranquille », raconte-t-il.

    Actu Seine-St-Denisvia fdesouche

  • Hausse de salaire de 1000 euros par mois pour les juges judiciaires, annonce Dupond-Moretti

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2022

    Une « revalorisation inédite ». Éric Dupond-Moretti a annoncé ce lundi matin sur le plateau de BFMTV une hausse de salaire de 1000 euros par mois pour les juges judiciaires. « Je veux que les magistrats de l’ordre judiciaire soient payés comme que les magistrats de l’ordre administratif », a expliqué le ministre de la Justice qui affirme qu’ils n’ont « pas été revalorisés depuis 1996 ».

    L’augmentation sera de « l’ordre de 1000 euros brut en moyenne » par mois, a ajouté le garde des Sceaux, qui n’a précisé ni le calendrier ni le coût de cette mesure.

    Le ministre affirme ainsi vouloir mettre fin à des « années d’abandon » et s’attaquer aux problèmes « d’attractivité » de l’ordre judiciaire.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • L'Algérie, elle, sait refouler les migrants sub-sahariens, y compris mineurs.

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2022

    lafautearousseau

     

    L'Algérie, elle, sait refouler les migrants sub-sahariens, y compris mineurs. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois, et cela ne fait s'étrangler personne, chez les bobos/gauchos/trotskos... Alors, on attend quoi, chez nous ? Pour faire pareil (en plus grand, bien entendu; beaucoup, beaucoup plus grand...)

    https://www.rfi.fr/fr/afrique/20220910-niger-pr%C3%A8s-de-800-migrants-refoul%C3%A9s-par-l-alg%C3%A9rie-dont-des-dizaines-de-mineurs

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