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  • La colère gronde

    Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2020

    La colère gronde

    Alors qu’apparaît au grand jour l’impréparation criminelle de nos “zélites” (tellement assurées qu’en ces glorieux temps de “mondialisation heureuse”, le tragique de l’histoire humaine ne pouvait plus nous atteindre), même les commissaires (qui ne sont pas, en temps normal, les plus acharnés opposants du Pouvoir!) critiquent désormais publiquement les ministres (ici Emmanuelle Wargon, secrétaire d’Etat auprès du ministre chargé de la Transition écologique et solidaire – ouf! – qui se vante d’avoir été testée, alors même que les hôpitaux sont pratiquement privés de tests!) :

    Commissaires de la Police Nationale SCPN@ScpnCommissaire

    Il va falloir expliquer pourquoi les , , , et tous ceux qui sont au front sur le contre le n’ont pas droit aux tests, alors que vous avez eu le votre. https://twitter.com/emmwargon/status/1241755539174051842 

    Emmanuelle Wargon @EmmWargon
     

    J’ai été diagnostiquée ce jour positive au Covid-19. Je n’ai que des symptômes bénins à ce stade. J’applique la règle : je reste chez moi pour me reposer et protéger les autres.

     
     
    Source : lesalonbeige
  • Coronado : un mal pour des biens ?

    Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2020

    PAR  LE  

    « La métropole moderne n’est pas une ville ; c’est une maladie. » — Nicolás Gómez Dávila, Escolios a un Texto Implícito: Selección

    mars 17, 2020 LE ROUSCAILLEUR

    Vous avez vu toutes ces merveilleuses publicités TV qui semblent nous parler d’un monde d’avant la fin du monde ? « CNP, assurons un monde plus ouvert » détient sans nul doute la palme du positionnement qui tombe mal. Notre vie d’hier était en stuc et on distingue maintenant le plâtre qu’il cachait.

    Un seul truc ne change guère : le réel et son indécrottable manque de bienveillance. Parce que le meilleur conseil individuel à suivre, finalement, serait d’attraper le coronavirus le plus vite possible, avant les autres, avant que les salles de réanimation ne puissent plus accueillir personne. Histoire d’être sûr d’être entubé si on a le palpitant qui ne suit pas. Après, ce n’est pas aux dés qu’on jouera les patients mais… à l’âge ! 

    Donc, à vos marques et que le meilleur gagne !

    Pour le reste, à y bien regarder, le verre est à moitié plein.

    Comme une mer tranquille inondant la vallée, Coronado a réussi en quinze jours un exploit qu’aucun gouvernement européen n’avait réalisé en trente ans : le rétablissement de frontières contrôlées. A Paris et dans les grandes villes, l’air n’a jamais été aussi pur : le châtiment climatique recule ! Sans parler du terrorisme : Daesh s’est fendu d’un communiqué pour exhorter ses « combattants » à éviter la France. Coronado, plus fort que tous les longs discours et les services secrets réunis !

    Sans causer des possibles conséquences annexes : toujours à la pointe de l’éveil intellectuel, nos journalistes sont allés ce matin dans les quartiers chics ou touristiques de Paris pour vérifier que le confinement était respecté. Faut être con ou nous prendre pour des cons quand même : depuis quand le bourgeois ou le chinois ne font pas ce qu’on leur dit ? Et dans les banlieues, il se passe quoi ? Les dealers sont confinés dans les halls d’immeuble ? Pour une fois, on ne croit pas à une manipulation des babtous en général et du Mossad en particulier ?

    Non, décidément, Sire, ce n’est pas un virus, c’est une révolution !

    LE ROUSCAILLEUR

    https://rouscailleur.blogspot.com/2020/03/coronado-un-mal-pour-des-biens.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+LeRouscailleur+%28Le+Rouscailleur%29

     

    Source : leblogalupus

  • Quand viendra le temps des comptes.

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2020

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    Dans deux mois, dans trois mois ou plus, lorsque s'éteindra l'épidémie, lorsque nos morts seront enterrés, viendra le temps des comptes et celui du devoir de reconstruction.

    Les comptes... Les responsabilités d'Emmanuel Macron et de son gouvernement sont lourdes, eux qui, par nonchalance autant que par idéologie, ont hésité, atermoyé, oscillé, ne mettant pas à profit les quelques semaines qui ont suivi le déclenchement de la maladie en Chine pour anticiper sa diffusion afin de produire les quantités de masques, de gel et de gants nécessaires, et se refusant à prendre les mesures d'autorité qui s'imposaient en termes de fermeture de frontières et de confinement, ou les prenant à contre temps sans donner aux forces de sécurité les moyens de leur application. Les sanctions devront tomber.

    Il serait pourtant sans effet de se contenter de mettre en cause le pouvoir actuel.

    Les responsables sont ceux — tous ceux — qui, à un titre ou à un autre — politique, économique, social, médiatique — ont participé depuis des décennies à l'effondrement de la France. Tous ceux qui ont fait de notre Nation un pays du tiers-monde, sapant ses valeurs, altérant son identité, détruisant son industrie, défaisant les liens sociaux, ruinant ses services publics, réduisant, marginalisant et appauvrissant son armée, et livrant des pans entiers de notre territoire à la racaille issue de l'immigration par une casbahisation accélérée de nos quartiers.

    Mais si l'ensemble du Système n'est pas remis en cause, aucune commission d'enquête, aucune traduction devant les cours compétentes pour juger tel ou tel membre de l'Exécutif actuel ou passé ne sera utile.

    Surtout, aucune reconstruction ne sera possible. Tout recommencera comme avant. Avec des moyens encore plus affaiblis. Et une fiscalité encore alourdie, car le régime n'hésitera pas à faire payer aux Français le prix de sa criminelle défaillance.

    Le salut public exige une renationalisation de l'ensemble de la France. Renationalisation morale, économique, sociale, identitaire et sécuritaire.

    Pas de reconstruction de nos services de santé, pas de victoire sur la terrible crise sociale qui se dessine, pas de redressement économique, pas de retour à la cohésion française, pas de rénovation du domaine public, pas de relocalisation industrielle, pas de retour de l'autorité régalienne, pas de reconquête des cités, tant que la voie nationaliste ne sera pas appliquée.

    Les responsables de l'effondrement français devront être punis. Mais le régime, lui, devra disparaître.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du PdF.

  • Mr Bricolage à l’Élysée

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2020