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  • Argovie : «Une demi-heure de file pour acheter 50 ‘têtes de maure’»

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2020

    Après l’annonce de la Migros de vouloir virer de son assortiment des têtes de choco controversées, de nombreuses personnes se sont rendues directement chez le producteur pour s’en procurer.

    «Une personne est repartie avec sept boîtes de 50 têtes de choco chacune», raconte vendredi un lecteur alémanique. Le jeune homme de 24 ans explique que de nombreuses personnes se sont rendues à la fabrique Dubler, située à Waltenschwil (AG), pour acheter les confiseries baptisées «Mohrenköpfe» (têtes de maure), que la Migros a décidé de virer de ses rayons. Une décision prise à cause du caractère controversé du nom de cette pâtisserie.

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    20min.ch via lesobservateurs

  • A son tour, Manor retire de la vente la «tête de maure» de Richterich

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2020

    Manor emboîte le pas de Migros et retire également certaines têtes au choco de ses étals. Cette fois-ci, ce sont les desserts du fabricant bâlois Richterich qui sont visés. L’entreprise s’est, elle, défendue d’une quelconque connotation raciste dans l’appellation de ses produits.

    Le grand magasin Manor a annoncé jeudi qu’il retire de la vente la «tête de maure» («Mohrenkopf» en allemand) de l’entreprise Richterich. «Maure» a des connotations captieuses et négatives, selon le porte-parole de Manor.

    Manor réagit ainsi aux protestations antiracistes après le meurtre d’un Afro-Américain par la police à Minneapolis. «En raison du débat actuel, nous avons décidé de retirer le produit des rayons avec effet immédiat», a indiqué jeudi le service de presse de Manor, qui confirme ainsi les informations de plusieurs médias.

     

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    Le Nouvelliste via lesobservateurs

  • PSA fait venir des salariés polonais plutôt que des intérimaires

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2020

    Par  le 12/06/2020

    Le constructeur organise régulièrement des transferts en France. En Europe, c’est une première.

    D’ici à la fin du mois de juin, 270 ouvriers polonais du groupe PSA, qui assemblent habituellement des Opel Astra à Gliwice, vont rejoindre l’usine d’Hordain dans le Nord. D’après la direction, l’objectif est de faire venir 531 salariés supplémentaires pendant trois mois pour parvenir à constituer début juillet trois équipes, contre deux à l’heure actuelle, pour honorer les commandes en attente de véhicules utilitaires. L’usine d’Hordain produit des véhicules pour Peugeot, Citroën, Opel, Vauxhall et Toyota. Outre les salariés polonais, des collègues espagnols pourraient aussi venir prêter main-forte cet été aux usines françaises.
    […]

    Jusqu’au confinement mi-mars, PSA employait 500 intérimaires sur le site de Hordain, sur un total de 1 600 personnes y travaillant. Aujourd’hui, le groupe n’emploie plus d’intérimaires à Hordain et a ramené leur nombre à 370 sur toute la France. Il va continuer à privilégier ses propres ressources, plutôt que de faire appel à l’intérim.

    […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Musée du Quai Branly à Paris : des activistes africains arrachent un objet exposé dans le cadre d’une « opération de récupération des biens volés par la France »

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2020

    Elisa Miebach@elisamiebach

    Protesters in ' Musée du Quai were demanding the museum to give back its artefacts to their countries of origin today. Des manifestants demandaient au Musée du Quai Branly de rendre ses artefacts à leurs pays d'origine aujourd'hui.

    Vidéo intégrée
    La Tribune de l'Art@ltdla

    Qui sème le vent...

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    Source : fdesouche

  • Tentative d’incendie contre la cathédrale de Rennes

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2020

    Par  le 12/06/2020

     

    Il est autour de 1 h 30, dans la nuit de jeudi 11 à vendredi 12 juin, dans le centre-ville de Rennes. C’est la fin du service pour les cafetiers autour de la cathédrale Saint-Pierre. Au DowTown, rue de la Psalette, le patron partage un verre avec d’autres restaurateurs du quartier. Il raconte le début d’incendie à la cathédrale : « J’ai commencé à sentir une forte odeur de brûlé. Je suis allé voir si ça ne venait pas de nos cuisines. Mais non. Je suis monté au deuxième étage et j’ai ouvert la fenêtre qui donnait sur le presbytère. L’odeur y était de plus en plus forte. Je suis sorti pour aller voir ce qui se passait. Là j’ai vu des voisins courir avec des bassines d’eau. Ils m’ont expliqué que la porte de la cathédrale était en feu. »