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  • Nice : 3 policiers blessés par un Capverdien lors de son interpellation, les agents « n’ont pas osé recourir » à la clé d’étranglement

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2020

    Par  le 16/06/2020
    Samedi vers 7 heures, en gare de Nice. Une femme de ménage est en pleurs sur son lieu de travail. Elle vient se plaindre auprès d’une patrouille de la brigade des chemins de fer (entité de la police aux frontières). André, son compagnon explique-t-elle, l’a déjà frappée le vendredi soir, et lui a placé un couteau sous la gorge une semaine plus tôt. Il est venu la harceler en gare pour la menacer et lui voler son téléphone.

    Le suspect, un Capverdien de 28 ans, est rapidement interpellé. Il sort alors le téléphone de sa sacoche qu’il pulvérise en le jetant au sol. Les agents lui demandent de se calmer mais l’individu est pris d’un accès de colère, les couvre d’insultes et se met à les frapper.

    Le plus jeune des policiers (adjoint de sécurité) est saisi à la gorge. Ses deux collègues plus expérimentés n’osent pas recourir à la prise au cou si controversée, déplore un délégué d’Unité SGP police. L’interpellation vire au pugilat devant des cheminots et des clients médusés. L’individu est finalement neutralisé et ramené au poste de police mais le bilan est lourd: trois policiers sont blessés et en arrêt de travail.…

  • Marxloh (All.) : des clans arabes exigent sous peine de mort que la police quitte leur quartier

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2020

     

    « Marxloh est notre quartier »

    Environ 2700 membres de clans d’origine arabe vivent à Duisbourg [Rhénanie-du-Nord-Westphalie] selon un rapport de police; ces dernières années, quelque 600 d’entre eux ont commis des délits, certains à plusieurs reprises. Ces clans se concentrent dans un petit nombre de quartiers, en particulier à Marxloh [20 000 habitants].

    […]

    Depuis l’arrestation de S. [auteur de 75 délits, arrêté dans une cage d’escalier malgré la présence d’une foule bruyante et agressive], « il semble que Marxloh et ses environs soient à nouveau en ébullition », dit-on du côté des enquêteurs. Pourtant, la tactique policière de la tolérance zéro porte ses fruits […] De 24 jours de désordres en 2017, on est tombé à 11 en 2018 et à 4 l’an passé […] Mais dans les jours qui ont suivi l’arrestation dans la cage d’escalier, il y a eu 2 jours de désordres […] le 19 mai et le 28 mai.

    Le 22 mai […], la direction de la police de Duisbourg reçoit un courriel contenant une menace d’attentat et l’avertissement de se retirer de Marxloh. « Objet : Allah Akbar, Marxloh est notre quartier. […] Nous interdisons à tous les mécréants d’entrer dans notre quartier. Nous chasserons par la force des armes ou nous tuerons tous les policiers, journalistes et autres mécréants. Chez nous, c’est la charia radicale qui est en vigueur », peut-on lire dans cet écrit. « Nous nous sommes procuré en Turquie et en Russie 2000 fusils d’assaut AK-47 avec suffisamment de munitions. Allah Akbar, tuez tous les mécréants. » […] Les autorités chargées de l’enquête prennent manifestement ces menaces au sérieux. […]

    (Traduction Fdesouche)

    RP-Online via fdesouche

  • LFI : après Jean-Luc Mélenchon, Eric Coquerel exprime à son tour son souhait de voir la police être désarmée

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2020

    Par  le 15/06/2020
    Eric Coquerel @ericcoquerel

    La police est sur-armée et soumise à la politique du chiffre depuis Sarkozy. Cette politique du chiffre a notamment poussé aux dérives du contrôle au faciès.

    Les armes létales et les techniques type clef d’étranglement doivent être interdites. Il faut réformer la police. @Beurfm

    Source : fdesouche

  • Pour Hamid El Hassouni, adjoint au maire PS de Dijon, les jeunes armés d’AK47 ont juste souhaité « garantir la sécurité des habitants »

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2020

    Par  le 16/06/2020

    Après quatre nuits tendues dans la Métropole dijonnaise, Hamid El Hassouni, adjoint au maire de Dijon, délégué au quartier des Grésilles, est revenu sur la situation. Il appelle au calme et regrette l’image tronquée que donnent les images de ce quartier.

    (…) Hamid El Hassouni est d’abord revenu sur les évènements du week-end, avec l’arrivée de personnes se revendiquant de la communauté tchétchène. « Je l’ai vécu en direct, c’était indescriptible, a-t-il raconté au micro de France Bleu Bourgogne. On a eu le sentiment que les groupes de Tchétchènes opéraient en toute liberté et que la sécurité n’était pas garantie pour les habitants du quartier ». Selon lui, les habitants « ont décidé de gérer eux-mêmes ce qui ne dépend pas du tout de leur compétence, en ‘garantissant’ la sécurité des habitants ».

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Phase 3 du déconfinement, boom de l’invasion en Europe

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2020

    Les données de Frontex, l’agence de l’Union européenne pour la protection des frontières, montrent l’augmentation exponentielle des flux migratoires vers l’Europe après le confinement qui avait fermé les frontières : en mai, les arrivées de migrants ont triplé par rapport à la même période en 2019.

    L’Agence européenne de protection des frontières, Frontex, photographie l’augmentation exponentielle des débarquements. En mai, les arrivées clandestines ont triplé avec plus de 4 300 entrées illégales. La plupart de la Turquie vers la Grèce : 1 250 cas en mai, huit fois plus que le mois précédent, 12 700 depuis le début de l’année. Ce sont pour la plupart des « réfugiés » afghans.

    Ce qui inquiète le directeur de l’agence, Fabrice Leggeri, c’est l’attitude d’Ankara. « Ces derniers mois, la police des frontières turques a ouvert le feu sur la Grèce à au moins cinq reprises, mais personne n’a été blessé », a-t- il déclaré dans une interview au groupe allemand Funke. « Si la Turquie devait créer une situation similaire à celle de mars, a-t-il ajouté, Frontex augmenterait considérablement ses effectifs en Grèce. » On parle de 1 500 personnes, soit près de trois fois les 600 unités de personnel actuellement déployées en Grèce, à Evros et dans les îles de la mer Égée.

    Sur la route de la Méditerranée centrale, il y a eu plus d’un millier d’arrivées en mai, presque le double du mois précédent. Les migrants quittent principalement la Libye et la Tunisie pour rejoindre les côtes italiennes ou maltaises. Les chiffres de 2020 témoignent d’une nette reprise des départs. Il y a ceux qui voient dans les régularisations annoncées par l’actuel gouvernement socialo-libéral italien l’un des « facteurs d’attraction » qui ont poussé les migrants à se rendre en Italie dès la fin de l’urgence sanitaire.

    Le fait est que de janvier à mai, Frontex a déjà enregistré 5 500 entrées illégales par cette voie méditerranéenne. Le triple de celles calculées au cours de la même période de 2019. La plupart des personnes embarquées viennent du Bangladesh, du Soudan et de la Côte d’Ivoire. Cependant, des nombres plus faibles sont enregistrés également sur la route de la Méditerranée occidentale. Du Maroc à l’Espagne, il y en avait 650, presque tous des Algériens. Et même dans ce cas, le chiffre est trois fois plus élevé que celui d’avril.

    Les passages illégaux sur la route des Balkans augmentent également. Il y en a eu 900 en mai, dix fois plus que le mois précédent. Une situation qui inquiète le Nord-Est et qui, ces dernières semaines, a incité le premier citoyen de Trieste, Roberto Di Piazza, à accuser les autres pays de « fermer les yeux » :

    « Beaucoup sont originaires du Pakistan, traversent la Turquie, la Croatie et la Slovénie sans trouver d’obstacles, et nous les trouvons ici, dit-il. Ils savent qu’en Italie il y a une politique plus tolérante. »

    De janvier à mai, Frontex a dénombré près de 7 000 cas sur la route des Balkans, le double par rapport à la même période l’an dernier. Des chiffres qui reflètent ceux fournis par le ministère de l’Intérieur italien, qui parle d’une augmentation de plus du double du nombre d’étrangers arrivant en Italie par rapport à la même période de 2019 : 5472 contre 2144. Une tendance qui s’est confirmée également le mois dernier : 1654 admissions contre 782 l’année dernière.

    Dans l’interview avec les médias allemands, Leggeri s’est dit favorable à une révision de la législation européenne sur le droit d’asile. Les demandes de protection internationale, selon le directeur de Frontex, devraient être « déjà vérifiées aux frontières extérieures » de l’Union européenne.

    « Les demandeurs d’asile, a-t-il expliqué, devraient être informés dès que possible s’ils se verront accorder ou non le statut de réfugié ».

    Et si la réponse était négative, a-t-il précisé, « les migrants doivent être expulsés immédiatement ».

    Cette étude de Frontex a un grand mérite, plus grand que celui de révéler les chiffres officiels de l’invasion : elle démontre que la fermeture des frontières européennes dues à la crise sanitaire a notablement fait baisser les entrées illégales en Europe. Pour stopper l’invasion de l’Europe, fermer les frontières est donc non seulement possible techniquement mais aussi efficace pratiquement !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info