Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

indésirables

  • Renvoyer les indésirables hors de France

    Publié par Guy de Laferrière le 01 novembre 2022

    J’entends dire partout qu’il est quasiment impossible de renvoyer un sans-papier dans son pays.

    Pourtant, quand j’étais petit, je me rappelle que ma mère me répétait souvent : « Quand on veut, on peut. »

    Alors, avec un peu de courage et de détermination, le Gouvernement devrait pouvoir faire quelque chose s’il le voulait. Mais j’ai bien l’impression qu’il fait tout pour ne pas vouloir.

    Il y a pourtant une infinité de moyens pour contraindre les indésirables de quitter la France.

    Je ne suis pas un spécialiste de la chose, mais j’entrevois déjà une quantité de pistes possibles, parmi lesquelles :

    1) Rétablir un contrôle à nos frontières. Cela ne réglera pas tout, mais aura, au moins, un effet dissuasif.

    2) Reprendre notre souveraineté et sortir des absurdités de Bruxelles et de la CEDH en matière d’immigration.

    3) Nous avons des ambassades dans tous les pays du monde. Exigeons, alors, que les demandeurs d’asile s’adressent d’abord à ces ambassades dans

    leur pays, plutôt que de venir demander l’asile à Paris. Cela réglera déjà un important problème.

    4) Conditionner les aides économiques que la France verse à ces pays, au retour des OQTF (obligations de quitter le territoire français) que nous voulons renvoyer.

    5) Supprimer les visas pour les dirigeants de ces pays qui viennent se faire soigner gratuitement, ou veulent envoyer leurs enfants faire des études en France. Et, en général, restreindre au maximum le nombre de visas accordés aux ressortissants de ces pays.

    6) Interdire que les immigrés envoient de l’argent dans leur pays d’origine. Cet argent devrait être dépensé en France. Nos finances publiques s’en porteraient mieux et cela dissuaderait probablement d’autres prétendants à l’exil de venir.

    7) Pour l’Algérie, il faudrait revoir les accords d’Évian de 1962.

    8) Supprimer les aides de l’État et des collectivités Locales aux associations « pro-immigrationistes ».

    Voilà déjà quelques pistes. Il y en a certainement beaucoup d’autres, et je sais que toutes ne peuvent être résolues immédiatement.

    On m’objectera bien sûr le problème de l’Algérie et du gaz, ainsi que d’autres pays qui fournissent des matières premières qui nous sont essentielles.

    Mais tout se négocie, à condition d’en avoir l’intelligence et la volonté.

    Alors, Monsieur Darmanin, quand on veut, on peut !