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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 816

  • Afrique du Sud : accusés de prendre les emplois des Sud-Africains et de nourrir la criminalité, les immigrés zimbabwéens «poussés dehors»

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    La communauté d’immigrés zimbabwéens, estimée entre 1,5 et 3 millions de personnes, est la cible de violences xénophobes mais aussi d’un durcissement de la politique migratoire.

    La première fois qu’on a rencontré Lise, un homme était en train de lui crier qu’elle n’avait rien à faire en Afrique du Sud. Qu’elle ferait mieux de retourner « chez elle », au Zimbabwe. Autour, un attroupement s’était formé. Les regards étaient hostiles. Le groupe avait organisé une opération de « nettoyage » des étrangers dans le township d’Alexandra, à Johannesburg. Son nom : « Opération Dudula » – « pousser dehors », en zoulou. Lise ne s’était pas démontée. C’était en avril. Depuis, les choses n’ont fait qu’empirer.

    Après l’avoir agressée devant des journalistes, les « gens de Dudula » sont revenus jeter le stock de son petit commerce à la poubelle. Au moins 300 euros de vêtements, une fortune dans le quartier. Et puis ils sont réapparus chaque matin pendant quinze jours pour fermer son magasin, à moins qu’elle ne leur donne de l’argent. Dans la rue, la majorité des commerçants étrangers ont cédé. Pas elle. Lise a fini par appeler la police et « les gens de Dudula » ont arrêté. Mais la commerçante vit dans la peur. Souvent, elle n’en dort pas la nuit. « Quand je monte dans un taxi maintenant, je ne dis plus rien jusqu’à ce que je descende », dit-elle. Elle craint d’être repérée à son accent.

    Comme Lise, ils sont des centaines de milliers de Zimbabwéens à voir leur rêve sud-africain s’effondrer. Dans les années 2000, le pays leur a offert l’asile à tour de bras, alors que le Zimbabwe sombrait dans l’autoritarisme et le chaos économique. Leur terre natale ne s’est jamais relevée et le flux ne s’est jamais tari. Ils seraient entre 1,5 et 3 millions dans le pays aujourd’hui – personne ne sait vraiment. Beaucoup n’ont pas de papiers. Mais une chose est sûre : les Zimbabwéens constituent, de loin, la première communauté étrangère en Afrique du Sud. Et la première cible de ceux, de plus en plus nombreux, qui voudraient fermer les frontières de la première destination migratoire du continent africain.

    Régulièrement secoué par des vagues de violences xénophobes depuis la fin des années 2000, le pays voit désormais le discours anti-étrangers prendre une dimension politique. Les Zimbabwéens, en particulier, sont accusés de « prendre le travail » des Sud-Africains – alors que 35 % de la population est au chômage – et de nourrir la criminalité. Sous pression, le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis la chute de l’apartheid, adopte une politique migratoire de plus en plus dure. En première ligne, les Zimbabwéens vivent en sursis dans un pays qui ne veut plus d’eux.  […]

    Le Monde via fdesouche

  • Condamné pour vol et violence sur conjoint et mineur, il refuse de quitter le territoire français et déclare : “L’intelligence de l’Algérie est de venir en France et de la coloniser, se marier et se multiplier pour convertir le pays à l’islam”

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS

    COUR D’APPEL DE RENNES

    N° 22/217 N° RG 22/00399 – N° Portalis DBVL-V-B7G-S5JW

    JURIDICTION DU PREMIER PRÉSIDENT

    O R D O N N A N C E

    […]

    Statuant sur l’appel formé le 05 Juillet 2022 à 18h55 […] pour :

    M. [N] [J] né le [Date naissance 1] 1993 à [Localité 2] de nationalité Algérienne

    […]

    d’une ordonnance rendue le 04 Juillet 2022 à 19h15 par le juge des libertés et de la détention du Tribunal judiciaire de RENNES qui a ordonné la prolongation du maintien de M. [N] [J] dans les locaux ne relevant pas de l’administration pénitentiaire pour une durée maximale de trente jours à compter du 04 Juillet 2022 à 09h26;

    […]

    M. [N] [J] a fait l’objet d’un arrêté du préfet du 20 juillet 2020 et du Finistere du 9 septembre 2021 prononçant une obligation de quitter le territoire.

    Il a été condamné par le tribunal correctionnel de BREST le 29 octobre 2021 à 8 mois d’emprisonnement et 5 ans d’interdiction de territoire français

    […]

    SUR QUOI,

    […]

    En l’espèce, la préfecture a motivé sa demande de seconde prolongation au motif que le retenu représente une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public.

    Il résulte des pièces du dossier que M. [N] [J] a été condamné pour des faits de vol et violences sur conjoint et mineur, a refusé volontairement de quitter le territoire et déclaré en audition: ‘L’époque où la France baise l’Algérie est révolue maintenant c’est l’Algérie qui baise la France; l’intelligence de l’Algérie est de venir en France et de la coloniser, se marier et se multiplier pour convertir le pays à l’islam, la France peut me refouler je reviendrai avec 18 personnes”.

    Ce motif de menace d’une particulière gravité pour l’ordre public (qui n’est pas discuté en appel) a au demeurant été retenu à juste titre par le premier juge car il entre dans les critères de la seconde prolongation.

    La décision sera confirmée et la demande sur le fondement de l’article 37 de la loi sur l’aide juridictionnelle sera rejetée.

    PAR CES MOTIFS

    statuant publiquement,

    DÉCLARONS l’appel recevable ;

    CONFIRMONS l’ordonnance du juge des libertés et de la détention du tribunal judiciaire de Rennes en date du 4 juillet 2022 ;

    REJETONS la demande sur le fondement de l’article 37 de la loi sur l’aide juridictionnelle;

    LAISSONS la charge des dépens au Trésor Public.

    Fait à Rennes, le 07 Juillet 2022 à 16h

    Cour d’appel de Rennes, 7 juillet 2022, n°22/00399

     

    Source : fdesouche

  • Les théories complotistes se confirmant, Facebook veut un allègement de la politique anti « fake news » sur le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    Concrètement, comme le rapporte BFM TV, la société de Mark Zuckerberg demande à son « conseil de surveillance » d’évaluer la pertinence des mesures adoptées pendant la crise. Elle envisage ainsi de mettre un terme à sa stricte censure, qui a été ouvertement critiquée pendant les deux dernières années.

    Masques, traitements, vaccins… rien n’échappait à l’œil affuté de Facebook, qui supprimait sans vergogne les contenus n’allant pas dans le sens de « la communauté scientifique » — comprendre l’Organisation mondiale de la Santé, en règle générale. « À l’échelle mondiale, plus de 25 millions de contenus ont été supprimés depuis le début de la pandémie. », apprend-on dans le communiqué.

    Meta envisage aujourd’hui de relâcher un peu la bride : « Dans de nombreux pays, où les taux de vaccination sont relativement élevés, la vie revient de plus en plus à la normale. Mais ce n’est pas le cas partout et l’évolution de la pandémie continuera de varier considérablement d’un pays à l’autre, en particulier dans les pays où les taux de vaccination sont faibles et les systèmes de santé moins développés. » Faut-il comprendre qu’une fois vacciné, un pays ne craint plus les « fausses informations », ou bien que les questions sanitaires méritent à nouveau le débat ? Difficile à dire.

    Dans le même communiqué, l’entreprise rappelle que « certaines informations erronées peuvent entraîner un risque imminent de préjudice physique », assurant qu’il « n’est pas facile de résoudre les tensions inhérentes entre la liberté d’expression et la sécurité ». Outre cette remise en question, Meta met en avant son « Centre d’informations sur le Covid-19« , une page sur laquelle l’entreprise relaie la bonne parole des autorités sanitaires. Par ailleurs, si la suppression des contenus pourrait être rangée au placard, la société envisage « d’autres moyens, comme un avertissement ou une rétrogradation des contenus par nos soins ou par des vérificateurs tiers ». Chassez le naturel, et il reviendra au galop.

    Notons que dans le cas où Meta déciderait réellement d’ouvrir le débat, il n’est pas certain que les dirigeants européens laissent faire. La guerre aux informations continue de faire rage ; en avril dernier, Emmanuel Macron n’envisageait ni plus ni moins que le démantèlement de Facebook, assurant qu’il « faut aller plus loin » dans le contrôle.

  • Brest : la Caisse Primaire d’Assurance Maladie ferme ses portes pour 4 jours. Le personnel manque suite à plusieurs agressions.

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2022

    fdesouche

    La Caisse primaire d’assurance maladie du quartier de Bellevue, à Brest, est fermée pour quatre jours. Outre les congés d’été, le personnel manque, suite à des agressions à Brest et à Quimper ces derniers mois, dénoncent deux syndicats.

    Selon les syndicats FO et CFDT, outre les congés d’été, des arrêts maladie contribuent à diminuer les effectifs. Ils sont liés à des agressions physiques et/ou verbales que subissent des agents d’accueil, en particulier dans les trois plus grosses agences du Finistère à Quimper et à Brest.

    Les deux syndicats racontent que, « après une première agression physique pendant l’été 2021, on constate malheureusement une augmentation importante non seulement des agressions mais également des incivilités » dans le Finistère. (…)

    Fin avril 2022, c’est Brest Métropole qui lançait une campagne de sensibilisation des citoyens, après avoir vu le nombre d’agressions physiques ou morales bondir de 36 % en un an.

    https://www.letelegramme.fr/bretagne/des-syndicats-de-la-caisse-primaire-d-assurance-maladie-denoncent-une-hausse-des-agressions-28-07-2022-13128776.php

  • Le maire de Grenoble a autorisé un groupe de femmes en burkini intégral à se baigner dans une piscine municipale, 1 mois après l’arrêt du Conseil d’État interdisant un tel vêtement

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2022

    La mairie de Grenoble a autorisé un petit groupe de femmes en burkini intégral, de la tête au pied à se baigner dans la piscine en plein-air du centre ville, un mois après l’arrêt du conseil d’état qui interdit un tel vêtement, parce qu’il porte atteinte à la neutralité du service public.

    Une nouvelle opération burkini s’est déroulée jeudi matin à la piscine Jean-Bron à Grenoble (Isère) à l’appel du syndicat des femmes musulmanes.

    C’est la première opération du genre depuis la décision du Conseil d’Etat d’interdire le burkini dans les piscines municipales à Grenoble (Isère), et le personnel de la piscine a été embarrassé.  Un petit groupe de femmes voilées est arrivé vers 10h30, jeudi matin à la piscine Jean-Bron, site en plein air dans le centre ville.  

    Le personnel leur a demandé de patienter, dans le vestiaire, le temps de prendre des consignes à la mairie. Des échanges de mots ont eu lieu, avec d’autres nageuses, notamment une femme d’une soixantaine d’années, leur suggérant qu’elles “feraient mieux de se battre pour les droits des femmes“. Une des “manifestantes” répondant que “c’est le droit des femmes de s’habiller comme elles l’entendent“.  Mais il n’y a pas eu de heurts.

    (…) Ce jeudi matin, une demi-douzaine femmes voilées ou non, se sont donc présentées à l’entrée des bassins, avec des maillots dans un “tissus fait pour la natation et  qui colle à la peau“.  Après contrôle des agents deux ont été refoulées, mais quelques-unes ont pu se baigner avec un maillot intégral, de la tête au pied, c’est à dire bien en dessous de mi-cuisse.   Selon le cabinet du maire: ” toute personne  avec un tel maillot est admise quelque soit la longueur du vêtement “.   

    France Bleu via fdesouche