Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

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Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

Une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nïmes échangeait des messages avec deux détenus qui avaient des téléphones portables en prison. La jeune femme est condamnée à six mois de prison assorti d’un sursis. Le tribunal a prononcé une interdiction d’exercer la fonction de policier ou de gendarme pendant cinq ans.
Sonia (le prénom a été modifié), jeune policière adjointe à Nîmes n’a pas su ou pas voulu couper les ponts avec ses amis du Chemin-Bas-d’Avignon. Des téléphones appartenant à des amis du quartier en détention et connus pour leurs antécédents judiciaires ont été saisis en septembre 2021 lors d’une fouille en prison.
Un officier de police judiciaire a découvert que l’une des personnes contactées avec ces téléphones portables était une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nîmes. L’un des détenus lui annonçait qu’il allait être placé en garde à vue. “T’es sûr ? C’est bon. T’inquiètes. Tu as besoin de quoi ? J’y serai à 6 heures (NDLR : au commissariat) “, lui répond la jeune femme après avoir vérifié l’information sur le registre des gardés à vue.
[…]
Midi-Libre via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

Le projet, soutenu par le préfet à l’égalité des chances et la municipalité, apporte une solution aux difficultés d’hébergement des migrants que connaît la ville.
Ils l’appellent « le Saint-Bazile », du nom de la rue qui abrite ce bâtiment Art déco, à quelques pas de la Canebière, dans le centre de Marseille (1er arrondissement). L’immeuble de cinq étages, qui fut pendant un temps l’une des vitrines locales du Parti communiste français, abrite une expérience inédite dans une ville où un demandeur d’asile sur deux ne trouve pas d’hébergement officiel. Squatté depuis l’été 2021 et autogéré par une association de migrants, le Saint-Bazile fait l’objet, depuis le 1er juillet, d’une convention d’occupation temporaire avec son propriétaire, l’établissement public foncier Provence-Alpes-Côte d’Azur. La présence d’une quarantaine d’habitants y est légalisée pour neuf mois.
« Ici, on se sent en sécurité. Il n’y a pas de bagarres, pas de trafic de drogue… », sourit Moses Bright, 28 ans. Dans la cuisine commune du quatrième étage, sommairement équipée, ce Nigérian prépare à manger pour son fils de 20 mois et sa compagne. A son arrivée à Marseille, deux ans plus tôt, le couple a trouvé refuge dans le squat géant de la cité des Flamants, tenu par des marchands de sommeil et des réseaux de stupéfiants. Un incendie d’origine criminelle, qui a provoqué la mort de trois personnes, a entraîné l’évacuation du bâtiment et renvoyé la famille à la rue. Jusqu’à ce qu’il rencontre le Saint-Bazile. Moses, comme les autres habitants, a aidé à repeindre les murs, à carreler une salle de bains. Tous les quinze jours, raconte-t-il, il se rend à la réunion des occupants, et, chaque dimanche, participe au ménage des espaces partagés. « Et quand il y a un problème, on peut parler avec les gens », conclut-il.
A l’étage au-dessus, sur la terrasse où il leur arrive de dormir par temps de canicule, Amidu Kamara et Salieu Bamba se disent, eux aussi, « soulagés ». Ces deux Sierra-Léonais, respectivement âgés de 34 et 25 ans, en France depuis plus de trois ans, occupent chacun une des vingt-deux chambres du Saint-Bazile. « Nous dormions dans la rue quand Alieu est venu nous parler de l’immeuble. Il a juste dit qu’il y avait un règlement intérieur : pas de drogue, pas de prostitution, pas de business, pas de bruit qui puisse gêner les voisins… », détaille le plus jeune.
Alieu, c’est Alieu Jalloh, 35 ans. Lui aussi est sierra-léonais. En France depuis 2017, celui qui était commerçant au pays a vécu le parcours précaire du migrant avant d’obtenir son statut de réfugié pour dix ans, en novembre 2021. Il ne vit pas au Saint-Bazile, mais il veille à son bon fonctionnement. Expulsé du premier squat où il avait trouvé refuge, Alieu a lancé, en 2019, avec une poignée d’autres migrants, l’Association des usagers de la plate-forme d’accueil des demandeurs d’asile (AUP). […]
Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

Depuis le 2 mars, les médias d’Etat russes Sputnik et RT (anciennement Russia Today), sont interdits de diffusion dans l’Union européenne. La justice européenne a rejeté, mercredi 27 juillet, une demande d’annulation de cette suspension de la part de RT France. La Russie a réagi en menaçant les médias occidentaux de représailles.
La Cour de justice de l’UE, dans son arrêt, estime que l’interdiction “temporaire” (sic) de RT France ne remet “pas en cause” la liberté d’expression “en tant que telle”, et qu’elle est “proportionnée” (sic) à l’objectif d’éviter la “propagande” liée à “l’agression militaire de l’Ukraine”.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré :
“Nous allons prendre des mesures de pression similaires visant les médias occidentaux qui travaillent chez nous dans le pays”, a prévenu le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. “Nous n’allons pas non plus les laisser travailler dans notre pays”.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2022

L’Ordre des médecins déplore une hausse du nombre d’agressions contre les médecins, alors que ces derniers déposent rarement plainte. Les actes d’incivilité sont principalement verbaux.
Les agressions contre les médecins – principalement verbales – sont “reparties en hausse” l’an dernier, après une légère décrue en 2020 à cause du Covid, a indiqué mardi l’Ordre des médecins, déplorant “le peu de plaintes déposées” par les victimes.
Les confinements au début de la crise sanitaire avaient un peu enrayé la “hausse régulière des incivilités”, mais la tendance est “repartie à la hausse” en 2021, a déclaré lors d’une conférence de presse le Docteur Jean-Jacques Avrane, responsable de l’Observatoire de la sécurité du Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom).
Pour la 19e édition de cette étude annuelle réalisée avec Ipsos, 1009 fiches de déclarations d’incidents ont été remontées via les conseils départementaux. Soit un peu plus qu’en 2020 (955), mais encore moins que le record enregistré en 2018 (1126).
La réalité est sans doute bien supérieure, puisque le Cnom estime qu'”environ 30% des incidents sont signalés”, a précisé le Docteur Avrane, pointant notamment des “grosses lacunes” dans les hôpitaux qui préfèrent selon lui “régler leurs problèmes en interne”.