Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 11

  • Vers la seconde mort de Vincent Lambert

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    A gauche, Vincent Lambert. A droite, son bourreau, le « docteur » Vincent Sanchez

    « Le tribunal correctionnel de Reims a relaxé le docteur Vincent Sanchez le 28 janvier 2020. Ce dernier comparaissait pour « non-assistance à personne en danger », après avoir ordonné l’arrêt des soins ayant causé le décès de Vincent Lambert, le 11 juillet 2019.

    Selon le tribunal rémois, le praticien a « parfaitement respecté les décisions judiciaires », et les faits qui lui sont reprochés « excluent toute intention de porter atteinte à Vincent Lambert » (sic). Comme si priver un malade gravement handicapé de toute nourriture et de toute hydratation n’allait pas porter atteinte à sa vie ?

    Devenu l’un des symboles du débat sur l’euthanasie en France, l’ancien infirmier de 42 ans, en état pauci-relationnel depuis son accident de la route survenu en 2008, est mort de soif et de faim le 11 juillet 2019, au service des soins palliatifs du centre hospitalier de Reims.

    Ce sont les parents du jeune homme – opposés à l’arrêt des soins élémentaires d’hydratation et d’alimentation artificielles, auxquels tout patient a droit en vertu du droit naturel – qui avaient poursuivi le praticien pour « non-assistance à personne en danger ».

    Au plus fort de la polémique, l’Etat français était passé outre la demande faite par la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH), de suspendre la décision d’arrêt des soins.

    Les parents de Vincent Lambert avaient alors saisi la Cour européenne des droits de l’homme, et adressé une lettre ouverte au président de la République. Sans suite, comme le classement définitif de l’affaire, qui fragilise un peu plus la vie des 1 500 patients en état pauci relationnel, recensés en France en 2019.

    Quelques jours après la relaxe du docteur Sanchez, les parents de Vincent Lambert et leurs avocats ont décidé de faire appel de la décision, regrettant en particulier que les mesures provisoires réclamées par le Comité international de protection des droits des personnes handicapées (CIDPH) n’aient pas été respectées.  »

    Sources : Valeurs actuelles/Le Parisien/Ouest France
    via FSSPX.Actualités

  • Jack Lang: «Enseignons l’arabe à l’école publique pour ne pas confier nos enfants aux officines islamistes»

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Par  le 18/02/2020

    Aujourd’hui, seul un enfant sur 1 000 apprend cette langue à l’école primaire, et deux sur 1 000 au collège. Pourtant, la demande des parents, notamment des familles originaires d’Afrique du Nord, explose. Selon le ministère de l’Intérieur, 65 000 personnes suivent des cours d’arabes dans des associations (communautaires, confessionnelles…) contre 15 000 dans des structures de l’Education nationale.

    L’insuffisance de l’offre de l’école publique contribue à l’exode des enfants vers les mosquées et les associations religieuses. « L’arabe est aujourd’hui enseigné par des officines liées à l’idéologie islamiste dont l’enseignement ne porte pas sur les valeurs de la République, déplore Jack Langue. Cela favorise les séparatismes. »

    (…)

    Son apprentissage est stratégique pour la France. Elle est la cinquième langue la plus parlée dans le monde, notamment dans les pays du Golfe ainsi qu’en Afrique du Nord où notre balance commerciale est excédentaire, et figure aussi parmi les six langues employées à l’ONU. Elle est aussi utilisée par la jeunesse sur les réseaux sociaux, dans le monde des arts et de la littérature. Trois Français sont actuellement au poste au cabinet du ministère de la Culture saoudien, preuve du rayonnement français.

  • « Picasso abusait des femmes, comme Harvey Weinstein », selon l’artiste Olafur Eliasson

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Par  le 18/02/2020

    Olafur Eliasson juge en effet qu’il est grand temps d’interroger la figure du grand maître. « Cela, vous le savez très bien en Espagne, le pays de Picasso, un homme qui abusait des femmes. Comme un Harvey Weinstein de son époque, mais dont le comportement était alors considéré comme acceptable », poursuit l’artiste, faisant l’analogie entre le peintre et le producteur hollywoodien accusé de viols et agressions sexuelles.

    Ce n’est pas la première fois que le comportement de Pablo Picasso avec les femmes est interrogé. Sophie Chauveau, auteure d’une biographie du peintre a dernièrement souligné la « perversité » de Picasso. « Il aura haï les femmes qu’il a eues au point de les battre et de les enfermer. Marie-Thérèse a employé le mot viol. Françoise a eu une joue percée par une gauloise allumée et ne parlons pas de la tragédie sadomaso avec Dora Maar. Marie-Thérèse et Jacqueline se sont suicidées. Maya, une de ses filles, et Marina, une de ses petites-filles, ont dit des choses sur leur gêne éprouvée gamines…», poursuivait la biographe.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Halsey, chanteuse pop « bisexuelle, bipolaire et biraciale », s’apprête à conquérir la France

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Par  le 18/02/2020

    Un mois jour pour jour après la sortie de son album Manic, la chanteuse pop électro Halsey se produit lundi soir au Palais des Sports à Paris. Si son nom ne vous évoque rien, sachez que son concert affiche complet. Ultra-célèbre de l’autre côté de l’Atlantique, nommée aux Grammy Awards et lauréate du prix MTV « Artiste à suivre », Halsey, de son vrai nom Ashley Nicolette Frangipane a sa petite base de fans en France aussi.

    […]

    La musique de l’artiste de 25 ans, aux sonorités électro-pop, découle de son multiculturalisme, une source d’inspiration assumée. Sa mère est italienne, irlandaise et hongroise. Son père lui est afro-américain. De ce mélange est né un univers musical que l’on compare parfois à celui de Miley Cyrus. Au-delà de sa musique, c’est la personnalité et le franc-parler de Halsey qui séduisent sa communauté et lui valent chaque année de nouveaux fans venant du monde entier. Ses titres évoquent sans détour des thèmes comme la dépression, la santé mentale, la drogue, la sexualité, le droit des femmes et de la communauté LGBTQ +. Des thématiques qui touchent celle qui se définit comme « Bisexuelle, bipolaire et biraciale. »

    […]

    20 Minutes via fdesouche

  • Repentance coloniale : Au tour de l’Allemagne de s’y soumettre

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Auteur : Philippe Carhon

    Repentance coloniale : Au tour de l’Allemagne de s’y soumettre

    Très bon rappel historique de Bernard Lugan sur son blog. Extraits :

    Outre-Rhin, bien que la parenthèse coloniale n’ait duré que deux décennies, l’exigence de repentance atteint en ce moment des sommets inégalés. Même en France où, pourtant, il n’est pas possible de parler de la colonisation sans avoir préalablement revêtu le cilice de pénitence, l’exigence de soumission au dogme de la culpabilité coloniale n’a pas (encore ?) une telle ampleur.

    En Allemagne, il est aujourd’hui impossible, tant elle est longue, de dresser la liste des rues, des places, des squares, des musées, des instituts et des casernes débaptisés au seul motif qu’ils ont un rapport avec la période coloniale ou avec des personnages ayant un lien avec cette dernière. Dirigé par la gauche, le Land de Berlin a même fait de la repentance coloniale un de ses principaux axes politiques (…) Ici, il n’est pas un jour sans qu’il soit demandé aux habitants transformés en chiens de Pavlov de l’auto-flagellation, de psalmodier la liste des péchés ultramarins de leurs grands-parents et de « regarder en face les crimes coloniaux allemands ainsi que le génocide des Herero et des Nama » commis en Namibie, l’ancien Sud-Ouest africain.

    Or, dans cette affaire, l’acte d’accusation contre l’Allemagne est un montage datant de la Première guerre mondiale, quand Français et Britanniques qui avaient besoin d’arguments « moraux » pour s’emparer de ses colonies, accusèrent l’Allemagne d’avoir « failli » à son « devoir de civilisation ». Fut alors constitué le dossier à charge de la guerre des Herero réutilisé aujourd’hui par la gauche allemande.

    Ce dossier passe totalement sous silence les actes atroces commis par les Herero: familles de colons massacrées, torturées, les femmes dépecées vivantes sous les yeux de leurs enfants, les hommes émasculés puis éventrés… Quand elles tombaient entre leurs mains, et après avoir été violées, les femmes allemandes étaient suspendues par les pieds à un arbre, jambes écartées, puis éventrées et éviscérées, comme des bêtes de boucherie…Or, ce furent à ces mêmes arbres, qu’après les avoir jugés, les Allemands pendirent ceux des Herero qui s’étaient rendus coupables de ces meurtres abominables. Mais, alors que nous n’avons que des témoignages concernant les premiers crimes, les exécutions judiciaires furent quant à elles photographiées et ces clichés furent ensuite utilisés par la propagande alliée pour « démontrer » la « culpabilité coloniale allemande ». Aujourd’hui, ce sont ces mêmes photos qui alimentent la campagne de repentance nationale.

    Pour la gauche allemande et pour les Eglises qui soutiennent naturellement, et même avec gourmandise, son combat, tous ceux, civils et militaires qui participèrent, de près ou de loin, à la guerre des Herero sont donc par définition des criminels.

    En premier lieu Paul Emil von Lettow-Vorbeck (1870-1964), légendaire officier colonial qui devrait pourtant figurer au Panthéon des gloires allemandes pour sa campagne de l’est africain (1914-1918)[1]. Or, tout au contraire, bien qu’il ait été un adversaire du III° Reich, présenté aujourd’hui comme l’archétype du  « criminel colonial », il est donc devenu une des principales cibles de ce politiquement correct qui achève d’émasculer une Allemagne étouffée sous ses complexes. (…) Des ouvrages indigents et d’une rare malhonnêteté intellectuelle sont également publiés afin de salir sa mémoire (…)

     

    Source : lesalonbeige