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  • Nîmes : un adolescent sous contrôle judiciaire tue un homme de 72 ans, il est remis en liberté après 48H de garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Par  le 23/05/2020

    NÎMES Retraité tué à Pissevin: le chauffard âgé de 17 ans laissé libre

    Un homme de 72 ans a été tué mercredi par un conducteur mineur et sous stupéfiants. Un adolescent qui avait pris un sens interdit au moment du drame.

    […]

    Cet adolescent déjà condamné à deux reprises et sous un précédent contrôle judiciaire…

    […]

    il conduisait sans permis

    […]

    Vendredi soir, il a été placé sous un nouveau contrôle judiciaire avec l’interdiction de conduire! Il est donc sorti libre du tribunal.

    L’article dans son intégralité sur Objectif Gard via fdesouche

  • Gérard Darmanin, vous mentez!

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Gérard Darmanin, vous mentez!

    Invité ce dimanche du Grand-Jury RTL- Le Monde, Gérard Darmanin qui cumulera donc désormais la gestion de la ville de Tourcoing et la charge du ministère du Budget et des comptes publiques, tout en entretenant soigneusement ses réseaux politiques, économiques et sociétaux patiemment tissés pour lui permettre de gravir une à une les marches de la République conformément à la haute idée qu'il se fait de lui même et en vertu de l'étendue de son ambition, ment deux fois.

    Premier mensonge, par simple omission, il est vrai: la dette de la France à la fin de l'année dépassera les 115 % du PIB. Ce que Darmanin oublié de préciser, c'est que selon toute probabilité, la dette côtoiera en réalité les 150%. Vous mentez, monsieur Darmanin.

    Deuxième mensonge: "la dette sera remboursée par la croissance initiée par les acteurs économiques qui crèent la richesse". Durablement en récession; paralysée par les conséquences dramatiques d'une mise à l'arrêt du Pays pendant deux mois dont la facture en termes de faillites, de déproductivité et d'explosion du chômage pèsera lourdement tout au long des prochaines années; asphyxiée par les taxes et les carcans bureaucratiques qui étranglent les énergies et les initiatives des acteurs entrepreneuriaux; bientôt minée par une crise sociale attisée par les syndicats révolutionnaires de plus en plus tenus par l'extrême gauche la plus rouge, la France ne peut en aucun cas compter sur un effet naturel de reconstitution de sa vitalité économique. Vous mentez, monsieur Darmanin.

    Troisième mensonge: "il n'y aura pas d'augmentation d'impôts". Tout est affaire de calendrier car, en effet, il n'y en aura pas dans l'immédiat. Mais l'immédiat n'a aucun temps... Le recours systématique à l'emprunt favorisé par la politique de taux négatifs et de rachats de dettes sur les marchés secondaires pratiquée suicidairement par la Banque centrale européenne, permettra un temps de tenir sur la double crête des dépenses publiques non réduites et d'une pause fiscale procrastinatoire. Mais au bout du compte, il faudra payer. L'arnaque de l'annonce par Macron et Merkel d'un plan conjoint de relance économique de 500 milliards d'euros présenté comme une volonté de mutualisation des dettes, outre qu'il s'agit de sommes dérisoires par rapport aux enjeux, ne débouchera que sur une perte nette pour la France de l'essentiel des sommes engagées tandis que la fuite en avant de la BCE engendrera nécessairement à terme une inflation qui pourrait être socialement et économiquement meurtrière.

    Il y aura donc bien, au final, un choc fiscal qui touchera chaque Français et chaque entreprise. Vous mentez, monsieur Darmanin. Encore et encore!

    La seule façon d'éviter ce choc serait l'application d'une politique de réduction drastique des dépenses hors devoirs régaliens de l'Etat (Armée, Diplomatie, Sécurité publique, sécurité sanitaire, Instruction publique et stratégie économique globale), de chasse systématique aux gaspillages, de supression d'au moins un des échelons administratifs de la Nation, de disparition du Sénat et des sinécures de la République comme le Conseil économique, social et environnemental, d'arrêt total d'une immigration au coût annuel vertigineux. Le tout conçu et pensé dans le cadre d"un renouveau politique, industriel d'une France retrouvée et protégée.

    En attendant que la Patrie prenne cette voie qui ne peut être que celle de l'Etat national, les Français paieront et beaucoup n'auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France.

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  • Dépôts de bilan : l’hécatombe ne fait que commencer

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

     

    de l’essayiste Olivier Piacentini (ses livres ici) :

    « En quelques jours, les annonces des dépôts de bilan, licenciements et fermetures d’usines ont plu dans les médias. Naf Naf et Alinea ont d’ores et déjà déposé le bilan, Conforama devrait suivre dans les jours qui viennent. Comme André, la Halle, 5 à sec et hélas, bien d’autres. Redressements judiciaires, plans de sauvegarde, ces dernières essaieront de survivre, mais ne pourront résister qu’en réduisant le nombre de magasins et les effectifs…

    Déjà en difficulté à cause des crises des Gilets jaunes, puis des grèves de la fin de l’année, toutes ces enseignes de la distribution, du textile ne résisteront pas à deux mois de fermeture forcée. Avec à la clé des dizaines de milliers d’emplois perdus. Mais au-delà de ces marques symboliques et connues, combien de petits commerces, PME, restaurants, bars ne rouvriront pas ? Selon un sondage pour le Parisien, 22 % des patrons de PME ont l’intention de licencier. Et les licenciements sont évalués à 20 % des effectifs de ces entreprises : après un compte rapide, sur 20 millions de salariés du privé en France, cela représenterait environ 900.000 emplois supprimés… Qui s’ajouteront aux dépôts de bilans.

    Restaurants, bars, hôtels auront bien du mal à reprendre leurs activités, sans parler de l’événementiel. Hier soir, le célèbre Jean Roch, patron de la mythique discothèque le VIP Room à Paris, a annoncé qu’il ne rouvrirait pas ses portes : le monde de la nuit ne sait même pas la date approximative de réouverture autorisée… Avec de telles annonces, c’est non seulement l’emploi, mais aussi l’image et l’art de vivre en France qui sont menacés.

    À l’heure où l’on parle de relocalisations, Renault prévoit la fermeture de quatre usines : Flins, Dieppe, Choisy et Caudan… L’État voudrait-il même aider ce fleuron en péril qu’il ne le pourrait peut-être pas, avec les règles européennes de non-intervention pour soutenir des entreprises, au titre du dogme de la concurrence libre et non faussée.

    Au train où vont les choses, le chômage en France pourrait doubler d’ici la fin de l’année, par rapport à ce qu’il était avant la pandémie. Pour éviter cela, il faudrait accélérer le déconfinement, rouvrir d’urgence tous les établissements, permettre de sauver la saison touristique, recréer vite un climat de confiance. Il faut que les Français retrouvent l’envie de vivre, sortir, consommer. Il en va de la survie de notre économie. Mais le gouvernement est-il encore capable de cela ? Les mensonges et dissimulations des semaines passées se paient aujourd’hui en termes d’emplois, au vu de la mollesse du redémarrage depuis deux semaines maintenant.

    L’hécatombe ne fait hélas que commencer. Pour s’en sortir, il faudra autre chose que les plans d’aides improbables annoncés en grande pompe l’autre jour par Macron et Merkel, qui restent entièrement soumis à l’accord des 27 : autant dire que les entreprises en situation d’urgence absolue risquent d’attendre longtemps la bouée de sauvetage… »

     

    Source : contre-info

  • Reprise des cultes et pitoyable bobard de Castaner

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Le ministre de l’Intétieur, accessoirement inculte ministre des cultes, Christophe Castaner a osé écrire que la reprise des cérémonies religieuses était le « fruit du dialogue » entre son ministère et les représentants officiels !
    Quel culot, puisque c’est seulement le fruit d’une décision judiciaire !
    Mais le fat Castaner veut se donner un beau rôle et surtout ne pas reconnaître agir sous la contrainte d’une défaite…

    L’image contient peut-être : texte

    C’est une victoire incomplète puisque les laïcards au pouvoir entend emm..der les croyants – en particulier catholiques – jusqu’au bout, avec par exemple le port du masque obligatoire durant les cérémonies.

     

    Source : contre-info

  • Hongrie et immigration : Viktor Orban serre la vis au droit d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Après la récente décision de la Cour de justice de l’UE qui a défini illégale la détention d’environ 300 immigrants illégaux effectuée par la Hongrie à travers des structures situées le long de la frontière avec la Serbie, le gouvernement Orban a annoncé un resserrement radical précisément dans le domaine des migrations.

    En fait, Budapest a récemment annoncé, en même temps que la libération des aspirants réfugiés en question, une réforme dans un sens encore plus restrictif de la législation nationale sur le droit d’asile. Le changement promu par l’exécutif dirigé par le Fidesz permettra, dans l’intention du Premier ministre magyar, de décourager définitivement les migrants de se blottir aux frontières hongroises pour présenter des demandes de protection internationale aux autorités du pays de l’Europe de l’Est.

    Zoltan Kovacs, porte-parole du gouvernement Orban, a annoncé jeudi le resserrement des lois migratoires hongroises, via un tweet.

    Zoltan Kovacs@zoltanspox

    The transit zone will be abolished, and in the future, asylum seekers will be able to submit their applications in neighboring countries, said Minister Gulyás. More on the BLOG: https://bit.ly/2TpT5CF 

    Selon ce qui a été publié par le haut fonctionnaire du gouvernement, les futures demandes d’asile ne peuvent plus être présentées sur le territoire magyar et donc les aspirants réfugiés, à partir d’aujourd’hui, ne pourront faire valoir leurs demandes de protection internationale que dans les consulats de Budapest présents dans les pays voisins avec la Hongrie, comme la Serbie.

    La déclaration publiée sur le web par Kovacs fait référence à une déclaration publiée à nouveau jeudi par Gergely Gulyás , chef de cabinet d’Orban.

    Au moyen de la note en question, Gulyás a précisément annoncé, après avoir vivement critiqué la décision de l’UE qui a défini la détention d’immigrants illégaux par Budapest comme illégale, qu’il n’y aura bientôt plus de zones de transit le long des frontières hongroises où les migrants pourront déposer leur demande d’asile. A l’avenir ils ne pourront le faire qu’en se rendant dans les bureaux consulaires hongrois opérant dans les “pays sûrs” qui bordent la nation gouvernée par le Fidesz.

    Ce serrement de vis pour contrer l’immigration illégale annoncé par les représentants de l’exécutif d’Orban a immédiatement, souligne le New York Times, mis en colère les organisations humanitaires, tel le Comité hongrois d’Helsinki qui, par la bouche de son porte-parole Zsolt Zadori, a qualifié de « violation de la Convention de Genève sur réfugiés  » la volonté de Budapest de forcer les immigrants à demander l’asile en dehors de la Hongrie.

    Kovacs a immédiatement répondu à cette critique en affirmant la conformité de l’initiative du cabinet Orban avec le texte du traité mentionné par Zadori, tout en précisant que les autorités de Budapest interpréteraient la Convention dans un sens diamétralement opposé à celui suivi par le porte-parole de l’ONG :

    « La Hongrie est entourée de nations sûres. La Convention de Genève stipule que les aspirants réfugiés doivent présenter leur demande dans le premier pays d’arrivée sûr. Nulle part il n’est écrit que les migrants ont le droit de choisir où demander l’asile et donc de violer les lois nationales sur l’immigration, devenant par conséquent des clandestins à repousser. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info