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  • Le trou de la Sécu repoussé aux calendes grecques

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2020

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    Le trou de la Sécu repoussé aux calendes grecques

    Le gouvernement envisage d’ajouter plus de 130 milliards de dette au “trou de la Sécu”, dont le remboursement serait repoussé de 2024 à 2033 -autant dire jamais- en raison du coronavirus.

    Un projet de loi prévoyant “une défaisance massive de dette sociale” doit être envoyé “très prochainement aux partenaires sociaux”.

    Le gouvernement entend transférer le passif de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) à la Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades), soit les 31 milliards accumulés fin 2019, auxquels s’ajouteraient au moins 92 milliards pour 2020, 2021, 2022 ainsi que les 10 milliards de dette des hôpitaux dont la reprise avait été annoncée en novembre. L’exécutif avait évoqué ce transfert de dette fin mars, constatant la dérive des comptes sociaux, écartelés entre dépenses nouvelles (masques, hôpitaux, arrêts de travail) et recettes évaporées (reports de cotisations, baisse d’activité). Un transfert qui va passer comme une lettre à la poste (et même plus facilement, vu le fonctionnement actuel de la Poste).

    Pour assurer le paiement des soins, des allocations et des pensions, le plafond d’emprunt de l’Acoss, qui gère la trésorerie de la Sécu, a été relevé deux fois, à 70 puis 95 milliards d’euros. Le déficit de la Sécu devrait pulvériser tous les records cette année . Le 22 avril, le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, évoquait le montant de 41 milliards d’euros.

     

    source : lesalonbeige

  • Profanation et Sacrilège dans l’église de la FSSPX de Bergerac

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2020

    Auteur : 

    C’est mardi 19 mai dans l’après-midi que l’église Saint-Jean-des-Cordeliers de Bergerac qui appartient à la FSSPX a été l’objet d’un terrible sacrilège : le tabernacle a été forcé et le Saint Sacrement, contenu dans deux ciboires, a été volé ainsi que les pavillons qui les recouvraient.

    Rien d’autre n’a été emporté alors que cette magnifique église du XVII° contient de très beaux objets liturgiques.

    L’émoi est grand chez les prêtres du prieuré Sainte-Jeanne-d’Arc qui ont déjà connu à deux reprises des dégradations (graffiti injurieux) sur les portes extérieures de l’église mais jamais de vol à l’intérieur.

    Un expert technique de la police judiciaire a été dépêché sur les lieux pour relever d’éventuelles empreintes digitales et traces ADN.

    Ce matin à 7 H 15 M. l’abbé Sébastien Gabard, Prieur, a célébré une messe de réparation devant des fidèles choqués et émus. Dans son court sermon, il a parlé de profanation et de viol sur le Corps Sacré de Notre Seigneur. Il a ensuite appelé à venir se recueillir devant le Saint Sacrement qui sera exposé à partir de ce soir pour une adoration nocturne.

    Les actes anti-chrétiens sont légions dans une république laïque, et laïciste, pour qui la France démarre à la révolution de 1789 et dont le gouvernement a voulu interdire le culte catholique sous prétexte de propagation du Covid19. Bien sûr, nous attendons avec impatience les dénonciations politiques de tous bords de cet acte anti-chrétien : ce n’est pas que nous soyons naïfs, c’est que l’espoir fait vivre…

    A cette heure, seuls nos confrères de Riposte Catholique ont relayé l’information ainsi que FR3 Aquitaine qui ne peut, au passage, s’empêcher de donner un petit coup de griffe en parlant de “cette congrégation catholique intégriste“.

    MPI invite ses lecteurs catholiques à s’unir par la pensée aux actes de réparation pour ce sacrilège et à témoigner leur soutien aux prêtres qui ont subi cet outrage à travers cette profanation.

     

    Source : medias-presse.info

  • lancement par Michel Onfray d'une revue intitulée "Front populaire"

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2020

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    Le lancement par Michel Onfray d'une revue intitulée "Front populaire" agite depuis quelques jours le Landerneau de l'intelligentsia droitiste.

    Objectif affiché par le philosophe : "Fédérer les souverainistes de droite, de gauche et, surtout, d’ailleurs – à savoir ceux qui ne se reconnaissent pas dans le jeu politique bipolarisé, donc manichéen. Nous voulons contribuer au débat d’idées qui n’existe plus depuis des années. Nous souhaitons faire de telle sorte que des notions comme peuple, populaire, nation, souverainisme, protectionnisme ne soient pas des insultes mais des prétextes à débattre".

    Air connu... Vieille lune... Brocanterie intellectuelle au "décrochez moi ça". Chevènement s'y est essayé avec le succès que l'on sait tandis que mille cénacles souverainistes ou anti Système ont tenté d'explorer les ultimes remises de ces rêveries poussiéreuses.

    La notion même de souverainisme, conçue et voulue dans les années 1990 comme alternative à celle de nationalisme, est un leurre et un égarement. Tenter de la faire revivre aujourd'hui relève d'une action de traverse et d'une volonté de détournement servie par la confusion qui obscurcit depuis deux décennies notre camp politique.

    Le fait que Michel Onfray bénéficie depuis longtemps au sein de la Nouvelle droite d'un préjugé favorable en raison de ses prises de positions populistes ne saurait suffire à reconnaître en lui un compagnon de route. Sa proximité ancienne avec José Bové, son engagement lors de la Présidentielle de 2007 auprès d'Olivier Besancenot, son soutien jamais démenti aux organisations et mouvements d'ultra gauche, ses déclarations ambiguës sur l'islam, son dédain professoral des solutions de la vraie droite nationale et son rejet de nos mouvements, devraient inciter les rêveurs du désenclavement prospectif vécu comme prolégomène d'une libération politique menant à un vaste mouvement de sursaut populaire transcendant les clivages, à la prudence et à la retenue.

    Rien de bon ne peut sortir de la confusion. Les raisons qui poussent l'ultra gauche à refuser le régime au nom d'un peuple fantasmé dans sa dimension uniquement citoyenne sans jamais renier son internationalisme, ne sont en rien comparables aux nôtres dont le ciment est la foi en une Nation historique et hiérarchisée, charnelle et spirituelle.

    Les inconditionnels du débat perpétuel se réjouiront de cette initiative qui occupera leurs jours et leurs nuits pendant quelques mois. Et puis? Rien! Comme toujours, le soufflé retombera. Un temps précieux aura une fois de plus été perdu.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France

     
     
     
     
  • Vers une dissolution de l’Assemblée nationale ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2020

    Vers une dissolution de l’Assemblée nationale ?

    Pour détourner l’attention des Français de la pitoyable gestion de la crise par le gouvernement et permettre à la politique politicienne de reprendre la une de l’actualité, Stéphane Séjourné, ancien conseiller du Président, estime que la solution d’une dissolution de l’Assemblée ne doit pas être écartée.

    D’autant plus qu’un neuvième groupe politique, composé de 17 anciens députés LREM, a été déposé officiellement mardi à l’Assemblée. Le groupe LaREM perd du même coup la majorité absolue, au moins temporairement. Baptisé “Ecologie Démocratie Solidarité”, ce nouveau groupe est “indépendant”, “ni dans la majorité, ni dans l’opposition”. Parmi ses membres figurent d’anciens “marcheurs” comme Matthieu Orphelin (proche de Nicolas Hulot), ou encore des membres de l’aile gauche de LaREM comme Aurélien Taché ou Cédric Villani. Tous ces députés ont été élus en 2017 sous l’étiquette LaREM à l’exception de Delphine Batho.

    Avec ce neuvième groupe, LaREM perd sept de ses membres ou apparentés, tombant à 288, juste sous le seuil de la majorité absolue (289 sièges) qu’il détenait jusqu’alors à lui seul. Le groupe comptait 314 députés en mai 2017. Un symbole, même si le groupe majoritaire peut s’appuyer sur ses 46 alliés du MoDem et la dizaine d’élus Agir.

    Et une dissolution permettrait au gouvernement en place de laisser la difficile gestion post-COVID à une nouvelle équipe, si possible de l’opposition à Macron, afin de faire réélire ce dernier en 2022.

     

    Source : lesalonbeige

  • Après le virus, la dinguerie menace

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2020

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    La chronique de Philippe Randa

    L’heure est donc au déconfinement… pour que l’Humanité reprenne sa folle course…

    La folie, justement… On croyait en avoir eu notre dose deux mois durant entre sidération, interventions ubuesques de la porte-parole du gouvernement, complotisme des uns, conspirationnisme des autres et délires pour tout le monde… mais non !

    Sur France Info, on interrogeait une psy-machin-chose sur les conséquences psychologiques, liées à la crise sanitaire. Et quelles conséquences !

    C’est que la situation que nous avons vécue était « inconnue » (sic !) et donc, génératrice de « stress post-traumatique »… et ses dégâts, à l’écouter, allaient être d’importance ! Autrement plus terribles que les 26/27 à 30 000 morts dus au Coronavirus (dont 85 % de plus de 65 ans) que devrait compter au final notre pays…

    En écoutant cette psy, je me disais qu’on avait touché le fond ; ce fameux fond de la nature humaine qui se révèle toujours plus profond.

    On croyait voir le bout du tunnel, mais pas du tout : nous allons toujours être – et plus que jamais – plongés dans la plus inquiétante des obscurités ; on s’imagine ce qu’a dû être le « stress post-traumatique » de nos parents avec leur 100 000 morts de la grippe asiatique en 1957… Un stress sans doute si « bouleversifiant » qu’ils ont préféré l’oublier. Un déni de stress, en quelque sorte…

    Renseignement pris auprès d’un médecin, celui-ci me confirme que si traumatisme il y a, il ne touchera que les sujets aux tendances névrotiques « car toute histoire névrotique est contagieuse chez les gens qui dépendent du regard des autres. »

    Après l’obligation de porter un masque pour se protéger le nez et la bouche, manquerait plus qu’on nous impose des masques de Zorro…

    Pourquoi pas alors un entonnoir sur le crâne ? Ça devrait le faire, non ?

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