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  • Esclavage : 12 choses méconnues. Attention au choc !

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    L’excellente revue d’études et de formation politique L’Héritage (abonnez-vous y !)  publie cet excellent rappel :

    On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

    Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

    Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même ceux qui parlent le plus d’esclavage.
    Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

    1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

    2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs dans la mesure où, auparavant, en cas de conflit, les hommes vaincus étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

    3) Aux Etats-Unis, au moment de la Guerre de Sécession, seuls 2% des Blancs possédaient des esclaves (4,8% dans les Etats esclavagistes).

    4) Le général Lee, commandant des armées sudistes, était hostile à l’esclavage.

    5) De nombreux Blancs furent esclaves aux Etats-Unis et dans les îles. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade, 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des Blancs arrivent en Amérique comme esclaves.
    Au XVIIe siècle, il y eut davantage de Blancs déportés aux Amériques que de Noirs.

    6) Des Afro-américains possédaient eux aussi des esclaves. L’un des premiers propriétaires d’esclaves aux Etats-Unis fut un Noir (Anthony Johnson), qui avait d’ailleurs des serviteurs blancs.

    7) Le mot « esclave » vient du nom « Slave », car les peuples slaves (d’Europe centrale et de l’Est) ont été victimes de la traite à très grande échelle (plusieurs millions) pendant des siècles, notamment par l’Empire ottoman.

    8) Du IXe au XIXe siècles, environ 2 millions d’Européens de l’Ouest – hommes, femmes et enfants – sont capturés par les musulmans et réduits en esclavage.
    Pendant des siècles, de nombreux hommes capturés sont – comme dans le cas des Slaves – castrés, opération qui entraîne la mort d’une grande partie d’entre eux. Quant aux femmes, elles sont souvent destinées à l’esclavage sexuel et livrées à la perversité de leurs « propriétaires », ce qui est parfois aussi le cas des enfants.
    Pour donner une idée de l’ampleur de ces razzias, une lettre du 3 février 1442 adressée par un religieux qui résidait à Constantinople au prieur de Saint-Jean-de-Jérusalem (de l’ordre des hospitaliers) mentionne l’enlèvement par les Turcs de 400 000 chrétiens en seulement 6 ans.

    9) Pendant des siècles, les Barbaresques (occupant le Maghreb) terroriseront la Méditerranée et ses rivages où ils capturent des Européens, mais ils séviront aussi en Atlantique, jusqu’aux côtes anglaises. La France a conquis Alger, en 1830, pour mettre fin à ce fléau.

    10) C’est à l’intérieur de l’Afrique même que l’esclavage a eu le plus d’ampleur ; les Noirs s’y esclavagisaient entre eux.
    • La traite interne à l’Afrique a concerné environ 17 millions de personnes.
    • La traite arabo-musulmane a concerné environ 14 millions de personnes.
    • Enfin, en dernière position, la traite vers l’Amérique et les îles a concerné de 9 à 11 millions de personnes (noires et blanches).

    11) Pour la traite transatlantique, une très grande partie des navires négriers appartenaient à des familles juives, étaient commandés par des Juifs et « ce commerce était principalement une entreprise juive » I d’après les historiens (juifs)Au milieu du XIXe siècle, aux Etats-Unis, 40% des Juifs possédaient des esclaves (contre 2% des Blancs).
    Dès le IXe siècle, en France, les Juifs étaient communément montrés comme les maîtres de ce « malheureux trafic ».

    12) L’esclavage existe encore dans certaines parties du monde arabo-musulman (des images de marchés aux esclaves ont été prises en Libye en 2017) ainsi qu’en Afrique : on estime que près de 40 millions de personnes dans le monde vivent encore en esclavage…
    Mais il existe aussi en Europe : aux Pays-bas, chaque année, plus d’un millier de jeunes filles sont victimes d’exploitation sexuelle par des jeunes proxénètes issus de l’immigration ; en Angleterre, dans la seule ville de Rotherham, entre 1997 et 2013, 1400 mineures ont été victimes de viols par des gangs pakistanais, des centaines de jeunes filles réduites à l’esclavage sexuel et à la prostitution.

    Henri Ménestrel

    Bonus :
    Christiane Taubira, montrant que les élites savent certaines choses mais veulent les cacher par idéologie, explique qu’il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabe-musulmane pour que les « jeunes Arabes » « ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006).

    Sources :
    La désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne, Atelier Fol’Fer.
    Le Génocide voilé, Tidiane N’Diaye, Gallimard.
    La désinformation autour de la Guerre de Sécession, Alain Sanders, Atelier Fol’Fer.
    Les Négriers en terre d’islam, Jacques Heers, Perrin.
    (I) New world Jewry, Seymour B. Liebman (American jewish historical society), 1982.
    Jews and judaism in the United States, Marc Lee Raphael (American jewish historical society).
    They Were White and They were Slaves, Michael A. Hoffman

  • Des développeurs veulent débarrasser le code informatique de termes jugés racistes

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Par  le 14/06/2020

    Jugées racistes, des expressions comme « master » et « slave » sont dans le collimateur de bon nombre de développeurs, qui souhaitent les voir disparaître du code informatique. Le changement, cosmétique en apparence, divise profondément le secteur.

    Après l’écriture inclusive, le code inclusif. Alors que des manifestations et émeutes s’enchaînent aux États-Unis pour lutter contre les discriminations raciales et que le mouvement Black Lives Matter prend chaque jour un peu plus d’ampleur, un débat est venu susciter de vives prises de position dans la communauté informatique: bannir, ou non, du développement de logiciels et du code des expressions jugées clivantes, à l’image de « whitelist » (liste blanche), « blacklist » (liste noire), mais surtout de « master » (maître) et « slave » (esclave).

    « Il est clair que certaines personnes sont blessées par ces termes et que leur utilisation suscite chez elles un sentiment de malaise, non pas pour des raisons techniques, mais en raison de leur contexte historique et social« , considérait tout récemment Google, en estimant qu’il s’agissait d’arguments suffisants pour les faire disparaître. « Master-slave est une métaphore oppressive qui ne sera et devrait jamais être totalement détachée de notre histoire« , soulignait tout récemment un développeur de Microsoft, qui appelle à leur remplacement. […]

    Sur quatre développeurs sollicités, aucun n’indique néanmoins avoir au cours de sa carrière été confronté à un confrère heurté par ces expressions. « C’est encore, et j’en fais malheureusement partie, une discussion de blancs privilégiés qui essaient d’inclure un peu plus les personnes discriminées dans la terminologie« , note l’un d’entre eux. […]

    bfmtv via fdesouche

  • Afrique du Sud : un restaurateur autrichien massacré à coups de machette devant sa femme, il a été « découpé en morceaux »

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Par  le 14/06/2020

    Afrique du Sud – Le propriétaire d’un restaurant à thème allemand a été découpé « en morceaux », devant sa femme terrifiée, par un individu armé d’une machette.

    Eduard Neumeister, né en Autriche, est mort après avoir reçu des « dizaines de coups » de coups de machette dans sa petite ferme de campagne en Afrique du Sud.

    L’homme de 67 ans et sa femme Margit Riebler, 62 ans, étaient au restaurant de saucisses Bratwurst, qu’ils dirigent ensemble. Lorsque Eduard est sorti pour nourrir leurs deux chiens, il a été soudainement frappé par un homme avec une cagoule et jeté à terre.

    Margit a décrit à la police la lutte qui s’est déroulée à l’extérieur du restaurant, au cours de laquelle Eduard, connu par les habitants sous le nom d’Edi, a tenté de neutraliser l’assaillant, avant de s’effondrer dans une énorme mare de sang.

    Il avait été frappé à plusieurs reprises avec la lame, faisant croire à Margit qu’il était mort. L’homme cagoulé s’est alors rendu dans la cuisine du restaurant et a saisi Margit à la gorge.

    Il a menacé de la tuer avant d’exiger : « Donne-moi tout l’argent ou meurs ».

    Alors qu’il l’étranglait, Margit a vu son mari Eduard, horriblement blessé et couvert de sang, qui tentait de l’aider.

    L’agresseur s’est retourné et a lancé une seconde attaque. Les policiers sont arrivés plus tard et ont déclaré qu’ils n’avaient jamais vu des blessures aussi horribles infligées par un seul homme et qu’Eduard avait été littéralement coupé « en morceaux ».

    Mirror via fdesouche

  • GB : Les maillots de tous les joueurs arboreront le slogan antiraciste « Black Lives Matter » dans le dos à la place de leur nom

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2020

    Par  le 12/06/2020

    Les maillots de tous les joueurs arboreront le slogan antiraciste « Black Lives Matter » dans le dos à la place de leur nom, lors de la reprise du championnat anglais de football la semaine prochaine, a annoncé vendredi la Premier League.

  • Mort d'un grand écrivain et d'un grand Français.

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2020

    L’image contient peut-être : une personne ou plus

    Jean Raspail est mort, quelques heures après avoir reçu les derniers sacrements, et c'est toute la France française qui porte le deuil.

    Dire que Raspail fut un grand écrivain serait réducteur. Il était un auteur majeur de notre littérature, un explorateur aventureux, un anthropologue encyclopédique et un intellectuel de haute lignée que seuls l'ostracisme à l'égard de la famille nationale et la stigmatisation absolue de ceux qui portent nos idées, nos convictions et nos traditions, empêchèrent d'accéder à une reconnaissance institutionnelle de la Nation et de ses pairs même s'il remporta, en 1981, le Prix de l'Académie française pour "Moi, Antoine de Tournens, roi de Patagonie".

    Le signal d'alarme que lançait son livre prophétique, "Le Camp des Saints", ne fut pas entendu par le peuple français. Nous mesurons aujourd'hui où nous aura menés cette surdité.

    En 1984 alors que j'assurais la rédaction en chef des pages culturelles de National Hebdo, Roland Gaucher m'avait demandé de lui proposer une chronique hebdomadaire. Ce ne fut malheureusement pas possible et c'est au si talentueux et amical Michel de Saint Pierre que nous allions la confier. Mais je découvris, a cette occasion, un homme charmant, impressionnant de profondeur et de culture.

    Le Parti de la France s'incline devant ce grand français qui, par la densité de son oeuvre, demeure immortel et restera un symbole de la fidélité a ce que nous sommes.

    Adieu Jean Raspail. Le catholique fervent que vous étiez a trouvé son chemin ultime.

    Jean-François Touzé.
    Délégué général du Parti de la France.