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  • NOUS SOMMES MÛRS POUR L’ISLAM !

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2020

    POSTÉ LE SEPTEMBRE 01, 2020, 10:58

    Les règles gouvernementales de lutte contre le covid-19 me semblent chaque jour plus ineptes.
    J’ignore ce que cela signifie.
    On peut imaginer que nos dirigeants soient vendus à l’industrie pharmaceutique.
    On peut imaginer qu’ils soient terrorisés à l’idée que l’opinion publique leur reproche de n’avoir rien fait.
    On peut imaginer qu’ils profitent de l’occasion pour museler (au sens propre comme au sens figuré !) toute opposition.
    On peut encore imaginer bien d’autres interprétations qui, d’ailleurs, ne sont pas exclusives les unes des autres.
    Mais, enfin, aucune de ces interprétations auxquelles je peux penser n’empêcherait que le gouvernement tienne un discours rationnel et cohérent.
    Or, il est évident que les ordres et contre-ordres qui se succèdent à grande vitesse n’ont rien de rationnel.
    Tout se passe comme si nous étions désormais soumis à une loi parfaitement arbitraire et parfois absurde.
    Tantôt les masques sont dangereux, donc prohibés, tantôt ils sont obligatoires. Tantôt les enfants ne risquent rien, tantôt il faut les masquer toute la journée, y compris dans la cour de récréation. Tantôt on nous explique le vaccin est notre seul espoir, tantôt on nous dit que les personnes déjà infectées en mars peuvent l’être à nouveau – ce qui rend tout vaccin sans objet.
    Chacune de ces propositions aurait été compréhensible (à défaut d’être nécessairement juste et efficace !), mais leur accumulation détruit toute rationalité.
    Bien sûr, nous pouvons être tentés d’en rire. Mais il ne faut pas perdre de vue, pour autant, la gravité de la situation.
    Non pas la gravité de l’épidémie – à laquelle j’avoue que je ne crois pas beaucoup. Mais la gravité de la réponse gouvernementale.
    Que des dirigeants politiques ne se préoccupent plus, le moins du monde, d’expliquer leurs décisions est une régression inouïe.
    Or, cette régression rejoint un autre péril de notre situation contemporaine – et que cela aggrave notre situation. Il existe en effet une idéologie conquérante, qui s’implante rapidement sur notre sol et qui, elle aussi, exige une soumission totale à une loi arbitraire.
    Cette idéologie, naturellement, c’est l’islam – dont le nom même indique cette notion de soumission.
    Que l’islam soit soumission à une loi arbitraire, le coran le dit lui-même en interdisant de chercher à comprendre les jugements d’Allah.
    Il est vrai que le projet de la modernité prend explicitement modèle sur l’islam. Ainsi Rousseau, le pédagogue des jacobins, n’a-t-il pas de mot assez dur contre la distinction chrétienne entre spirituel et temporel – avant d’ajouter : « Mahomet eut des vues très saines. »
    Ou, pour le dire plus savamment, avec Hobbes : Auctoritas, non veritas, facit legem – c’est l’autorité et non la vérité qui fait la loi.
    En somme, peu importe que ce soit juste, l’essentiel est que ce soit décidé par l’autorité « compétente ».
    Ce qui, dans la pratique, se traduit ainsi : on ne vous demande pas de comprendre à quoi sert le masque, on vous dit que ne pas le porter vous coûtera 135 euros.
    J’ignore ce qu’il y a derrière l’avalanche de décisions contradictoires du gouvernement.
    Mais je vois, en tout cas, une chose très grave et très évidente, sur laquelle un ami attirait récemment mon attention : en nous soumettant à ces injonctions contradictoires, nous sommes mûrs pour l’islam.
    Mais, après tout, c’est peut-être à cela que rêvent nos modernes oligarques : une petite poignée de dirigeants dispensés de la loi commune et régnant sur une masse d’esclaves !

     

    Source : les4verites

  • CULTURE DE L’EXCUSE

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2020

    POSTÉ LE SEPTEMBRE 01, 2020, 10:47

    Un individu de 45 ans a été arrêté le 27 août à Nantes. Il a reconnu avoir, une semaine plus tôt, assassiné une jeune fille de 15 ans.
    Encore un fait divers, tristement révélateur de la barbarie qui monte dans notre « dissociété », direz-vous.
    Certes. Mais il y a plus grave.
    L’individu a été arrêté aussi vite parce que son ADN, relevé sur le corps de la malheureuse, figurait dans les fichiers de la police judiciaire.
    Pourquoi ? « Tout simplement » parce que l’homme avait déjà été condamné à 18 ans de prison (pour la bagatelle de 12 viols et tentatives de viol) en 2004.
    Un calcul rapide vous permet de constater qu’il doit y avoir erreur dans la phrase qui précède (2004 + 18 = 2022 et nous sommes encore en 2020).
    Hélas non, il n’y a pas d’erreur. L’homme a été libéré en 2016.
    En principe, un viol est punissable de 15 ans de réclusion criminelle (ce qui, entre nous, n’est déjà pas cher payé pour avoir ruiné la vie d’une innocente). Là, l’intéressé a fait baisser le « tarif » à un an par viol !
    La vie et l’intégrité de nos jeunes femmes ne valent décidément pas bien cher sous Marianne V. C’était bien la peine de faire tout ce cinéma féministe à l’occasion de #Metoo, n’est-ce pas Marlène Schiappa !
    Mais le plus incroyable, c’est que la chose a été « théorisée ».
    L’avocat (membre de la Ligue des droits de l’homme) Arié Alimi a commenté : « Il n’y a pas de société sans risque, il y a malheureusement des choses qu’on ne pourra jamais éviter. »
    Plus fort encore, le juge (oui, le juge : vous savez, cet homme dont la fonction est de punir les criminels, de rendre justice aux victimes et de protéger la société en mettant les agresseurs hors d’état de nuire !) Jean-Pierre Rosenczveig a, quant à lui, précisé doctement : « Il n’existe aucune certitude d’empêcher quelqu’un de passer à l’acte. » Circulez, il n’y a rien à voir !
    Il est certain que, si on remet les violeurs dans la nature, cela augmente nettement le risque de viol. Mais ce n’est pas la « faute à pas de chance ». C’est la faute du laxisme judiciaire.
    Le syndicat de police Synergie-Officiers ajoute à propos de ce juge : « Il y a 15 ans ce magistrat était surnommé “le père Noël” sur le 93. Patron du tribunal pour enfants, il n’a eu de cesse d’écumer les plateaux en apôtre de la culture de l’excuse. »
    On avait compris. Des crimes sont commis, c’est bien regrettable, ma pauv’ dame, mais personne n’y peut rien. D’ailleurs, dans cette histoire, il n’y a que des victimes, n’est-ce pas ?
    Au fait, si on rendait enfin les magistrats responsables de leurs décisions, aurait-on toujours le même laxisme judiciaire ?

     

    Source : les4verites

  • C’était un 3 septembre… 1792 : l’atroce assassinat maçonnique de la princesse de Lamballe

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2020

    [Un texte tiré de la revue L’Héritage]

    Parlant des Francs-Maçons et de leurs forfaits, dans son admirable encyclique Humanum Genus, le Pape Léon XIII a écrit ces lignes : « Il n’est pas rare que la peine du dernier supplice soit infligée à ceux d’entre eux qui sont convaincus, soit d’avoir livré la discipline secrète de la Société, soit d’avoir résisté aux ordres des chefs ; et cela se pratique avec une telle dextérité que, la plupart du temps, l’exécuteur de ces sentences de mort échappe à la justice établie pour veiller sur les crimes et pour en tirer vengeance. »

    Rien n’est plus vrai, en effet.

    La Franc-Maçonnerie profite de toutes les circonstances pour frapper ceux dont elle a décidé la mort.

    Quand ses victimes sont des personnages en vue, elle prend, d’ordinaire, ses mesures pour que l’assassinat soit mis sur le compte des passions politiques ; ainsi elle opéra surtout pendant la Révolution. Par exemple, il est certain que plusieurs meurtres essentiellement maçonniques furent commis à Paris, à la faveur des horribles massacres de septembre.

    Citons le cas de la princesse de Lamballe.

    Cette infortunée princesse, qui fut – personne ne l’ignore – l’amie dévouée de la reine Marie-Antoinette, avait eu la faiblesse, en 1777, de se laisser affilier à la Franc-Maçonnerie, dont elle ne soupçonnait pas les tendances.
    Le but de la secte était, à cette époque, d’accaparer quelques personnes de la Cour, surtout celles admises dans l’intimité des souverains. La princesse aimait les fêtes ; on la prit par son faible.

     Elle fut initiée par la Loge La Candeur, de Paris.

    En 1781, elle fut élue Grande Maîtresse de la Mère Loge Ecossaise d’Adoption, c’est-à-dire qu’elle fut mise à la tête des Loges de Dames. Le jour de son installation, la « Sérénissime Sœur de Lamballe », le maillet en main, put entendre le Frère Robineau lui chanter, au nom du rite, des couplets fort galants :
    « Amour, ne cherche plus ta mère/Aux champs de Gnide ou de Paphos/Vénus abandonne Cythère/Pour présider à nos travaux. Etc… »

    D’un esprit très léger, elle ne comprit pas ce qui se tramait dans les Loges et n’ouvrit les yeux que lorsque la Révolution eut éclaté.
    Mais alors elle fit son devoir sans aucune défaillance. Elle s’efforça de réparer le mal dont elle avait été la complice inconsciente. En novembre 1791, elle prit l’initiative de la surveillance qu’il était nécessaire d’exercer sur tous les foyers de conspiration. La secte jura de lui faire payer de sa vie son loyal retour au bien.

    Au 10 août 1792, la princesse de Lamballe suivit, avec le plus grand courage, la famille royale à l’Assemblée, puis au Temple. Dans la nuit du 19 au 20 août, elle fut transférée à la Force.

    Son sacrifice était héroïque ; elle savait, la malheureuse, quel sort l’attendait. On en a la preuve.

    En effet, c’est après la fuite de Varennes (juin 1791) que la princesse avait eu les preuves du rôle joué par la secte. Chargée d’une mission en Angleterre, elle avait constaté, avec douleur, l’influence que les Loges exerçaient sur Pitt, le conseiller du roi Georges ; celui-ci avait refusé son intervention, Pitt avait été jusqu’à dire que Louis XVI n’avait que ce qu’il méritait. Après un court séjour en Angleterre, la princesse était passée à Aix-la-Chapelle ; c’est à ce moment qu’elle avait brisé les liens maçonniques. Elle avait rompu avec la secte, et, circonstance significative, fait aussitôt son testament ; ce document, qui a été publié, est daté du 15 octobre 1791. Puis, elle était rentrée en France, pour lier son sort à celui de la famille royale.

    Le 3 septembre 1792, à la Force, elle comparut devant le tribunal de sang, présidé par le franc-maçon Hébert. Sa vaillante attitude a été immortalisée par Peltier et Bertrand de Molleville. Conduite dans la rue du Roi-de-Sicile, elle fut égorgée par les massacreurs. Un de ces misérables voulut lui enlever son bonnet avec la pointe d’un sabre et la blessa au front ; un autre la renversa d’un coup de bûche ; elle fut achevée à coups de sabre et de pique. Son corps fut mutilé, telle était la rage de ces scélérats ; on lui arracha le cœur ; on coupa sa tête, qui fut promenée, au bout d’une pique, jusque sous les fenêtres du Temple.

    Plus tard, en 1796, ses assassins furent jugés. L’un des principaux, Nicolas Le Grand, franc-maçon, fut condamné à vingt ans de fers ; un autre, nommé Charlat, également franc-maçon, s’était engagé pour aller combattre les Vendéens, mais il fut tué par ses camarades, à qui il faisait horreur à raison de sa participation au crime.

    Hiram

     

    Source : contre-info

  • A Nice, le Maire et le Directeur de la police se permettent ce qu’ils interdisent aux Niçois…

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2020

    Nice est l’une des localités qui a décrété la tolérance zéro à l’égard de ceux qui ne portent pas le masque. Pourtant, le directeur de la police municipale de Nice a été vu lors d’une soirée où le port du masque et les distances n’étaient pas été respectés. La réponse du directeur de la police municipale de Nice est un peu légère : il n’était pas «en service», dit-il à Nice Matin.

    Filmées lors d’une soirée le 28 août au Cocoon Beach, des images montrent Richard Gianotti, patron de la police niçoise, assis alors que des gens autour de lui dansent à visage découvert, sans respecter la distanciation sociale, rapporte Nice Matin.

    «Je suis allé boire un verre avec une collègue de la mairie. Je n’ai pas dansé et je ne me suis pas levé», précise-t-il, cité par le quotidien.

    De son côté, Christian Estrosi, Jean-Michel Blanquer et le prince Albert de Monaco avaient été pris en photo sans masque et sans distanciation sociale dans la tribune VIP du Tour de France.

     

    Source : medias-presse.info

  • La nature est plus importante que l’embryon humain

    Publié par Guy Jovelin le 02 septmbre 2020

     le 

    La nature est plus importante que l’embryon humain

    Alors que l’embryon humain n’a plus aucun droit, une association suisse lance un appel pour donner une personnalité juridique au fleuve Rhône… Valérie Cabanes, juriste, explique :

    Sortir d’une vision trop anthropocentrée du monde nous permettrait d’accepter des innovations juridiques et de créer des passerelles entre différentes disciplines pour aborder les problèmes de la crise écologique et climatique. La deuxième conséquence est juridique. Accepter de donner une personnalité juridique à des éléments non humains et de les représenter en justice permettrait de prévenir les dommages. Depuis 2012, grâce au procès de l’Érika, on a reconnu en France le principe du préjudice écologique. Le juge a reconnu la valeur intrinsèque de l’écosystème marin et a donné une amende à Total pour réparer le dommage écologique indépendamment des victimes humaines. On en est donc déjà au stade où l’on reconnaît cette valeur mais on ne peut la mettre en avant dans une plainte que si le dommage a eu lieu. Les droits donnés à la nature permettraient de demander au juge des mesures conservatoires, par exemple sur des projets industriels qui menaceraient les équilibres écologiques.

     

    Source : lesalonbeige