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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 840

  • Le Royaume-Uni met fin à la vaccination covid pour les femmes enceintes et allaitantes

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2022

    Auteur : 

    C’est tombé il y a quelques jours, là-aussi comme pour le traitement à l’ivermectine contre le covid dans une discrétion médiatique des plus coupables : le Royaume-Uni déconseille la vaccination aux femmes enceintes ou allaitantes.

    La recommandation, qui donne raison aux « complotistes » et aux sceptiques sur les sérums géniques à ARNm de Pfizer, Moderna ou Astrazeneca, émane du ministère anglais de la Santé et date du 16 août.

    Dans le rapport sur les vaccins Pfizer et BioNtech publié sur le site du gouvernement de Sa Majesté, au point 3.4 dédié à la Toxicologie, on lit :

    « Dans le cadre des dispositions du règlement 174, il est considéré qu’il n’est pas possible à l’heure actuelle de rassurer suffisamment sur la sécurité de l’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : cependant, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de santé soient avisés d’exclure une grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne doivent pas non plus être vaccinées ». 

    Ce sont des indications frappantes, surtout si l’on considère qu’elles arrivent bien après la massive campagne de vaccination qui en Angleterre a eu une couverture de 79,94% de la population avec 53 785 024 citoyens qui ont reçu la première dose. Campagne dans laquelle il n’y avait pas de contre-indications à la vaccination des femmes enceintes. 

    Le rapport ne dit pas si le changement de cap est dû à des rapports d’effets indésirables sur les femmes enceintes, mais il est toujours révélateur de quelque chose qui s’est passé. Si la vaccination n’est plus recommandée, que s’est-il passé entre-temps ? Et quels pourraient être les risques ? Ce sont des questions légitimes qu’il est juste de se poser mais auxquelles le ministère de la Santé britannique ne donne pas de réponse… pour l’instant. On peut toutefois hypothéquer que les nombreux effets secondaires allant jusqu’aux fausses couches et aux morts de nourrissons et largement répertoriés sur les sites de médecins abusivement qualifiés de « complotistes » parce qu’ils remettaient en cause le bienfondé de ces inoculations toujours en phase expérimentale et mises sur le marché sans assez de recul, sont à l’origine de cette tardive contre-indication concernant les femmes enceintes et allaitantes.  

    En France et en Italie, la vaccination anti-covid chez les femmes enceintes et allaitantes est encore un dogme !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Centrale nucléaire de Zaporizhzhia : l’ONU confirme la tentative de sabotage ukrainienne et remercie la Russie

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2022

    Auteur : 

    Le danger nucléaire affectant la centrale d’Energodar (Zaporizhzhia), sous bombardements constants, reste un enjeu fondamental, même si l’urgence d’un éventuel danger d’explosion tend à être mis de côté.

    Energodar et la centrale nucléaire de Zaporozhye sont sous contrôle russe depuis début mars. En août, le site nucléaire a été la cible d’attaques régulières d’artillerie et de drones, que Moscou et Kiev se sont mutuellement imputées. Les responsables ukrainiens ont également affirmé que l’armée russe utilisait l’usine comme base militaire, y stationnant des armes lourdes. Moscou a nié les accusations, affirmant qu’il n’y avait que des gardes légèrement armés pour défendre l’installation.

    Moscou a appelé à une visite de l’AIEA à Zaporozhye, la plus grande centrale nucléaire d’Europe, depuis juin, mais l’insistance de l’Ukraine pour que la mission passe par Kiev pour défendre la souveraineté ukrainienne a contribué à retarder la mission jusqu’à cette semaine.

    La mission de l’AIEA, l’Agence internationale de l’énergie atomique, demandée depuis des semaines par la partie russe, a eu lieu hier 1er septembre. Les cadres de l’Agence internationale de l’énergie atomique se sont rendus à l’intérieur de la centrale, où une visite complète était prévue pendant au moins deux jours. Le chef de mission Rafael Grossi, PDG de l’organisation, qui est arrivé sur place a terminé l’inspection en seulement deux heures :

    « Aujourd’hui, nous avons pu recueillir beaucoup d’informations – a-t-il déclaré – j’ai vu les choses essentielles que je voulais voir ».

    Les techniciens ont tiré des conclusions sur la centrale nucléaire de Zaporizhzhia en quelques heures, une décision qui a suscité des réactions tant du côté de Kiev que de Moscou.

    Malgré cela, Grossi a déclaré que certains représentants de son équipe resteraient sur place quelques jours. Au cours de la visite, comme le montrent certaines vidéos circulant sur le web depuis hier, le numéro un de l’AIEA a eu l’occasion de s’entretenir avec le sous-chef de Rosatom, qui, lui montrant un missile tombé à seulement 29 mètres d’un réacteur, il a précisé :

    « Si les bombardements ukrainiens ne cessent pas, tant la Russie que l’Ukraine et l’Europe seront au bord d’une tragédie colossale ».

    Une invitation, donc, à une vision de la sécurité globale qui – pour la protection des peuples européens – devrait pouvoir dépasser la dichotomie purement guerrière dans une action objective et impartiale.

    Message reçu seulement partiellement, apparemment, et les déclarations de Grossi le démontrent une fois de plus :accidents nucléaire

    « L’objectif de l’Agence internationale de l’énergie atomique est de protéger la centrale nucléaire de Zaporizhzhia des risques d’accidents, a souligné le directeur général, il faut tout mettre en œuvre pour parvenir à un accord entre les parties garantissant la sécurité de l’usine. Les inspecteurs visiteront toutes les usines relatives à la production d’énergie et à la sécurité contre les fuites radioactives et s’assureront du respect de la réglementation ».

    Concernant le déroulement de la mission : elle a été retardée à un point de contrôle ukrainien hier jeudi matin avant de pouvoir entrer dans la centrale. Or juste avant leur visite, l’artillerie ukrainienne a visé la ville d’Energodar et la centrale nucléaire de Zaporozhye elle-même, tandis qu’un groupe de commandos a traversé le réservoir de Kakhovka en bateau et a tenté de prendre d’assaut l’installation, a déclaré le ministère russe de la Défense.

    Le groupe d’assaut initial et les renforts qui ont suivi ont été anéantis par la Garde nationale et les hélicoptères de combat, a déclaré l’armée russe. Leur objectif, selon Moscou, était de s’emparer de la centrale électrique détenue par les Russes et d’utiliser le personnel de l’AIEA comme « boucliers humains » pour garder le contrôle de l’établissement.

    Venant contredire la partialité de Grossi, le porte-parole du Secrétaire Général de l’ONU Stéphane Dujarric a reconnu devant les journalistes en conférence de presse cette tentative de sabotage ukrainienne consistant à prendre possession de la centrale et à se servir de la mission de l’AIEA comme bouclier humain, et a remercié la Fédération de Russie d’avoir assuré la sécurité des inspecteurs.

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’attachée de presse de la Maison Blanche coincée dans ses explications sur les immigrés illégaux, seuls à ne pas devoir être vaccinés contre le Covid pour entrer aux Etats-Unis

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2022

    Auteur : 

    L’attachée de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a eu du mal cette semaine à justifier la politique du président Joe Biden consistant à refuser l’entrée aux États-Unis aux visiteurs non vaccinés COVID tout en permettant aux immigrants illégaux de traverser la frontière sud quel que soit leur statut vaccinal.

    Le double standard a été mis en évidence récemment par le sort du joueur de tennis chrétien serbe Novak Djokovic, qui ne participera pas au prochain championnat de tennis de l’US Open 2022 en raison de son refus de se faire vacciner contre le Covid, ce qui l’a empêché d’entrer aux États-Unis L’attachée de presse de la Maison Blanche a tenté de prétendre que le cas de Djokovic et la situation de l’immigration sont « deux choses différentes ».

    « Mais alors, comment est-ce que ces deux choses diffèrent-elles ? » a demandé le journaliste de Fox News, Peter Doocy. « Quelqu’un qui n’est pas vacciné arrive dans un avion. Vous dites que ce n’est pas bien. Quelqu’un entre au Texas ou en Arizona sans être vacciné, et il est autorisé à rester. Pourquoi? »

    Karine Jean-Pierree a tenté de nier la formulation du problème par le journaliste Doocy, affirmant que « ce n’est pas comme ça que ça marche ».

    « C’est ce qui se passe », a répondu Doocy.

    Au lieu de répondre directement, Karine Jean-Pierre a répondu en récitant une liste des actions de l’administration en matière d’immigration. Elle a également invoqué l’autorité de santé publique du titre 42, qui a facilité l’expulsion rapide des clandestins pendant une pandémie.

    Biden a admis une vague d’illégaux entrant aux États-Unis et libérés à l’intérieur du pays, à la suite de l’inversion de plusieurs politiques frontalières de l’ère Trump, telles que les accords de pays tiers de l’administration précédente avec les gouvernements d’El Salvador, du Guatemala et du Honduras. qui permettaient de faire détenir ces immigrés pendant que leurs demandes d’asile politique en Amérique étaient examinées.

    Biden a exempté les immigrés illégaux de l’obligation de vaccination que son administration a tenté d’imposer aux Américains. Les estimations des clandestins qui ont été testés positifs pour COVID-19 après avoir traversé la frontière cette année varient de 20% à plus de la moitié.

    Des millions de personnes dans le monde continuent de nourrir des inquiétudes quant à la sécurité et à l’efficacité des injections anti-COVID.

     

    Source : medias-presse.info

  • Pourquoi cette septuagénaire qui a défendu son époux à Choisy-le-Roi n’est pas célébrée par les féministes

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2022

    Gabrielle Cluzel

     

    Cette retraitée devrait être une égérie féministe : dimanche soir à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), une femme de 79 ans a poignardé - avec un petit couteau de poche pliable qui était accroché à son porte-clés - un voleur qui s'en prenait à son mari âgé de 84 ans.

    L’individu, qui avait tenté de dérober ses clés à l’octogénaire - avant, face à sa résistance, de le projeter à terre et de le rouer de coups de pied avec deux complices -, est bien connu, selon l’expression consacrée, des services de police. Il s’agit d’un Algérien de 29 ans, arrivé clandestinement en France en 2009 et visé par deux obligations de quitter le territoire français (OQTF) suite à diverses affaires de vols et violences. Cette fois, tout ne s‘est pas passé comme prévu : la compagne de sa victime lui a assené un coup de couteau dans le flanc. Après un court séjour à l’hôpital, il a été mis en garde à vue et est passé en comparution immédiate mercredi 31 août. Les deux époux agressés ont également fait un court séjour à l’hôpital. L’un avait été blessé au niveau du cuir chevelu et aux genoux, et l’autre au bras et au poignet.

    Quelle inversion magistrale des clichés sexistes ! Quel pied de nez au machisme, mes chéries !

    Une septuagénaire défend son mari, mettant hors d’état de nuire un jeune homme dans la force de l’âge. Une héroïne pour le futur best-seller de Marlène Schiappa ? Une figure « inspirante » pour la prochaine Journée de la femme ? Alors qu’un des grands combats féministes est censé être la lutte contre l’invisibilisation des femmes de plus de 50 ans, celle-ci, qui en a 29 de plus, mériterait un trophée, n’est-ce pas ?

    Penses-tu ! Pas une Clémentine, une Caroline ni une Sandrine pour lui rendre hommage. L’insécurité est tout à la fois l’angle mort, le tabou, l’impensé du combat féministe. On veut bien dénoncer les violences « conjugales » (sic) - expression consacrée que l’on dégaine à tout va, même lorsque le couple s’est formé la semaine d'avant, parce que dans cet adjectif désuet, il y a tout l’imaginaire patriarcal des années 50, un peu comme si Louis de Funès en bonnet de nuit frappait Claude Gensac - ou bien encore les agressions sexuelles en col blanc avec le hashtag #MeToo. Mais la délinquance du Jeunistan, qu’elle soit vol ou viol, n’intéresse pas ces dames. Et pourtant, la biologie étant têtue et réactionnaire, l’épisode de dimanche reste hélas une exception : si, individuellement, une femme peut prendre le dessus sur un homme, collectivement, les femmes restent globalement défavorisées par la nature et la seule façon de concevoir l’égalité de circulation des personnes, quel que soit leur sexe, dans l’espace public est de pacifier celui-ci, c’est-à-dire de faire reculer l’ensauvagement, autrement appelé loi du plus fort.

    Le week-end dernier, lors de l’université d’été d’ à Grenoble, quand  est partie en croisade contre le virilisme du barbecue, elle ne pouvait pas savoir, bien sûr, que dans le même temps, à Choisy-le-Roi, une courageuse septuagénaire défendait son mari. Ni, autre fait divers sordide, que, toujours dans le Val-de-Marne, à Maisons-Alfort, cette fois, une jeune fille de 19 ans venait d'être violée dans son lit par un cambrioleur. Une agression barbare que l’on aurait du mal, même avec beaucoup de mauvaise foi, à qualifier de « conjugale ».

    Mais le parti pris de rester invariablement mutique sur cette délinquance gravissime pour les femmes quand elles saturent le débat public par des controverses dérisoires est de la responsabilité de  et de ses comparses.

     

    Source : bvoltaire

  • Des coups de feu tirés aux abords d’un lycée à Nice : au moins 4 blessés, dont une fille de 17 ans, l’auteur n’a pas été interpellé

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2022

    Selon nos informations, des tirs ont blessé au moins quatre personnes aux abords du lycée Estienne d’Orves à Nice, vers 17h ce vendredi.

    Selon nos informations, des tirs ont blessé quatre personnes aux abords du lycée Estienne d’Orves à Nice, vers 17h ce vendredi.

    Les coups de feu ont eu lieu à proximité de la résidence universitaire. 

    Nice-Matin via fdesouche