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  • Villepinte (93). De l’Iftar à Noël et Hanouka, la ville célèbre toutes les fêtes en misant sur l’œcuménisme

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2019

    Par  le 29/05/2019

    Le curé et le rabbin ont participé au dîner de rupture du jeûne organisé avec les musulmans, lundi soir. L’un des nombreux événements en faveur du vivre-ensemble.

    A Villepinte, les jours « sacrés » des principales religions se fêteront bientôt tous ensemble. C’est ce qu’a annoncé Martine Valleton, maire (LR), lors d’un Iftar, le dîner de rupture du jeûne lors du ramadan, organisé lundi soir, en présence de l’imam, du rabbin, et du curé de la commune. Trois cent cinquante personnes ont ainsi partagé lait, dattes, chorba, bricks au thon et makrouts, arrosés de thé à la menthe. Une initiative qui succède au « Noël tous ensemble » organisé sur ce modèle l’an passé, tandis qu’Hanouka, la principale fête juive, suivra en décembre prochain.

     

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Aéroport de Toulouse. Abdelatif voulait embarquer avec un chargeur et des balles

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2019

    Par  le 29/05/2019

    Un homme a voulu embarquer, à Toulouse-Blagnac, en emportant un chargeur et des balles. Interpellé, il s’est expliqué dernièrement face à la justice. « Cet objet, il ne m’appartient pas». Dans le box du tribunal correctionnel de Toulouse, la carrure d’Abdelatif est aussi massive que les charges qui pèsent contre lui.

    Ce marocain de 48 ans, père de famille, a été arrêté en début de soirée. « Les agents de sécurité ont appelé la police aux frontières (PAF), car ils ont repéré dans votre bagage à main un chargeur avec 7 munitions de calibre 9-35. Vous alliez embarquer à destination de Malaga », énonce le président Glavany. Les fonctionnaires ont retrouvé dans la poche arrière d’un jean, soigneusement plié, le morceau d’arme.

    Les explications données par le prévenu en garde à vue et à l’audience peinent à convaincre : « J’ai acheté ce vêtement à la sauvette en compagnie d’un ami, à qui je venais rendre visite. Le chargeur devait être dedans ! Ça paraît fou, mais c’est la vérité », avance le prévenu. Le passé judiciaire ne plaide pas en la faveur de cet homme, condamné en 1991 à Paris pour viol suivi de meurtre, également connu pour trafic de stupéfiants.

    « La version des faits qu’il veut bien nous livrer me laisse dubitatif. Il a tenté de passer le filtre de sécurité au culot ! Ce chargeur, il doit bien s’associer à une arme, qui se trouve quelque part », soulève le procureur, qui requiert un an de prison ferme et 15 années d’interdiction de port d’arme.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Sondage présidentielles : Macron à 30 %, Marine Le Pen à 28 %

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2019

    Par  le 29/05/2019

    Emmanuel Macron et Marine Le Pen s’opposeraient de nouveau, avec des scores supérieurs à ceux de 2017, si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu dimanche prochain, selon un sondage. Dans cette enquête réalisée au lendemain des élections européennes, le chef de l’Etat et la présidente du Rassemblement national obtiendraient respectivement 30 % et 28 % des voix (contre 24 % et 21,3 % au printemps 2017) au premier tour.

    Les autres chefs de partis seraient relégués loin derrière. Yannick Jadot recueillerait 12 % des suffrages, Jean-Luc Mélenchon 9 %, Laurent Wauquiez, 8 %. Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France, est crédité de 5 % des voix et Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, de 4 %.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Rassemblement de soutien à Aziz menacé d’être reconduit à la frontière : « ne pars pas, épouse moi »

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2019

    Par  le 29/05/2019

    (…) Apeuré Aziz décide de se cacher chez sa sœur à Lyon. Pendant tout ce temps sans nouvelle, Mathilde croit qu’Aziz l’a quitté : « J’avais beaucoup souffert, je me suis dit finalement ce n’est qu’un connard comme les autres, alors quand il est revenu me voir à mon restaurant, je n’ai pas voulu l’écouter. Il m’a envoyé des lettres, des messages, il m’appelait, il ne lâchait pas. Mais j’étais blessée et je ne voulais pas croire son histoire. Et puis un jour je l’ai informé que je quitterais bientôt Limoges. Il m’a dit « ne pars pas, épouse moi ». »

    C’est une histoire digne d’un film. C’est une histoire d’amour avant tout. La sœur de Mathilde, Hélène en témoigne devant le tribunal : « Ils s’aiment vraiment vous savez. Le mariage c’était réfléchi, ils se connaissaient depuis plus de 5 ans. Ils veulent juste passer leur vie ensemble.»

    Ce que tous espèrent aujourd’hui c’est une nouvelle appréciation sur le dossier d’Aziz. (…)

    Pour la présidente, la situation de Aziz est la suivante : arrivé en France illégalement, il n’a pas travaillé régulièrement, il a été jugé suite aux injures face aux policiers lors de son arrestation en 2014… Mais elle va poser une question à Aziz pour comprendre un peu mieux son cas : « Qu’est ce qui vous empêche Monsieur Ficri de repartir au Maroc et de faire une demande de visa pour revenir en France en toute légalité? » Aziz se lève et d’une voix mal assurée explique qu’il a peur que suite à son arrestation en 2014 le service des visas au Maroc ait été informé du cas « Ficri » et ait reçu la consigne de ne pas lui délivrer de visa pour la France. Il se rassoit. Son avocate intervient : « C’est aussi une question de délai, il est de notoriété publique que c’est très long pour obtenir un visa, il pourrait ne pas être de retour pour la grossesse de sa femme et la naissance de son enfant».

     

  • Ce n’est pourtant pas compliqué!

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2019

    POSTÉ LE 28 MAI , 2019, 9:32
     

    Si la vie politique nous réserve parfois quelques surprises (le Sofitel de Strauss-Kahn, les costumes de Fillon, ou le garde du corps de Macron), les gouvernements se suivent et se ressemblent.

    Qu’ils soient supposément de droite ou de gauche, rien ne semble dévier la course folle des dirigeants français.

    Toujours plus d’impôts, toujours plus de dette, de subventions, toujours plus de lois, toujours plus de coups portés à la civilisation européenne, au bon sens, et aux valeurs élémentaires d’une société en bonne santé.

    Toujours plus de théorie du genre, d’immigration, de dépense publique, toujours plus de réformes des programmes scolaires, toujours plus de chocs de simplification, de lutte contre les discriminations, de lois mémorielles, de valeurs-de-la-République, toujours plus de délits d’opinion.

    Et pourtant, ce n’est pas si compliqué.

    Le traitement qui doit être administré d’urgence à la France tient en quelques lignes:

    – Réduire la dépense publique, qui atteint des niveaux encore inimaginables il y a vingt ans. Pour avoir un ordre d’idée, en 2017, pendant que l’Allemagne s’est désendettée de 1675 euros par seconde, la France alourdissait sa dette publique de 2090 euros.

    – Abandonner, une fois pour toutes, l’impôt progressif et sa logique punitive au profit d’une flat tax plus juste et plus efficace.

    – Concentrer l’État sur ses missions réellement régaliennes (la sécurité, la défense, et la justice) et laisser tranquille l’économie, l’éducation, la santé et la culture.

    – Remettre des règles et de la justice là où règnent l’impunité et la loi des petits gangs.

    – Inverser les flux migratoires en espérant qu’il ne soit pas trop tard pour ne pas voir la société française se déchirer en communautés hostiles les unes aux autres.

    En effet, les bonnes intentions du «vivre-ensemble» sont malheureusement mises à mal par le réel qui, loin du rêve «multikulti» ou bien arc-en-ciel, nous met devant un territoire léopardisé, où les paraboles et les téléphones portables donnent chaque jour moins de raisons de s’intégrer.

    – Avoir une diplomatie ouverte, qui ne juge ni les peuples ni leurs dirigeants, et qui éviterait de prendre un philosophe de salon pour un général des armées.

    – Abroger toutes les lois limitant la liberté d’expression au nom d’incitations imaginaires.

    Le respect des opinions, fussent-elles provocantes ou blessantes, vaut toujours mieux que la police de la pensée et de la parole.

    – Et, enfin, abandonner toute velléité d’ingénierie sociale, morale ou sexuelle.

    Laisser les enfants être des enfants, les garçons être des garçons, et les filles des filles.

    Il ne s’agit pas d’inquiéter les quelques originaux qui tiendraient à dépasser les codes ou les genres, mais de cesser de déconstruire à toute force l’identité de la plupart des enfants, dès l’école primaire.

     

    Source : les4verites